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samedi 13 septembre 2014

TRANSFÈREMENT DU DÉPUTÉ EWANGA À LA PRISON CENTRALE DE MAKALA

TRANSFÈREMENT DU DÉPUTÉ EWANGA À LA PRISON CENTRALE DE MAKALA EN IMAGES.










Jean-Claude Ewanga, Secrétaire Général de l'UNC et député national vient d'être acheminé à la prison centrale de Makala où il passera les 12 prochains mois pour avoir, semble-t-il, outragé "Joseph Kabila" pendant que des criminels notoires rwandophones après avoir égorgé, violé, volé, détruit des vies entières de femmes, enfants et hommes congolais, se prélassent paisiblement au pays de Simon Kimbangu.

Ewanga s'en va en prison avec son immunité qui n'a jamais été levée, le tribunal congolais s'en passant éperdument.




La police disperse la marche de l'opposition à Kinshasa


Des jeunes de l’Union pour la nation congolaise (UNC) de Vital Kamerhe ont manifesté, samedi 13 septembre, contre la condamnation du secrétaire général de leur parti, à Bukavu (Sud-Kivu). Bertrand Ewanga a écopé de 12 mois de prison ferme au terme d’un jugement à la Cour suprême de justice (CSJ), à Kinshasa.

Ces jeunes ont brulé des pneus dans la la commune de Bagira, où ils ont barricadé la route Bukavu-Kavumu.

Au même moment, d’autres jeunes du même parti de l’opposition manifestaient à Ciriri dans la périphérie Ouest de la ville de Bukavu. Ces manifestants ont été dispersés par la police.


http://radiookapi.net/en-bref/2014/09/13/bukavu-des-jeunes-de-lunc-protestent-contre-la-condamnation-dewanga/


La police disperse la marche de l'opposition à Kinshasa / Réactions de la France et la Belgique au sujet de l'arrestation de l'Honorable Ewanga













La France fait part de sa préoccupation après la condamnation, le 11 septembre, du député d’opposition Jean-Bertrand Ewanga à un an de prison ferme.


Didier Reynders préoccupé par la condamnation en RDC du député de l’UNC Jean-Betrand Ewanga à la prison ferme


SCANDALE à la cour suprême Procès Ewanga, Bagarre Martin Fayulu en colère !

SCANDALE à la cour suprême: Procès Ewanga, Bagarre Martin Fayulu en colère !





Mort du chef des Shebab : Hollande a coopéré avec Washington

Texte par FRANCE 24



Mort du chef des Shebab : Hollande a coopéré avec Washington



Mort du chef des Shebab : Hollande a coopéré avec Washington

© Mohamed Abdiwahab, AFP | Des Somaliens regardent les informations annonçant la mort du chef des Shebab, le 6 septembre.

D'après l'entourage de l'Élysée, les services de renseignement français ont collaboré avec Washington dans l'opération qui a tué le chef des islamistes somaliens shebab, le 1er septembre, confirmant partiellement une information du "Point".

C’est l’entourage du président français qui le confirme : les services de renseignement français ont collaboré avec Washington pour abattre le chef des islamistes somaliens Shebab, Ahmed Abdi "Godane", tué par une frappe américaine le 1er septembre.
"La France et le président de la République ont appuyé la coopération en matière de renseignement et de coordination", a indiqué la source, confirmant partiellement des informations de l'hebdomadaire "Le Point". "Cela n'a pas été une opération française sur le terrain, nous n'étions pas dans l'intervention", a toutefois précisé l'entourage de François Hollande.
Ahmed Abdi "Godane" a été tué lors d'une frappe de missiles Hellfire et d'armes à guidage laser lors d'une réunion de hauts responsables shebab au sud de Mogadiscio, selon la version des États-Unis.
Ordre explicite du président, selon "Le Point"
D’après "Le Point", "les éléments permettant cette opération - à savoir l'identification précise de son pick-up et la route qu'il devait emprunter - ont été transmis au Pentagone par la DGSE (renseignements extérieurs français, NDLR) sur ordre explicite du président de la République".
Âgé de 37 ans, Ahmed Abdi "Godane", alias Abu Zubeyr, était l'une des dix personnalités les plus recherchées pour terrorisme par les États-Unis. Les Shebab ont assuré qu'ils "vengeraient" la mort de Godane, nommant Ahmed Umar Abou Oubaïda pour lui succéder.
"Godane" était à l'origine de l'enlèvement, le 14 juillet 2009, de deux agents de la DGSE, écrit encore le magazine. "Le premier, connu sous le pseudonyme de Marc Aubrière, était parvenu à s'évader, mais le second, Denis Allex, avait été détenu par 'Godane' dans des conditions particulièrement barbares", souligne l'hebdomadaire.
Une opération militaire française conduite le 11 janvier 2013 pour tenter de le libérer avait échoué. L'otage et deux membres du commando avaient été tués, ainsi qu'au moins 17 Shebab.
Avec AFP
http://www.france24.com/fr/20140913-chef-shebab-tue-hollande-coopere-washington-services-renseignement-etats-unis-godane-somalie/




















En attendant son meeting du 13 septembre : Le Front populaire adresse une lettre ouverte à Joseph Kabila





En attendant son meeting du 13 septembre : Le Front populaire adresse une lettre ouverte à Joseph Kabila


Répondant le 4 septembre dernier à la correspondance du Front populaire contre la révision constitutionnelle, Front populaire en abrégé, sur la tenue de son meeting en date du 13 septembre à Lemba, le Gouverneur de la ville-province de Kinshasa demande à l’organisateur de cette activité de se conformer au décret-loi N°196 du 29 janvier 1999 portant réglementation des manifestations et des réunions publiques en assurant l’encadrement des militants et sympathisants pendant la durée dudit meeting prévue de 11h00 à 16h00.
 
Par la même occasion, André Kimbuta copie le Commissaire provincial de la Police/Ville de Kinshasa et le Bourgmestre de Lemba en les instruisant de prendre les dispositions sécuritaires requises.

En attendant la tenue de son meeting sur le terrain GD de Lemba, les membres du Front populaire ont adressé une lettre ouverte au Président Joseph Kabila dans laquelle ils lui rappellent ses engagements pris publiquement devant les deux chambres du Parlement réunies en Congrès en date du 23 octobre 2013 quand il avait fait siennes toutes les recommandations des Concertations nationales. Pour ce regroupement politique de l’opposition, ces recommandations sont aujourd’hui entrain d’être violées. La tentative de modifier la constitution ou de la changer constatée dans le chef de Kabila et de ses hommes tend vers la rupture du pacte républicain qui avait été recommandé en faveur du respect de la Loi fondamentale notamment en ses articles verrouillés. Les ténors du Front populaires ne manquent pas de rappeler au Président Joseph Kabila le danger qu’il court en se laissant entraîné dans cette aventure dangereuse de toucher à la Constitution avec tout le risque de commettre un parjure du serment prêté devant Dieu et la Nation. Le serment étant constitutionnel et son parjure correspond à une violation intentionnelle de la Constitution passible de haute trahison.
 
Les deux autres recommandations évoquées par le Front populaire qui aujourd’hui ne sont pas d’application concernent la mise en place d’une véritable administration électorale et la loi sur l’amnistie. Les concertations nationales avaient exigé une administration électorale digne capable garantir l’organisation et la tenue des élections libres, transparentes, crédibles et apaisées de manière à rassurer tout le monde sur la neutralité, l’impartialité et l’indépendance de la CENI. Quant à la loi sur l’amnistie, le Front populaire note que celle-ci est appliquée de manière sélective, partielle et partiale.
 
Réagissant à la formation d’un nouveau gouvernement que Joseph Kabila a annoncé dernièrement aux membres de sa famille politique à Kingakati, le Front populaire dit ne pas être concerné par un Exécutif national non issu d’un dialogue franc et inclusif conformément à l’Accord-cadre d’Addis-Abeba et à la Résolution 2098 du Conseil de sécurité des Nations-Unies. Tout gouvernement formé en marge de ces conditions intégrant aussi la signature d’un protocole d’accord avec un programme minimum clair sera, d’après ce regroupement politique, un conglomérat de révisionnistes opportunistes et autres Mobutistes, avides du pouvoir pour le banquet de l’opulence.

Cette lettre ouverte se termine en rappelant à son destinataire qu’il représente la Nation de part la Constitution. La fonction de Président de la République étant sacrée, le non respect par lui des engagements pris risque de la décrédibiliser et désacraliser.

K.KAP

http://grandkasai.canalblog.com/archives/2014/09/08/30550629.html

L’initiative d’une révision de la constitution est une haute trahison, selon la société civile du Katanga








L’initiative d’une révision de la constitution est une haute trahison, selon la société civile du Katanga



La société civile du Katanga recommande à la Cour suprême de justice d’inculper pour haute trahison tout initiateur d’une proposition de révision de la constitution. Au cours d’un point de presse organisé mercredi 10 septembre au centre pour handicapés physiques à Kinshasa, le porte-parole de la plate-forme des organisations et associations membres de la concertation nationale pour la bonne gouvernance en RDC, Timothée Mbuya, estime qu’il est du devoir patriotique pour chaque citoyen de défendre et protéger la constitution de la République contre toute forme de sa violation.
La société civile du Katanga exige donc que le président de la République respecte son serment constitutionnel.
«Nous invitons le président de la République à respecter scrupuleusement les termes de l’engagement contenu dans le serment fait à la nation, de respecter la constitution et de ne rien poser comme acte qui aille à son encontre», a déclaré Timothée Mbuya.
Il appelle aussi le chef de l’Etat à «user de ses prérogatives de garant de la constitution et de la préservation des valeurs et acquis démocratiques, en décourageant toute initiative de révision partielle ou totale de la constitution visant à prolonger indéfiniment la durée ou le mandat du président de la République».
Joseph Kabila doit aussi poursuivre pour «haute trahison quiconque proposerait la révision totale ou partielle de la constitution visant les articles 219 et 220», a-t-il recommandé.
Posté par lumbamba
http://grandkasai.canalblog.com/archives/actualite/index.html#

RDC : la police disperse une manifestation d'opposition à Kinshasa


AFRIQUE

RDC : la police disperse une manifestation d'opposition à Kinshasa
(AFP) Le 13-09-2014


























La police congolaise a dispersé samedi matin une manifestation d'opposition dans le centre de Kinshasa, interpellant plusieurs personnes dont un journaliste vidéaste de l'AFP.

Vers 10h00 (09h00 GMT), une centaine de policiers sont intervenus pour disperser plusieurs dizaines de manifestants regroupés près de l'hôtel Memling, dans le nord de la capitale, en dépit des consignes des autorités municipales, ont constaté trois journalistes de l'AFP. Celles-ci avaient "déconseillé" de manifester sans aller jusqu'à interdire le rassemblement.

Une grenade lacrymogène a été tirée. Forces de l'ordre et opposants ont joué au chat et à la souris mais l'opération s'est déroulée sans incident majeur, selon ces journalistes.

De nombreux véhicules de la police patrouillaient dans la zone pour empêcher la manifestation organisée par plusieurs partis d'opposition. Elle était destinée à demander la libération des détenus politiques et à dénoncer tout tentative de modification constitutionnelle qui permettrait au président Joseph Kabila de se maintenir au pouvoir au-delà de 2016.

Un vidéaste de l'AFP qui couvrait la manifestation a été violemment interpellé par la police avec un confrère de la télévision privée Sango Malamu alors qu'il filmait. Contraints de monter dans un pick-up des forces de l'ordre pendant une quinzaine de minutes, tous deux ont fini par être relâchés à distance de la manifestation.

Les journalistes de l'AFP ont vu quatre autres personnes être interpellées et emmenées dans des pick-up.

Les organisateurs de la manifestation, parmi lesquels des responsables de l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS, première force d'opposition au Parlement) et de l'Union pour la Nation congolaise (UNC, troisième parti d'opposition), avaient appelé à un rassemblement à 9h00 près de la gare centrale.

D'autres organisateurs s'étaient désolidarisés du mouvement vendredi après que les autorités de la ville eurent déconseillé la manifestation, arguant qu'un autre rassemblement politique était prévu autour de midi et que la police n'avait pas les moyens d'encadrer deux événements de ce genre le même jour.

Interrogé par l'AFP, le ministre de l'Intérieur, Richard Muyej, avait indiqué que la police comptait empêcher la première de ces deux manifestations.