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lundi 13 août 2012

Réaction de Kwebe Kimpele à Papy Tamba.



Dėbat

Mon cher Tamba, 

Etant actuellement absorbé par un travail qui ne me laisse guère le temps de participer aux débats qui font rage sur le Net au sujet du Congo, je ne peux pas, malheureusement,  ferrailler à mon tour et  débarquer dans l'arène des  échanges aigres doux qui vous opposent à certains congolais.  Dans le mail ci-dessous que vous avez adressé à vos nombreux correspondants, vous citez par deux fois mon nom , en le faisant même précéder du qualificatif "grand".  Je vous en remercie. Je me suis donc senti interpellé. 

Avant tout propos et à  titre d'information, je vous ferai suivre un mail que j'ai adressé naguère à Robert Mbelo sur la question des Tutsis congolais, une expression qui fleurit dans tous les médias et sur toutes les lèvres y compris des Congolais. Après sa lecture, vous en ferez l'usage que vous jugerez opportun ou utile.

Mais toute réaction à votre mail ci-dessous,  permettez-moi  de vous rappeler des faits historiques touchant  le destin du Congo, sa superficie et surtout la composition ethnique  de sa population que seuls, les ignorants peuvent contester:

1. La création du Rwanda, en tant qu'Etat, remonte au 17e siècle, soit plus de 200 ans  avant la reconnaissance internationale, le 26 février 1885,  de l'EIC, Etat indépendant du Congo, propriété privée et exclusive de Léopold 2, roi  des Belges.
 
2. Le Rwanda devint ensuite une colonie de la puissante Allemagne, sous le redoutable chancelier Otto Von Bismarck. Par conséquent, la terre du Rwanda, de même que la population rwandaise à savoir, les Hutus majoritaires, les Tutsis minoritaires et une insignifiante fraction de Twa (Pygmées) furent entièrement assujettis à l'Allemagne.

3. Pour obtenir,  en date du 26 février 1885, la reconnaissance internationale de ses titres de propriété ( en réalité un millier de traités de cession de souveraineté, rédigés en anglais,  signés avec de l'encre de sang et arrachés aux  propriétaires des terres des Bantous), Léopold 2 s'appuya sur le chancelier Otto Von Bismarck dont il était le compatriote puisque c'est la dynastie des Saxe Cobourg Gotha, originaire d'Allemagne,  qui a fourni à la Belgique, après vote, son premier roi en la personne de Léopold 1er, père de Léopold 2.  

Le propriétaire de l'EIC, Léopold 2 donc, maître absolu d'un domaine de plus de 2 millions de km² situé en Afrique centrale, dut la reconnaissance internationale sur les documents fonciers qu'il présenta aux  14 délégués des puissances coloniales européennes de l'époque  (plus un délégué américain accepté à titre d'observateur à  la conférence de Berlin ) grâce à son bienfaiteur Bismarck.  Ici, il faut bien se mettre en tête que la superficie de l'EIC fut obtenue par la juxtaposition ou l'addition des terres ayant appartenu jadis  aux empires, aux royaumes, aux ethnies, tribus et autres organisations traditionnelles, le tout formant la propriété  presque exclusivement des Bantous et, accessoirement, de Soudano-nilotiques.   Mais, et c'est un point crucial, parmi ce millier de traités de cession de souveraineté conservés actuellement au  Musée de Tervuren dans la banlieue de Bruxelles, ne figure pas,  une seule signature de mwami tutsi ou hutu rwandais, ou burundais. Dans le cas contraire, on serait habilité à déduire que les terres et les populations de ces deux ethnies rwandaises ou burundaises se retrouvèrent incluses dans l'EIC, confisquées en somme par Léopold 2, au vu et au su du chancelier Otto Von Bismarck mais sans que ce dernier n'y trouve à redire. Il existe en outre une carte ethnographique datant de la même époque, qu'on peut se procurer dans le même établissement. On a beau la scruter, impossible d'y trouver la moindre trace d'une ethnie répondant aux noms de Tutsis, de Hutus, de Banyamulengue, de Banya-Uvira, de Banya-Bushi, de Rwandophones, autant de néologismes et de monstruosités lexiques apparues au Congo bien après le 30 juin 1960. 

Par conséquent, dès ce moment c'est-à-dire, dès le 26 février 1885, prétendre qu'il existait des Tutsis sur le territoire de l'EIC, c'est affirmer que le roi Léopold 2 se serait permis de  s'emparer d'une portion du Rwanda et des populations rwandaises, notamment des Tutsis, appartenant à son protecteur allemand. Je ne vous ferai pas l'insulte d'imaginer, mon cher Tamba, que vous pourriez entériner pareille aberration et commettre une erreur d'appréciation intellectuelle qui me conduirait à douter de votre âge mental.

4. Le 15 novembre 1908, pour cause de dettes , l'EIC fut confisqué par les créanciers de Léopold 2 et, sous le nom de Congo belge, fut  confié  à l'Etat belge pour sa gestion , en vue de payer les lourdes créances laissées par l'ancien patron de l'Etat indépendant du Congo. La Belgique n'a donc jamais été la propriétaire du Congo belge. Elle en fut simplement l'administratrice, un peu comme le président du conseil d'administration d'une entreprise. A partir du 15 novembre 1908, l'EIC, de propriété privée d'un roi, devint le bien public d'un syndicat constitué par les créanciers du monarque, fonctionnant ainsi comme une SA, une société anonyme.  C'est une situation unique dans l'histoire du monde. Soit noté en passant,  de 1908 à 1960, pendant 52 ans, les indigènes congolais payèrent et apurèrent des dettes colossales souscrites par un souverain étranger, mais  qu'ils n'avaient jamais contractées et dont ils ignoraient aussi bien le montant que la raison d'être. Mêmesles délégués congolais à la table ronde de Bruxelles (du 20 janvier au 20 février 1960) passèrent complètement à côté de ce dossier, pourtant essentiel pour comprendre le destin du Congo et le rôle que ce pays joua durant le 20e siècle.

5. A la défaite de l'Allemagne à l'issue de la Première Guerre mondiale, le 11 novembre 1918, Berlin perdit toutes ses possessions coloniales africaines , y compris la Namibie, le Togo, le Cameroun, mais aussi le Rwanda et le Burundi. Curieusement,  alors que les puissances coloniales européennes victorieuses de l'Allemagne, notamment la France et l'Angleterre,  se sont partagées toutes les anciennes terres coloniales d'Afrique ayant appartenu à l'ennemi allemand vaincu; seuls le Rwanda et le Burundi furent placés sous le mandat de la Belgique par la SDN, la Société des Nations, ancêtre de l'ONU. C'est à  partir de cette date qu'apparut un étrange  ensemble dénommé Congo belge et Rwanda-Urundi, et non pas Congo et Rwanda-Urundi belges. Qu'est-ce à dire ? Mais tout simplement que le Rwanda et le Burundi de même que leurs populations respectives, Hutus, Tutsis et Twa y compris ne furent jamais mélangés avec les indigènes du Congo belge.

6. A partir du début de la décennie 1960, le Congo Belge, le Rwanda et l'Urundi (le Burundi) accédèrent chacun à l'indépendance,  conservant  les mêmes frontières et les mêmes entités ethniques qu'ils possédaient avant la défaite allemande de 1918.

7. Trois vagues d'immigrations de Tutsis et de Hutus, provenant aussi bien du Rwanda que du Burundi affluèrent vers le Congo, les unes légalement pour suppléer le déficit de main d'oeuvre, les autres clandestinement. Mais quel que soit le statut sous lequel les immigrants parvinrent  au Congo belge, jamais le pouvoir colonial belge ne les mélangea avec leurs propres sujets congolais. En fait, l'autorité coloniale belge mit un soin particulier à bien séparer les étrangers de ses propres indigènes colonisés, qu'ils soient Tutsis, Hutus, Togolais, Costmen ou autres. 

Telle fut le situation le 30 juin 1960, date de l'indépendance du Congo, il y a 52 ans.

Les sept affirmations ci-dessus peuvent évidemment être contestées par vous ou par quiconque d'autre. En outre, je conçois parfaitement qu'elles puissent être  niées et battues en brèche. Mais il ne faudrait surtout pas qu'elles le fussent  de façon arbitraire, discrétionnaire ou péremptoire. Seuls  les faits, les dates et une analyse historique cohérente des évènements sont susceptibles de les démolir.  Je vous attends avec impatience sur ce chantier. Les amateurs d'insultes sont priés de s'abstenir.

Qu'il puisse exister des Hutus ou des Tutsis, rwandais ou burundais ayant acquis légalement la nationalité congolaise et pouvant produire les preuves documentaires de leur nouvelle patrie, personne ne peut, a priori, le nier. Mais qu'il y ait, quelque part sur les 2.345.000 km² de superficie du pays présentement dénommé "République démocratique du Congo", un village, un groupement, un territoire, un district, une province, une ville ou un centimètre carré de terre  appartenant historiquement c'est-à-dire  avant le 26 février 1885, aux Tutsis ou aux Hutus Rwandais ou Burundais,  voilà, mon cher Tamba, une affirmation qu'il faudra que son auteur puisse m'en administrer les preuves matérielles, d'essence historique et d'origine ethnographique. D'avance, je lui souhaite  bonne chance dans son entreprise périlleuse.

Quant au "plan de colonisation du Kivu", prêté aux Tutsis et que vous contestez bruyamment dans votre mail, je vous prie de vous montrer moins affirmatif sinon, plus prudent. Je n'ai pas encore pris le temps d'analyser plus finement les arguments que vous avez déployés pour attaquer ce document en nullité. Je le ferai prochainement. Il existe, malheureusement, un autre document datant d'octobre 2002, qui confirme point par point le dessein annexionniste des Tutsis rwandais. Il existe aussi des faits, des noms, des dates et des évènements qu'une intelligence moyennement constituée devrait pouvoir comprendre et dont elle devrait facilement valider la cohérence avec la pièce historique que vous essayez de sacquer. Il vous suffirait, par exemple,  d'écouter l'interview accordée par le général Faustin Munene depuis le Congo-Brazzaville et diffusée le 26 juillet dernier sur les antennes de RFI. L'ancien chef d'Etat-major général des forces armées congolaises, l'un des rares sinon le seul survivant des généraux bantous congolais venus dans les rangs de l'AFDL, y dénonce formellement un complot ourdi par les Rwandais (il n'y fait pas mention des Tutsis) et visant la balkanisation du Congo.  Il me semble que, vu le nombre d'années pendant lesquelles le général Faustin Munene fréquenta les Rwandais, Tutsis et Hutus confondus; étant donné  aussi les hautes fonctions qu'il assuma à la tête des forces de défenses congolaises, son affirmation mériterait d'être prise en sérieuse considération.  Toute personne qui osera le contester devra d'abord justifier de son grade,  de ses fonctions, de son expérience et de sa connaissance générale du sujet. Autrement, il ne s'agira que de flatulences nauséabondes dont les Congolais sont coutumiers et avec lesquelles ils empestent le Net.

 Attendez-vous, mon cher Tamba, à recevoir  de moi, prochainement, un argumentaire  sur "plan d'occupation du Kivu" qu'il vous faudra réfuter de façon beaucoup plus convaincante que les arguties, trop légères à mon goût pour ébranler mes convictions pour insinuer le doute chez quiconque d'autre,   que vous avez pris le risque d'étaler dans votre dernière production littéraire.

En attendant, 

prenez bien soin de vous,

cordialement vôtre 

Kwebe KIMPELE


Rébellion du M23:




Mwenze Kongolo, ancien Ministre de la Justice dans le Gouvernement de Laurent-Désiré Kabila en 1997Mwenze Kongolo, ancien Ministre de la Justice dans le Gouvernement de Laurent-Désiré Kabila en 1997

L’ancien ministre de la Justice sous Laurent Désiré Kabila, Mwenze Kongolo a dénoncé, lors d’un point de presse ce lundi 13 août à Kinshasa, «la Énième agression de la RDC par le Rwanda et l’Ouganda, sous couvert de la rébellion du M23». Il a estimé que, dans la gestion de cette situation, le gouvernement congolais a affiché plusieurs comportements qui frisent la trahison.

«Des gens avaient signalé bien avant que les Rwandais étaient entrés chez nous. Le Gouvernement avait refusé cela. Il parlait de mutins et pendant longtemps, alors que nous tous nous disions que c’était Kagame qui [agissait]», a fait remarquer Mwenze Kongolo.
Pour lui, il s’agit d’un comportement qui frise la trahison. «J’avais déposé une fois une plainte contre le Rwanda à la Haye. Après mon départ du ministère de la Justice, on a envoyé feu Kisimba (Honorius) retirer cette plainte», a-t-il rappelé.
«Vous rappelez vous l’affaire de Mutebutsi et les autres. Ils sont partis, et le Gouvernement n’a rien dit» a-t-il poursuivi. Jules Mutebutsi, colonel dissident des FARDC, avait occupé la ville de Bukavu (Sud-Kivu) pendant dix jours, fin mai – début juin 2004. En août 2005, les autorités rwandaises avaient annoncé avoir reçu sa demande d’asile pour lui et pour ses trois cent cinquante hommes de troupe.
Pour illustrer cette «trahison de tout un peuple», Mwenze Kongolo a aussi évoqué le cas de Laurent Nkunda, ex-leader du Congrès national pour la défense du peuple (CNDP). Il est officiellement recherché par les autorités congolaises pour formation d’un mouvement insurrectionnel, mais assigné à résidence au Rwanda, depuis le 22 janvier 2009.
«Le Gouvernement nous a promis qu’on l’emmènerait ici [à Kinshasa]. On n’a rien fait !», a déploré l’ex-ministre de la Justice, parlant au nom des «patriotes kabilistes de M’Zee»
.
Outre l’aspect diplomatique, selon la même source, il faut «que le Gouvernement prenne en charge en bonne et due forme les militaires au front. Que ceux qui se battent arrivent à sentir que le Gouvernement est derrière eux !».
Le porte-parole du Gouvernement, Lambert Mende, a promis de réagir à toutes ces accusations de Mwenze Kongolo, ce mardi 14 août, au cours d’un point de presse

http://radiookapi.net/actualite/2012/08/13/rebellion-du-m23-mwenze-kongolo-accuse-le-gouvernement-de-trahison/

ps:

Il est bien gentil ce Muenze Kongolo mais le moment sied-il encore d'user de quelques circonlocutions "diplomatiques" ?
Il sait bien que ce n'est pas le Gouvernement qu'il faut condamner en premier mais son "filleul ou neveu" Commandant Hyppo ! C'est lui avec ses généraux bidons et félons qui mènent cette guerre ou plutôt ne se sont jamais donné exprès les moyens de mener cette guerre contre le Rwanda !!!

Si Muenze Kongolo veut enfin être utile à son pays et loyal à son mentor LDK, il est temps qu'il abandonne la langue de bois et accuse nommément et directement Kanambe; il sera plus crédible !!!
Il est temps qu'il rompe solennellement et publiquement avec la trahison de son prétendu filleul ! Après tout il en sait plus que nous tous lui qui a accompagné l'équipée rwandaise de l'Afdl dont son chef défunt disait que c'était "un conglomérat d'aventuriers et les rwandais nos agresseurs/occupants depuis" ! Le reste n'est qu'ajouter de la diversion au grotesque de la gestion de ce pouvoir et au drame de la situation de notre pays et de nos populations de l'Est qu'il veut stigmatiser !

Compatriotiquement!  (Ndozwau)



Le sommet de la Francophonie ne peut avoir lieu à Kinshasa !


République Démocratique du Congo

Le sommet de la Francophonie ne peut avoir lieu à Kinshasa !


Samedi 11 Août 2012
Patrice Finel
Ce sommet doit avoir lieu le 13 et 14 octobre en République Démocratique du Congo, le
Président, le gouvernement français ne peuvent y participer dans le contexte actuel, ce
sommet doit être déplacé.

En effet, à partir de la fraude électorale massive aux dernières élections présidentielles du
28/11/2012 qui a maintenu en place M. Kabila alors que les élections ont été gagné par
M. Etienne Tshisekedi et législatives qui a même vu des proche du pouvoir qui n’étaient
pas candidat proclamé élus ! Fraude unanimement reconnues par tous les observateurs
internationaux et même par l’église catholique du Congo !
Nous assistons à une grave dérive répressive du pouvoir en place.

Cela commence maintenant à se traduire par des enlèvements politiques d’opposants en pleine
rue de Kinshasa :
- Il y a maintenant presque un mois a été enlevé et a disparu le députe du peuple Eugene
Diomi Ndongala, président de la démocratie Chrétienne, porte-parole de la majorité
présidentielles populaire, (MPP rassemblement qui a soutenu M. Tshisekedi)
- Il y a deux jours c’est le tour de Monsieur Jean-Marie Vianney Kabukanyi, 2ème
Secrétaire Général adjoint de l’UDPS (Union pour la Démocratie et le Progrès Social,
parti de M Tshisekedi), d’être enlevé avec son jeune frère, par des éléments identifiés
comme étant de la Police Nationale Congolaise.
- D’autres opposants moins connus subissent le même sort.

Nous demandons la libération immédiate des prisonniers politiques, nous demandons
que le gouvernement français intervienne également dans ce sens, et nous demandons
qu’il interpelle les organismes de l’OIF pour déplacer le sommet d’Octobre

Le sommet de l’OIF (Organisation Internationale de la Francophonie) doit avoir lieu les 13 et 14 octobre en République Démocratique du Congo.
Le Président, le gouvernement français ne peuvent y participer dans le contexte actuel et ce
sommet doit être déplacé.


En effet, il y a eu une fraude électorale massive lors de la dernière élection présidentielle du 28/11/2011 qui a maintenu en place M. Kabila alors que les élections ont été gagnées par M. Etienne Tshisekedi ; lors des législatives on a même vu des proches du pouvoir qui n’étaient pas candidats proclamés élus ! Fraudes unanimement reconnues par tous les observateurs internationaux et même par l’église catholique du Congo !
Nous assistons à une grave dérive répressive du pouvoir en place : des enlèvements politiques d’opposants ont lieu en pleine rue à Kinshasa :

  • Il y a maintenant presque un mois a été enlevé et a disparu le député du peuple Eugène Diomi Ndongala, président de la Démocratie Chrétienne, porte-parole de la majorité présidentielle populaire (MPP, rassemblement qui a soutenu M. Tshisekedi).
  • Il y a deux jours c’est le tour de Monsieur Jean-Marie Vianney Kabukanyi, 2ème Secrétaire Général adjoint de l’UDPS (Union pour la Démocratie et le Progrès Social, parti de M. Tshisekedi), d’être enlevé avec son jeune frère, par des éléments identifiés comme étant de la Police Nationale Congolaise.
  • D’autres opposants moins connus subissent le même sort.
Nous demandons la libération immédiate des prisonniers politiques, nous demandons que le gouvernement français intervienne également dans ce sens, et nous demandons qu’il interpelle les organismes de l’OIF pour déplacer le sommet d’octobre.

http://www.lepartidegauche.fr/actualites/communique/republique-democratique-congo-le-sommet-l-oif-organisation-internationale-la-francophonie-ne-peut-avoir-lieu-kinshasa-16479