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mercredi 21 décembre 2011

KABILA utiliserait le gaz moutarde pour tuer les Congolais !!!

Le chlore est le premier gaz utilisé. Il agit directement sur les voies respiratoires et provoque une lente asphyxie. Dès juillet 1915, on emploie également des gaz phosphoriques et lacrymogènes. Les effets de ce dernier, toux, éternuements et larmes sont plutôt limités et de nature passagère. En juillet 1917, le gaz moutarde est utilisé pour la première fois, à nouveau dans les environs d'Ypres.


Il s'agit d'un gaz sulfureux à base de dichlorure et d'alcool, également appelé ypérite, d'après le nom de la ville où il a été employé pour la première fois. Ce gaz mordant, aux effets particulièrement douloureux, affecte les muqueuses et provoque des brûlures pouvant aller jusqu'au troisième degré.
Photo d'archives intarnet..

Les premiers masques sont particulièrement simples et peu efficaces: une étoffe imprégnée de liquide recouvrant uniquement la bouche et le nez. Cette forme de protection se révélant insuffisante - les yeux demeurant sans protection – les chimistes et les industriels continuent de chercher de meilleures méthodes. On met au point des masques et des bonnets en cuir ou en caoutchouc, pourvu d'un réservoir contenant les produits chargés de filtrer, d'absorber ou de neutraliser l'air contaminé...

Un crime contre l'humanité que Joseph KABILA est en train de faire subir la population sans défense...J'en appelle à la communauté internationale de se saisir de cette situation dramatique. Urgence oblige !!!

Roger BONGOS
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Roger BONGOS

"Mende, tais-toi quand tu parles!

"Mende, tais-toi quand tu parles!
 
 
Lambert Mende Omalanga, alias le "Vuvuzela national". Photo Le Soft

Depuis que Human Rights Watch (HRW) a dénoncé la milice privée du «raïs» faussement baptisée "Garde républicaine" (GR) d’avoir massacré dix-huit civils désarmés entre le 26 et le 28 novembre, Lambert Mende Omalanga, alias le «Vuvuzela national», a lancé un défi à cette Organisation non gouvernementale de réputation mondiale de faire la preuve de ses accusations. Auquel cas, la République très très démocratique du Congo allait se pourvoir en justice. 

Selon mon ami qui sait tout sur tout et presque tout sur rien à Kinshasa-Lez-Immondices, le "Vuvuzela national" s’est assuré, avant de bomber le torse, que la garde du "raïs" a fait le nettoyage avant de se retirer pour ne laisser en place que les corps sans vie de six paisibles citoyens. Les images diffusées sur «You Tube» sont éloquentes. Celles-ci sont commentées par un témoin oculaire : «Les militaires ont emporté quelques corps dans leurs véhicules. Ils ont laissé quatre autres et viendront sans doute les récupérer».

Mon ami qui décidément sait tout sur tous les potins de Lipopo ya Banganga m’explique que les sbires du "raïs" ont manifestement reçu l’ordre de ne jamais laisser des "preuves" après les opérations de ratissage. Persuadé de la bonne exécution de cet ordre, dit mon ami, Mende Lambert se croit en droit de menacer quiconque soutiendrait le contraire. Selon lui, la répression des manifestations post-électorales n’aurait fait que quatre à cinq tués sur toute l’étendue du territoire. Risible si ce n’était dramatique. Que dire alors poursuit mon ami des militants de l’opposition qui sont tombés à Kananga, à Lubumbashi ou encore à Bukavu? 

Excédé, mon ami de tonner : "Tais-toi quand tu parles Mende". Et de conseiller au "Vuvuzela national" de visionner les images citées précédemment que "sa" télévision dite nationale se garde de relayer pour comprendre que le silence est d’or. 

Mon ami de conclure que Mende ne croit pas si bien dire lorsqu’il qualifie de "grave" le comportement de la milice privée du «raïs», alias le commandant suprême des Fardc, de la police nationale et de la garde présidentielle. Autrefois, pour un massacre imaginaire des étudiants de Lubumbashi, le régime de «Seseskul» a été mis au banc des nations. Vingt années après, le bilan de ces "tueries massives" s’élève toujours à...un mort. Cette fois, les télévisions du monde ont montré comment les "petits soldats" du "raïs" s’y prennent pour "rétablir l‘ordre" dans la ville en tirant à balles réelles sur sa population. Personne ne parle de massacre. Ô tempora, ô mores...


Jacky Mopipi 
© Congoindépendant 2003-2011

"prestation de serment" de Tshisekedi confirmée pour vendredi Lire l'article sur Jeuneafrique.com : RDC: "prestation de serment" de Tshisekedi confirmée pour vendredi | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique

RDC: 'prestation de serment' de Tshisekedi confirmée pour vendrediRDC: "prestation de serment" de Tshisekedi confirmée pour vendredi © AFP

L'opposant Etienne Tshisekedi, qui s'est autoproclamé "président élu" de la RD Congo après avoir rejeté les résultats de la présidentielle, prêtera "serment" vendredi matin au stade des Martyrs à Kinshasa, selon des tracts distribués mercredi dans la capitale.
"Congolaises, Congolais, venez nombreux assister à la cérémonie de prestation de serment du président élu de la République démocratique du Congo, M. Etienne Tshisekedi Wa Mulumba", indique ces tracts rédigés en français et en lingala.
Le rendez-vous est fixé à 10H00 (09H00 GMT) au stade des Martyrs, le plus grand de la ville avec 80. 000 places, est-il précisé sur l'imprimé avec en fond le visage du leader de 79 ans et au bas son slogan: "Le peuple d'abord!".
"Nous avons programmé d'aller au stade. Si (le chef de l'Etat Joseph) Kabila veut opposer des chars à la population, ce sera de sa responsabilité", a déclaré à l'AFP Jacquemin Shabani, secrétaire général de l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), le parti de M. Tshisekedi.
M. Shabani a affirmé que "500. 000" tracts avaient été imprimés.
Des personnalités doivent être conviées mais "nous n'allons pas inviter de chefs d'Etat, on va se limiter à leurs représentations diplomatiques ici", a précisé le cadre de l'UDPS.
Depuis dimanche des blindés de la Garde républicaine sont positionnés aux abords du stade de Martyrs, et dans quelques autres lieux de la capitale, et depuis l'annonce des résultats provisoires de la présidentielle le 9 décembre, les regroupements d'opposants sont systématiquement dispersés par la police qui procède à des arrestations.
M. Tshisekedi avait annoncé dimanche qu'il prêterait "serment le vendredi prochain devant le peuple congolais". Sa cérémonie se déroulera trois jours après celle de Joseph Kabila, investi mardi après avoir été déclaré vainqueur d'un scrutin marqué par des multiples irrégularités.
Le président sortant a été réélu avec 48,95% des suffrages, contre 32,33% à son rival Etienne Tshisekedi, arrivé second devant neuf autres candidats lors du scrutin à un tour du 28 novembre.
Interrogé pour savoir si une demande d'autorisation avait été formulée auprès des autorités locales pour pouvoir organiser la manifestation de vendredi, M. Shabani a répondu: "Vous n'imaginez tout de même pas que le président de la République va demander l'autorisation à quiconque pour faire une manifestation?"





Même si c'est la mort qui nous est promise par ces tricheurs, il vaut mieux mourrir en Homme ou Femme Libre que de devenir exclave dans son propre pays. Ce mafieux qui veut rester à la tête de la RDC n'aime pas les Congolais, il les déteste même, par contre il adore le pouvoir, le pouvoir pour le pouvoir.

CONGOLAIS TELEMA EHHHHHHHH, BAZOLINGA BABOTOLA MBOKA EHHHHHH

Vendredi 30 déc: Soirée culturelle INGETA

La fin d’ année 2011-2012 sera à jamais marquée dans l’ histoire du Congo et de la diaspora congolaise. Il y a un grand éveil patriotique dans toute la diaspora de Montréal à Israël. Ce vendredi 30 décembre, une grande soirée culturelle INGETA est organisée au centre william Hingston, 419 SAINT ROCH. Au programme: spectacle Congo DRAMA, des SLAMS, humour, film crise au Congo vérité dévoilée. Adresse: centre william Hingston, 419 SAINT ROCH, près du métro PARC. Venez nombreux manifester culturellement et pacifiquement avec le peuple congolais. Non au HOLD UP électorale, non aux pouvoir des armes !

Kabila : une investiture boudée par le monde entier


Une véritable douche froide pour l'investiture du «Président de la République», le 20 décembre, à la Cité de l'OUA. Joseph Kabila n'a été gratifié de l'assistance d'aucun chef d'Etat, ou de gouvernement, sauf la présence de l'un des chefs d'Etat les plus mal aimés de la planète, le Zimbabwéen Robert Mugabe. Lorsqu'un chef d'Etat infréquentable vole au secours d'un autre vraisemblablement en difficulté, c'est l'isolement total à la clé. En tout cas, une raison pour se faire balck-lister à Londres et dans les autres capitales occidentales. Même le voisin Denis Sassou N'Guesso n'a pas daigné faire le déplacement alors qu'il est à une minute de vol en hélicoptère de Kinshasa. Non seulement qu'il n'est pas venu, Sassou s'est fait représenter à un niveau inférieur par son ministre des Transports. Une façon de dire que la cérémonie ne valait pas le déplacement de son Premier ministre ou de son ministre des Affaires étrangères. 

La veille, la RTNC -la télévision publique devenue la voix de son maître- avait annoncé la présence du 
Gabonais Ali ben Bongo. Information aussitôt démentie par Libreville qui a prétexté un calendrier chargé du successeur d'Omar Bongo Odimba.

L'absence la plus remarquée est celle de Jacob Zuma donné pour pro Kabila. Le président sud-africain s'était même félicité du succès de l'organisation des élections en RD-Congo, se fondant sur le rapport de la mission d'observation de la SADC. Qu'il se soit abstenu de venir honorer Joseph Kabila laisse voir que le vent a tourné ou est entrain de tourner à Kinshasa.

Intrigante aussi l'absence de l'Angolais José Edouardo Dos Santos dont le pays a pourtant apporté avec le Congo-Brazzaville un appui logistique pour la tenue des élections avec une mise à disposition des hélicoptères. 

Côté Occident, tous se sont fait représenter par, leurs ambassadeurs. La Belgique avait annoncé le voyage de son ministre des Affaires étrangères pour Kinshasa avant de se rétracter à la dernière minute. Une rétraction décidée, selon des sources diplomatiques, par le Premier ministre belge Elio di Rupo, au regard du rapport de la mission d'observation de l'Union européenne. 

L'auditoire de la Cité de l'OUA a eu droit à un discours difficile à assimiler sur « la révolution de la modernité », un concept entrevu pour faire du Congo un pays émergent. Révolution de la modernité pour révolutionner quelle modernité là où les cinq chantiers se sont limités à quelques lambeaux de routes restaurés sans même parachever un seul ouvrage. L'avenue Mushie, dans la commuende Lingwala, a été abandonnée avec ses caniveaux non recouverts. Rien n'est dit sur le tronçon de la même avenue Mushie qui reste à construire entre l'avenue Itaga et l'avenue des Monts des arts. Non plus rien sur le pont à jeter entre Itaga et Monts des arts qui représente pourtant le plus dur à faire. 

Dans la stratégie du tape à l'oeil, le régime a privilégié le plus facile à faire. Le boulevard du 30 juin n'est toujours pas achevé. Ses trottoirs et ses accotements risquent d'attendre encore tout un mandat d cinq ans pour s'ouvrir aux piétons. Encore quand il pleut, certains pans de ce boulevard ploient sous les volumineuses eaux stagnantes. 

C'est le cas aussi sur le boulevard Triomphal au niveau du croisement avec l'avenue des Huileries. Ici, les eaux atteignent jusqu'à plus d'un mètre de hauteur. 

Le boulevard Lumumba de même. Il donne l'image d'un programme mené sans aucune planification qui pense le développement comme un processus intégré. 

Là où Joseph Kabila a le plus déçu, c'est sur la corruption ambiante généralisée. Pas un seul mot. C'est donc la continuité de l'hémorragie instauré depuis Mobutu et aggravée ces dernières années avec le détournement de 5,5 milliards de dollars des mines congolaises dénoncé par le député britannique Eric Joyce. 

Pas un mot non plus sur les droits de l'homme. Cette note morose pour une investiture demande à Kabila de chercher une solution politique' pendant qu'il est encore temps. Sinon, d'ici les trois mois qui suivent l'Occident risque de passer à un autre schéma. Les Etats-Unis en ont donné le ton via la cellule africaine du Sénat qui exige un réexamen des résultats en présence d'une commission technique américaine. Quelques jours auparavant, le Département d'Etat avait estimé que les élections étaient gravement des irrégularités au point de les qualifier des plus mauvaises élections que l'Afrique ait connu ces dernières.

  Paul Muland