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dimanche 8 décembre 2013

Joseph Kabila à Paris

« Combattants » protestant contre la visite de Joseph Kabila à Paris arrêtés!

 Les policiers parisiens ont interpellé, ce vendredi 6 décembre, en fin d’après-midi, 79 personnes au cours de manifestations non-déclarées aux abords du ministère de la Francophonie au niveau du quai d’Orsay (VIIe), place de la Résistance (VIIe), et cour Albert Ier (VIIIe), siège de l’ambassade de la République démocratique du Congo (RDC). Quarante manifestants, présentés comme des opposants au président de la RDC, Joseph Kabila, actuellement en visite en France, ont été placés en garde à vue. «Ces personnes se sont réunies sur la voie publique pour manifester sans en avoir fait la demande, au préalable, auprès de la préfecture de police de Paris, révèle un haut fonctionnaire. Il n’y a pas eu de blessés au cours de ces interpellations et la situation a été rapidement maîtrisée». Par ailleurs, des tensions entre ressortissants congolais – notamment les représentants de l’opposition ultra-radicale, qui se font appeler les Combattants – sont apparues ces dernières semaines à Paris. «Ces opposants font en sorte d’empêcher, depuis plusieurs années, la tenue de concerts d’artistes congolais considérés par eux comme trop proches du pouvoir en place à Kinshasa, poursuit la même source. Un regain de tension est apparu ces dernières semaines alors qu’un concert du chanteur JB Mpiana doit se tenir le 21 décembre au Zénith de Paris. Ceux qui se font appeler les Combattants ont déjà programmé une manifestation, le jour du concert, afin de tenter de dissuader ceux qui voudraient s’y rendre. Plusieurs de ces personnes ont déjà été identifiées par la police».

Un article de Direct.cd Lisez la version originale ici: 79 « combattants » protestant contre la visite de Joseph Kabila à Paris arrêtés! | Direct.cd


Visite du Président Kabila à Paris : LA POLICE FRANCAISE MET LES « COMBATTANTS » EN DEROUTE

Comme le M23 qui vient d’être anéanti à l’Est de la RDC, les « combattants » qui voulaient déranger la quiétude du sommet France-Afrique initié par François Hollande ont rencontré une organisation policière musclée qui a mis en échec leur plan macabre. La France, qui est un Etat de droit, est déterminée à mettre fin à l’anarchie de ces expatriés. Même le concert de JB Mpiana est placé sous haute surveillance.




Le Président de la République, Joseph Kabila Kabange, séjourne à Paris depuis le jeudi 5 décembre dans la soirée. Il participe au sommet France – Afrique sur la sécurité et la paix, sommet qui prend fin ce samedi 7 décembre. Certains congolais qui se font appeler « combattants » ont voulu saisir cette opportunité pour manifester contre le Chef de l’Etat. Mal leur a pris, car la police française, très à cheval sur la loi, a mis en échec leurs plans ridicules.

En effet, les policiers parisiens ont interpellé, vendredi 6 décembre en fin d’après-midi, 79 « combattants » reprochés d’avoir organisé des manifestations publiques non déclarées. Ces arrestations sont intervenus aux abords du ministère de la Francophonie au niveau du quai d’Orsay (VIIe), à la place de la Résistance (VIIe), et au niveau du cour Albert Ier (VIIIe) où se situe l’ambassade de la République Démocratique du Congo (RDC).

Sur ces 79 personnes, 40 se trouvent encore en détention. «Ces personnes se sont réunies sur la voie publique pour manifester sans en avoir fait la demande, au préalable, auprès de la préfecture de police de Paris », a indiqué  un haut fonctionnaire de la police parisienne.

Boketshu détale comme un lièvre

Au cours de leur brève manifestation, les « combattants » se faisaient haranguer par certains d’entre eux comme Boketshu 1er qui, pourtant, a été le premier à prendre la poudre d’escampette à l’arrivée de la police. Jusqu’à ce jour, les autres manifestants qui ont réussi à s’échapper ne savent pas où il se trouve.

La réaction de la police française est un signal clair que Paris lance aux inciviques qui oublient que la France est un Etat de droit qui ne tolère pas l’anarchie. Il est donc contradictoire de prétendre se battre pour un Etat de droit au Congo en enfreignant les lois d’un pays d’accueil. La police française est déterminée à barrer la route aux anarchistes qui se hasarderaient à fouler au pied ses lois.

Le concert de JB Mpiana sous haute surveillance

On renseigne, en effet, que même le concert de JB Mpiana, prévu pour ce 21 décembre au Zénith, est sous haute surveillance de la police parisienne. Celle-ci indique que certains meneurs des manifestations prévues pour empêcher cette production sont identifiés et vont être interpellées le moment venu. Cette mesure été prise au regard des tensions qui s’observent à Paris en prélude de cette production musicale.

Yvon RAMAZANI

Envoyé spécial à Paris


Ndlr: Pauvre Ramazani qui est obligé à raconter des mensonges pour faire plaisir à son roi. Peut-il répondre à quelques unes de nos questions comme:
Qu'est-il arrivé à son maître pour qu'il change subitement de voiture?
Qu'est-ce qui s'est passé entre l'OIF et l'Élysée?
Combien d'autres journalistes hors RDC, danser et chanter à la gloire de leur Président?
Si les combattants sont en déroute comme le M23 selon vos dires, pourquoi alors le concert de Mpiana serait-il sous haute surveillance?
Contrairement à ce qu'écrit Mr Ramazani, tous les combattants ont été libérés et personne ne se trouve présentement entre les mains de la Police.
Et d'ailleurs, ces personnes étaient arrêtées bien avant la manifestation pour tout simplement les éloigner et les écarter des lieux de combat contre le Raïs. Elle n'ont commis aucun crime.
Par contre «Joseph Kabila» a reçu les fleurs de bienvenue dans un hall d'un hôtel, il ne pouvait pas les recevoir à l'aéroport. 

Voici la voiture du Raïs Joseph Kabila, couverte d'oeufs et lapidée en plein Paris.


Jean Marie Kasamba Traite d'indigènes les combattants des Paris 





LA TRAQUE DE "JOSEPH KABILA" A PARIS ACTE 1



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