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lundi 12 décembre 2011

Election présidentielle en RDC


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Oscar Kashala
Oscar Kashala
OSCAR KASHALA : « LA CENI A DONNE LA VERITE DES URNES »
Le suspense levé le vendredi 9 décembre 2011 par la Commission électorale nationale indépendante a laissé la place à une éphorie de joie sans pareille en République Démocratique du Congo. Tous les congolais, partisans de Joseph Kabila Kabange ont envahi les artères principales de toutes les villes, cités et localités du pays à la suite de la proclamation des résultats de l’élection présidentielle survenue le 28 novembre dernier. Donnant le candidat N° 03 vainqueur avec 48,95% du suffrage réellement exprimé, ces résultats n’ont pas laissé indifférent la communauté internationale et les candidats également engagé dans la course aux coté du candidat du peuple.
Au delà de satisfécits de la communauté internationale, vient le tour des candidats malheureux. Après la reconnaissance anticipée de la victoire de Joseph Kabila par Léon Kengo wa Dondo, celle du candidat N°03 vient de renforcer la crédibilité du processus électorale congolais. « Je ne suis pas là pour contester les résultats issus des urnes. La Ceni qui est la seule institution habilitée à rendre publique l’expression de la volonté du peuple congolais a donné son verdict et mois, en tant qu’homme d’Etat, je ne peux que me plier à la vérité des urnes », a laissé entendre, hier soir, Oscar Kashala Lukumwena sur Digital Congo Télévision. Ce, avant d’appeler les uns et les autres à l’apaisement tout en insistant que : « L’heure n’est plus à appeler la population à la violence car notre pays n’a pas besoin du chaos. Tout le monde doit se mettre ensemble et conjuguer les efforts pour la reconstruction de la Rdc ».
 En véritable homme d’Etat, ce docteur et professeur en médecine a sportivement admis son échec et choisi de regarder de l’avant pour le bien du peuple congolais. Le patron de l’Union pour la reconstruction du Congo (Urec) donne ainsi un signale fort et une leçon de politique à certains des compatriotes. Ceux, qui n’ont rien à avoir avec l’intérêt national ni le bonheur du peuple congolais. Ils continuent à vivre dans l’illusion. Ils se croient au Zaïre où toute la vie nationale tournait autour des individus. Malheureusement pour eux, les choses ont changé et continuent à se transformer.
Aujourd’hui, « la République Démocratique du Congo va mieux qu’il y a 15 ans, beaucoup mieux qu’il y en a 5 et son état s’améliore chaque jour d’avantage ». Tous les congolais normaux en conviennent avec le Président Joseph Kabila. Personne ou rien ne pourra plus susciter en eux le doute. Avec la réélection de l’homme des « cinq chantiers », le monde entier a les yeux rivés sur la Rdc ; y compris la Cour pénale internationale (Cpi). Le procureur Louis Moreno Ocampo dont les envoyés sont présents à Kinshasa ne permettra à personne de se jouer avec les vies des congolais. N’en déplaise à ceux qui, à force de l’âge, sont devenus amnésiques et aux plus jeunes qui se laissent trainer à cause de leur envie pour le pouvoir sans fondement populaire.
Jean-Luc MUSHI-MPAKU
Mise à jour le Lundi, 12 Décembre 2011 11:57
Note:
Si la République démocratique du Congo va mieux qu'il y a 15 ans, beaucoup mieux qu'il y a 5 ans et son état s'améliore chaque jour davantage, pourquoi dans ce cas Oscar Kashala s'estporté candidat aux élections présidentielles? Il l'a fait pour amélioré quoi?
Pourriez-vous énumérer ce qui va mieux qu'il y a 15 et 5 ans?Oui, en effet, la gabegie, le clientélisme, les assassinats, le viol, le détournement des fonds publics, les arrestations arbitraires, la concussion, la trahison, la complaisance sont des lots quotidiens de la vie du congolais. Oui, c'est ce qui est nouveau en RDC.
En ce qui concerne Oscar Kashala, c'est encore pire pour lui parce qu' il avait toute la latitude nécessaire pour faire une bonne campagne (c'est un peu dur sans argent, en effet). Je ne pense pas que ce revirement soit une nouveauté. C'est une personne qui a su rouler beaucoup de gens qui ont cru en lui et ce, pendant très longtemps. Il vient de se ranger du côté des ennemis du peuple, surtout à un tournant aussi important de notre histoire. Il le regrettera amèrement. Quel est son poids politique après cesélections? Rien, zéro. Il est une quantité négligeable.
VOICI CE QUI A CHANGÉ DEPUIS 15 ANS EN RDC :            des militaires congolais tuant des citoyens congolais.


Jésus Christ a multiplié les pains,

 Pasteur Ngoy Mulunda a multiplié les électeurs fictifs !lundi 12 décembre 2011, par Jean Paul BWANA , pasteur évangéliste
Parmi les congolais les plus malheureux, se trouve bien aujourd’hui ce fameux pasteur Daniel Ngoy Mulunda, qui s’est rendu ridicule en voulant plaire à un homme, que de dire la vérité, en procédant à l’annonce des vrais résultats des urnes.

Ce singulier homme de Dieu a voulu rééditer l’exploit de son confrère catholique, l’abbé Malu Malu, qui avait lui réussi à tromper le peuple congolais et l’opinion internationale en proclamant les faux résultats aux termes d’une élection bâclée en 2006 en Rd CONGO. Et en dépit de tous les rappels à l’ordre de sa hiérarchie, particulièrement feu cardinal Frédéric ETSOU, ce prêtre préféra servir le président sortant, avec espoir de recevoir au retour les honneurs et les avantages matériels. Il procéda à sa façon au miracle de la multiplication !

Depuis lors, le peuple congolais garde un très mauvais souvenir des certains hommes de Dieu qui, à cause de l’argent et des honneurs éphémères,  préfèrent soutenir les mensonges et la fraude pendant que le peuple pleure et gémit dans la pauvreté la plus exécrable.

Agissant en opposition de l’idéal divin fixé par le Seigneur Jésus Christ, qui n’avait jamais trahi la bonne cause et n’avait jamais soutenu le mal, ces nouveaux pasteurs à la recherche de l’enrichissement facile ont trouvé au Congo Kinshasa une voie facile de l’enrichissement : le rapprochement avec le Pharaon du Congo.

Tout le monde sait que ce régime politique est corrompu et s’illustre plus par son implication et sa participation à des entreprises criminelles : assassinats politiques, assassinats des journalistes et défenseurs des droits de l’homme, détournement des deniers publics, surfacturation des marchés publics, complaisance dans les nominations à de postes de responsabilités, contrats léonins... Bref, il a tout, sauf les attributs d’un vrai gouvernement patriote.

Placé à la tête d’un des pays les plus riches du monde, en terme du potentiel minier, agricole, pluviométrique et humain, ce régime politique qui a chassé feu Mobutu en 1997 s’est plus illustré par la négation de la dignité du peuple congolais. Selon certains analystes de la haute finance et de la lutte contre la corruption, il s’est révélé plus corrompu que le régime Mobutu de triste mémoire. Le peuple commence même à regretter d’être tombé dans le piège du clan Kabila.

Contre toute attente, en dépit de ce potentiel, ce pays est classé à la queue de la liste des pays les plus pauvres, les plus corrompus, les plus mal gérés, les plus affairistes et les plus assassins. La 187e place qu’il occupe sur la plupart des indices de la pauvreté est bien la preuve de l’incompétence de ce gouvernement congolais.
Et c’est dans ce climat que le peuple congolais est allé aux élections le 28 novembre dernier et a pu sanctionner durement ce régime politique à travers le vote-sanction. Mais curieusement, c’est un prince de l’église qui se donne le toupet d’ignorer les vrais résultats sortis des urnes et traduisant la volonté du peuple congolais qui veut d’une vraie alternance au sommet de l’Etat.

Le pasteur Daniel Ngoy Mulunda, parce que c’est de lui qu’il s’agit, a procédé à des miracles en multipliant les nombres des électeurs dans certaines provinces afin de permettre au président sortant, Joseph Kabila, de rempiler. Si le Seigneur Jésus Christ a lui, multiplié les pains pour nourrir les fidèles qui l’avaient suivi dans le désert, Ngoy Mulunda, lui a multiplié les nombres des électeurs, des bureaux de vote et des PV pour faire passer un candidat que le peuple congolais n’a pas choisi. Et cette haute trahison vient de l’église sensée être le modèle de l’excellence et une unité de référence pour la société.

Depuis la publication de ses faux résultats, l’on constate la levée des boucliers à travers le monde, et où le peuple congolais se lève pour dire non à cette mascarade électorale. Paris, Bruxelles, Londres, Ottawa, Madrid, Berne, JO ‘bourg... Comme les peuples arabes, les congolais ont dit non cette fois ci et donner de la voix afin que la communauté internationale ne laisse pas passer cette tricherie orchestrée par la CENI.

Sans qu’Etienne Tshisekedi le leur demande, par patriotisme et sursaut nationaliste, la diaspora congolaise a dit non et investi la rue dans les principales capitales occidentales afin d’attirer l’attention des décideurs occidentaux sur le danger que court la Rd CONGO, devenue une vraie poudrière, qui peut exploser à tout moment à cause notamment du holdup électoral organisé par le pasteur Ngoy Mulunda.
Et à travers le pays, c’est quasi la même attitude qui est signalée, le peuple congolais dans sa grande majorité a investi la rue pour désapprouver l’entreprise criminelle de Ngoy Mulunda. Et n’eut été le recours aux armes de guerre, certainement que la Rd CONGO aurait déjà basculée dans le cycle de la violence aux conséquences incalculables. Le régime politique Kabila a tué pour maintenir ce semblant ordre dont le peuple n’en veut plus. Que de continuer à subir les humiliations et assister passivement à sa mort programmée par la classe politique au pouvoir, le congolais préfère payer de son sang. Hormis les 18 morts enregistrés jusque là, l’heure est désormais au comptage des victimes du régime politique Kabila.

Et selon les dernières statistiques provisoires, rien que depuis la publication de fameux résultats du weekend, on est déjà à 4 morts et avec de centaines de blessés graves admis dans les hôpitaux et dont la vie est en danger ! Voilà comment Joseph Kabila et Daniel Ngoy Mulunda continuent à faire couler le sang innocent du peuple congolais, sans aucun état d’âme. Et tard la nuit, il a été enregistré le cas de l’assassinat d’un défenseur des droits de l’homme dans la zone de l’Est, et certainement que ces statistiques des assassinats vont continuer à grimper la pente, et avec comme conséquence l’invitation de la Cour pénale internationale afin de faire cesser l’écoulement du sang innocent.

Que de voir la CPI venir mettre la main sur ces délinquants et assassins qui font couler le sang, elle doit également œuvrer pour faire respecter la volonté souveraine exprimée par le peuple congolais à travers les urnes. Tout le monde sait pertinemment bien, et les PV l’attestent, c’est bien Etienne Tshisekedi que le peuple a voté, à travers le vote-sanction.

Voyez la preuve du miracle du pasteur Ngoy Mulunda : il a multiplié le nombre d’électeurs pour faire passer son mensonge Ensa Christian

1. En lisant sur Wikipedia, je vois que le Katanga a une population de 5,608,683 hab(en 2010).
On est tous d’accord qu’en 2011 cette population n a pas doublé.
En regardant sur le site de la CENI, je vois que 4,627,302 d’électeurs soit 82,5% de la population du Katanga ont pu voter (donc plus de 82% de la population a plus de 18 ans).
Connaissant le taux de natalité en Afrique et surtout au Congo, combiné à l’espérance de vie des adultes, il ne peut pas y avoir autant d’électeurs au Katanga : impossible !

2. Kinshasa la capitale a 10,076,099 d’habitants mais compte seulement 3,287,745 d’électeurs ; c-à-d que Kinshasa a moins de personnes majeures que le Katanga qui a la moitie de sa population. Cherchez l’erreur..

Ngoy Mulunda démasqué


On savait le régime Kabila, impliqué dans toutes sortes de délinquances économiques pour assouvir sa soif d’argent, cette fois-ci la corruption de ce régime honni a trouvé un autre terrain de jeu, le processus électoral. Alors que le peuple rd-congolais entendait envoyer un signal fort à l’endroit des politiciens véreux qui le gouvernent,

ceux-ci ont trouvé une parade pour contourner la fronde populaire qui s’était exprimée le 28 novembre dernier, jour du double scrutin présidentiel et législatif. En effet, la Fondation Carter -dont le sérieux ne peut être mis en doute- a déclaré que le scrutin présidentiel du 28 novembre n’était pas crédible. A sa suite, la puissante église catholique a étayé le rapport Carter sur les élections. Son Cardinal Laurent Monsengwo Pasinya a affirmé : « que les résultats électoraux n’étaient ni conformes à la vérité ni conformes à la justice ». Et d’ajouter que l’Eglise était prête à oeuvrer pour la manifestation de la vérité des urnes en mettent à la disposition de la Justice les résultats tels que recueillis par ses observateurs. Depuis et même bien avant, les preuves accablantes glanées par les observateurs, les témoins et les journalistes  ne cessent de s’accumuler contre ce processus électoral, qualifié désormais de véritable  hold-up électoral , avec la complicité total de Daniel Ngoy Mulunda, le patron de la CENI (commission électorale nationale indépendante).
Cela se passe au Katanga, artificiellement la circonscription électorale la plus importante du pays avec 4 millions 627.302 électeurs, plus précisément à Manono dans le Nord de cette province. Dans cette circonscription qui fait figure de modèle-type de la tricherie, le nombre total des votants (197 202) est supérieur au nombre total des inscrits (196 932), ce qui nous amène à un  taux de participation de 100,4% alors que la moyenne nationale se situe autour de 56%. En clair, il y a eu dans cette circonscription plus de votants que des électeurs prévus. Voir fac similé ci-dessous. Cela relance, la problématique  de l’audit du serveur central de la CENI exigé par l’opposition. Car il apparaît désormais qu’il contient des électeurs en surplus en faveur du président sortant. Autre bizarrerie dans cette circonscription, Kabila y obtient près de 100% des suffrages exprimés (196 597 soit 99,98%) et Tshisekedi, son principal adversaire, une seule voix, qui peut croire ça. Cela veut dire que personne dans cette circonscription électorale n’est tombée malade, personne n’a perdu sa carte d’électeurs ou encore personne n’est mort entre-temps car l’enrôlement a eu lieu plusieurs mois avant le scrutin . Tout ça n’est pas sérieux, si l’on ajoute aussi le fait qu’il avait abondamment plu dans cette partie de la République. Alors que la plupart de centres locaux  de compilation  des résultats (CLCR) atteignent difficilement taux de compilation de 70%, celui de Manono lui atteint presque les 100% avec ses 99,71%. Loin d’être un cas isolé, cela s’est produit dans les circonscriptions de Malemba Nkulu et de Kabongo, pour ne prendre que ces deux exemples.
Tout ceci montre bien que la tricherie a été bien planifiée. Kinshasa, Bas-Congo, les deux Kasaï, Equateur, Bandundu ont des taux de participation  et de compilation très faible par rapport au Katanga, cela n’est pas un hasard, bien au contraire ça fait partie d’une stratégie de la triche savamment orchestrée par Kabila. Les écarts entrent le taux de participation atteignent parfois plus de 40% entre les zones réputées proches de l’opposition et celles réputées proches du pouvoir. Ses élections étaient une question de vie ou de mort pour Kabila, tant ses adversaires politiques promettaient de déclencher un vaste audit des contrats léonins signés Par le président sortant. Cela aurait démantelé l’empire financier que celui s’est bâti en un temps de record. Pour cette raison le clan Kabila n’était pas prêt à lâcher le pouvoir, il devait s’y maintenir coûte que coûte, y compris par la fraude électorale, pour préserver sa fortune colossale acquise dans la vente au rabais des mines sur les marchés boursiers aux fins de la spéculation. En tout les cas, Vital Kamerhe, vu les irrégularités, a déjà prévenu en assurant que si la Cour suprême de Justice proclamait définitivement Kabila vainqueur, que cela serait « une deuxième provocation du peuple ». il a par ailleurs déposé sa requête à la Cour Suprême de Justice ce lundi 12 décembre, pour faire annuler cette mascarade d’élection. Pour sa part la France par la bouche de son ministre des affaires étrangères Alain Jupé, a déjà pris ses distances avec les résultats de ses élections qu’il juge peu crédibles.

Rocky MTL

Le Cardinal Monsengwo Pasinya dit que Tshisekedi a gagné les élections au Congo

MONSENGWO

Un "Cardinal" dans l´Eglise Catholique..est un "électeur" du Pape et un prelat de haut rang, ainsi Monsengwo n´est pas n´importe qui sur le plan national et surtout sur le plan international..

Ce que nous devons comprendre est que Monsengwo vient de changer beaucoup de choses avec cette déclarationEn effet, jusque là Tshitshi était un "Président auto-proclamé" de la RDC..fait que ne cesse de souligner les medias en Occident  

Mais Monsengwo vient de déclarer Tshitshi "Président", cela change la perception sur le plan international..En effet, il est pratiquement impossible de remettre en cause les affirmations d´un Cardinal qui a eu à conférer avec le Vatican avant de lâcher cette information.

Joseph Kabila qui est lui même "catholique pratiquant"..qui avait fait son mariage dans l´Église Catholique se retrouve dans une position inconfortable!
Tout comme Ngoy Mulunda et son gang se retrouvent subitement contredit pour une fois par un des leaders de la société civile qui possède une autorité morale importante.

Depuis la déclaration de Monsengwo, Tshitshi a cessé d´être un Président auto-proclamé..au contraire, il est "sacré" Président de la RDC par l´Eglise Catholique..avec la bénédiction du Vatican qui aura du mal à prendre des distances avec un Cardinal "Prince de l´Eglise"

Si la légitimité de Tshitshi était contestée jusque là, il obtient par le canal de Monsengwo, une légitimité morale et spirituelle par rapport à son adversaire qui est ainsi désigné "fraudeur" implicitement par l´Eglise Catholique.

Tshitshi n´est plus "seul" car possédant la reconnaissance implicite du Vatican..qui est aussi un État pour ceux qui l oublient  

Monsengwo vient de boulverser le rapport des forces au Congo en offrant à Tshitshi la reconnaissance spirituelle....exactement comme pendant la Conférence Nationale Souveraine  

Vive la théologie de la révolution au Congo  





Apprécions bien la bombe du prélat : sur RTBF, plus aucun doute, Tshisekedi a gagné ces élections !
Monsengwo est le cardinal catholique au Congo, leur chef qui est l'oeil et l'oreille du Vatican;
en le disant il engage donc le Vatican qui n'est pas une puissance politique mais reste
une autorité morale écoutée et peut en influencer plus d'un !

Qu'en attendre ?
Difficile à prévoir aujourd'hui sauf que comme son prédecesseur Etshou, il est déjà devenu
la bête noire de la kanambie, esperons que celle-ci ne commettra l'irréparable comme envers
le précédent !

Mais il y a autre chose : comme la CI, il invite fermement Tshisekedi d'introduire son recours à la CS; seulement après on verrait quoi faire...

Ne doit-on pas alors encourager, faire pression sur le Lider Maximo qu'il fasse 
ce recours; il aura ainsi suivi les règles jusqu'au bout et seulement après selon 
la réponse il sera davantage autorisé à jouer les autres tableaux !

Qu'en pensez-vous ??? 

Interview de Jean-Claude Willame, professeur émérite à l’UCL, spécialiste du Congo et membre de l’équipe de coordination Afrique centrale d’Amnesty International

L’ampleur de ces irrégularités aurait-elle pu modifier le résultat final ?

Je ne crois pas que Tshisekedi ait été battu, cela me semble évident. Quant à la Ceni elle-même, j’y ai rencontré, à Kinshasa en tous cas, bon nombre de gens bien formés, compétents, désireux de bien faire leur travail. Le staff de la Ceni venait de tous les horizons politiques et les compromis ont parfois été difficiles, je n’ai pas eu le sentiment que la Ceni était un instrument aux mains de Kabila. Mais en province, dans d’autres endroits, il est possible que les choses aient foiré…



Massive fraud in DRC poll - Kenneth Mubu


Massive fraud in DRC poll - Kenneth Mubu

Kenneth Mubu
11 December 2011

DA MP says South Africa must not recognise Joseph Kabila as president

South Africa must not recognise Kabila as DRC President
All indications from independent observer missions are that massive electoral fraud has taken place in the Democratic Republic of Congo (DRC).
Under these circumstances, there is no way that the South African government can recognize Joseph Kabila as the democratically-elected President.
Observers have pointed out numerous instances of questionable results.  For example, results from some 2000 polling stations in opposition strongholds were not included in the final tally. There were also impossibly high voter turnout figures of almost 100% in Joseph Kabila's home province. The average for other parts of the country was 59%.
It is also clear to any observer that the elections were not conducted in a free and fair environment:

  • Human Rights Watch found that at least 18 civilians were killed in election-related violence. The majority of these deaths occurred when Kabila's presidential guard opened fire at a rally of opposition supporters. 
  • Electoral chaos included instances where polling stations suddenly moved without warning, voters were unable to find their names on the voting lists and polling stations that ran out of ballots. 
  • There were numerous reports of members of the armed forces trying to influence voters' choices.
  • Observers claimed that they were not allowed entry into many polling statements raising concerns about intimidation and a lack of confidentiality in the voting process. 
  • Illiterate voters claimed that they were accompanied into polling booths by observers from political parties. 

Contrary to reports from most independent observer missions, the SADC observer mission applauded the "sterling job" done by the DRC's national election commission. SADC joined the African Union (AU) in urging candidates to accept the outcome of the "successful" election. This SADC mission is led by the South African Minister of Correctional Services, Nosiviwe Mapisa-Nqakula.
This echoes the SADC response to every Zimbabwean election since 2000. And it is further confirmation of the ANC's instinct to prop up dictators and turn a blind eye to the oppression of innocent African people. A party that openly pledges support for the murderous Mugabe regime - as the ANC did on Thursday - has obviously lost its moral anchor.

If the South African government wants to regain the credibility its foreign policy has lost since the days of Nelson Mandela, it will use every international mechanism at its disposal to push for a democratic outcome in the DRC. Until then, it should not recognise Joseph Kabila as the rightful President of the DRC.

Statement issued by Kenneth Mubu MP, DA Shadow Minister of International Relations and Cooperation, December 11 2011

“les resultats des élections ne sont conformes ni à la vérité ni à la justice”

CARDINAL LAURENT MONSENGWO: “les resultats des élections ne sont conformes ni à la vérité ni à la justice”

RDC/élection: résultats conformes ni à la vérité ni à la justice

KINSHASA – L’archévêque de Kinshasa, le cardinal Laurent Monsengwo, a déclaré lundi que les résultats de la présidentielle en République démocratique du Congo, qui ont donné la victoire à Joseph Kabila, ne sont conformes ni à la vérité ni à la justice.
A l’analyse, les résultats proclamés par la Céni (Commission électorale) le 9 décembre ne sont conformes ni à la vérité ni à la justice, a jugé Mgr Monsengwo dans une déclaration à la presse à Kinshasa. La Céni a annoncé la réélection du président Kabila face à l’opposant Etienne Tshisekedi qui a rejeté ce résultat et s’est autoproclamé président élu.
Les observations de la Conférence épiscopale nationale du Congo (Cenco) et d’observateurs nationaux et internationaux du scrutin posent sérieusement une question de crédibilité de ces élections, comme vient de l’attester le rapport du Centre Carter, a-t-il ajouté.
Mais puisque les résultats sont provisoires et doivent être confirmés par la cour suprême de justice (CSJ), nous demandons aux constestataires d’interjeter appel, de recourir aux voies de droit et de ne pas se livrer à la violence. Dix-huit morts c’est trop !, a demandé l’archevèque, en citant le bilan des violences entre le 26 et le 28 novembre dans le pays donnés par l’ONG Human Rights Watch.
Que la cour suprême se sente donc en conscience interpellée par le peuple congolais tout entier, conclut le cardinal Mosengwo.
La Céni annoncé vendredi la victoire de M. Kabila avec 48,95% des voix contre 32,33% à M. Tshisekedi, qui a exclu tout recours devant la CSJ.
La mission d’observation du Centre Carter a relevé samedi des irrégularités graves lors du processus électoral et la compilation des résultats, mais qui ne remettent pas en cause l’ordre du résultat.
(©AFP / 12 décembre 2011 13h43)