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jeudi 9 mai 2013

le Premier ministre reconnaît un problème avec le partenariat chinois




Avec cet aveu combien révélateur de l'amateurisme criminel de ce pouvoir de la part de notre "brave" PM, nous espérons au moins que nos amis de la Majorité vont avoir le courage et l’honnêteté (intellectuelle et morale) de reconnaître enfin et de se repentir désormais du délire djaleloliste récent et coutumier !
Sinon il ne serait rien de moins eux aussi que des traîtres à la Nation, càd coupable d'un crime passible de très lourdes peines ! Passons !

Lisez et relisez cette perle qui nous révèle le pillage par les escrocs voleurs kanambistes !
Qui peut nous chiffrer le réel coût au Congo de ces maigres et imparfaites réalisations ???
[i]"(...)Sur les trois milliards de dollars américains destinés aux projets d’infrastructures, seulement 468 millions seraient décaissés, notamment pour la construction de l’hôpital du cinquantenaire (100 millions), la construction du boulevard du 30 juin (54 millions), l’avenue du tourisme (44 millions), le tronçon de route entre Lubumbashi et Kasomeno (135 millions) et la bretelle Beni-Luna (64 millions). "
° http://radiookapi.net/actualite/2013/05/08/rdc-le-premier-ministre-reconnait-probleme-avec-le-partenariat-chinois/?utm_source=Feednanga&utm_medium=Share%20stats%20widget&utm_campaign=Feednanga%3A%20Most%20shared%20links

54 millions pour la construction du boulevard du 30 juin ? Comment peut-on construire quelque chose qui existait déjà ? On a dépensé 54 millions juste pour couper les arbres et élargir la route ? Shocked  Incroyable


Le Premier ministre reconnaît un problème avec le partenariat chinois







Le Premier ministre Augustin Matata Ponyo a reconnu mardi 7 mai, sur les antennes de radio Okapi, qu’il y a un problème à examiner en profondeur avec le partenariat chinois. Depuis avril dernier, des rumeurs affirment que la banque chinoise, China Exim Bank, qui finance les travaux de construction des entreprises chinoises en RDC, se serait rétractée. Sans confirmer l’information, le Premier ministre à évoqué une «question qui nécessite un examen en profondeur».

«Comme vous le savez, il y a beaucoup d’entreprises qui sont sur place et qui travaillent avec nous. Il y en a qui travaillent avec des financements de ce partenariat avec la Chine et celles qui travaillent avec le financement du gouvernement. Disons que c’est une question d’actualité, nous continuions à y travailler. Peut-être dans les jours à venir nous vous donnerons une réponse beaucoup plus appropriée», a expliqué le Premier ministre.

Selon des informations parvenues à radio Okapi, la China Exim Bank se serait rétractée à cause du risque que comportent désormais les contrats chinois, après que l’Etat congolais ait retiré la garantie opérée en 2008 suite à des recommandations des institutions de Bretton Woods.
En 2008, la RDC s’étaient engagée à offrir ses mines à la Chine contre un projet ambitieux de construction d’infrastructures. L’Etat aurait changé d’avis sous la pression de la Banque mondiale et du FMI.

Selon une source proche du bureau de coordination et de suivi du programme sino-congolais, pour garantir les prêts chinois, la banque chinoise exige désormais que le gouvernement congolais lui cède ses parts dans la Sicomines, une joint-venture dans laquelle l’Etat congolais, via la Gécamines, détient 32% de parts contre 68% du consortium chinois. Elle possède deux gisements riches en cuivre et cobalt de Dikulwe et Mashamba au Katanga.

Le refus du gouvernement congolais de céder ses parts serait à la base du ralentissement du décaissement des fonds par la banque chinoise.

Sur les trois milliards de dollars américains destinés aux projets d’infrastructures, seulement 468 millions seraient décaissés, notamment pour la construction de l’hôpital du cinquantenaire (100 millions), la construction du boulevard du 30 juin (54 millions), l’avenue du tourisme (44 millions), le tronçon de route entre Lubumbashi et Kasomeno (135 millions) et la bretelle Beni-Luna (64 millions).

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