Powered By Blogger

Pages vues le mois dernier

Translate

SACREBOPOL

jeudi 20 février 2014

La police ouvre le feu sur le cortège d'un opposant à Bukavu, des blessés"

Plusieurs blessés dans la répression d'un rassemblement de Vital Kamerhe à Bukavu"

° http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20140220201725/vital-kamerhe-rdc-bukavu-unc-opposition-congolaise-rdc-plusieurs-blesses-dans-la-repression-d-un-rassemblement-de-vital-kamerhe-a-bukavu.html

La dispersion par la police d’un rassemblement de Vital Kamerhe jeudi à Bukavu (est de la RDC) a fait 20 blessés, selon les autorités. Le parti de l'opposant affirme, lui, que deux personnes ont été tuées.

La "caravane de la paix" de Vital Kamerhe dans l’est de la RDC a donné lieu, jeudi 20 février, à des scènes de chaos dans le centre-ville de Bukavu. Selon des sources concordantes, plusieurs partisans de l’opposant, qui s’étaient rassemblés pour le porter en triomphe jusqu’au lieu de son meeting, ont été blessés par les forces de l’ordre lorsque celles-ci les ont dispersés, utilisant notamment des tirs de gaz lacrymogène. Des tirs à balles réelles auraient également été entendus.

Marcelin Cishambo, le gouverneur de la province du Sud-Kivu, faisait état en fin de journée d’un bilan de 20 blessés, dont 12 civils et 8 policiers, tandis que l’Union pour la nation congolaise (UNC, le parti de Kamerhe) affirmait avoir dénombré deux morts et une douzaine de blessés dans ses rangs.

Interdiction tardive

Arrivé à Goma, dans l’est du pays, le 18 février, pour sa "caravane de la paix", Vital Kamerhe avait prévu de tenir un meeting ce jeudi sur la place de l’indépendance de Bukavu, la capitale provinciale du Sud-Kivu. La veille du rassemblement, les autorités municipales lui avaient interdit l’accès à cette place.
Selon plusieurs témoins, vers 17 heures, la centaine policiers qui empêchaient l’accès à la place ont effectué des tirs de sommation avant d'employer des gaz lacrymogène et de charger les manifestants. Vital Kamerhe, qui était porté par certains de ses partisans sur un tipoye (chaise à porteur) en direction de la place, aurait lui-même fait une chute.
Plusieurs boutiques et véhicules ont été cassés ou incendiés, dont une jeep de la police.
Plusieurs boutiques et véhicules, dont une jeep de la police, ont été cassés ou incendiés. Des groupes de partisans de Vital Kamerhe étaient toujours rassemblés dans la ville en fin de journée, certains brûlant des pneus en signe de protestation.
L’UNC avait demandé l’autorisation de tenir son meeting sur la place de l’indépendance il y a plusieurs jours. "Le maire avait accepté que le rassemblement se tienne, mais il avait indiqué à l’UNC la veille qu’il devait avoir lieu au stade de Kadutu", affirme le gouverneur Marcelin Cishambo. "Ce sont ses partisans qui ont commencé à jeter des pierres sur les forces de l’ordre. Celles-ci ont répliqué avec des tirs de gaz lacrymogène. Elles n’avaient pas d’armes létales", assure-t-il.

Stade trop petit ?

"Ce sont les forces de l’ordre qui ont ouvert le feu sur nos partisans, d’abord avec des gaz lacrymogène, ensuite à balles réelles", rétorque André Claudel Lubaya, premier secrétaire général adjoint de l’UNC. Le maire a voulu nous cantonner dans un stade de 10 000 places tout en sachant que c’était impossible : il y avait 300 000 personnes dans les rues." Lubaya affirme ne pas savoir si les deux morts évoqués par l’UNC ont été tués par balles ou lors de la bousculade.

Le déplacement de Vital Kamerhe dans l’est du pays avait déjà été reporté à deux reprises au début du mois, les autorités congolaises empêchant l'ancien président de l'Assemblée nationale de décoller de Kinshasa. Le ministre de l’Intérieur, Richard Muyej, avait alors indiqué à Jeune Afrique qu’une des raisons de ces reports était sa volonté de mieux organiser le déplacement de l’opposant, afin d’éviter que le calme précaire qui prévaut dans la région ne soit perturbé."


La police ouvre le feu sur le cortège d'un opposant à Bukavu, des blessés"

L'arrivée de Vital Kamerhe, chef de l'Union pour la nation congolaise - 


BUKAVU, 20 février 2014 (AFP) - Plusieurs personnes ont été blessées jeudi après-midi à Bukavu, dans l'est de la République démocratique du Congo, par des tirs de la police sur une manifestation organisée par le chef d'un parti d'opposition, selon un journaliste de l'AFP.
Le drame s'est produit vers 17h00 (16h00 GMT), alors que Vital Kamerhe, chef de l'Union pour la nation congolaise (UNC) entrait dans la ville avec plusieurs milliers de personnes, a constaté ce journaliste.
Arrivé un peu plus tôt de l'aéroport de Bukavu, capitale de la province du Sud-Kivu, M. Kamerhe et sa "caravane de la paix" ont été accueillis par une centaine de policiers sur la place de l'Indépendance, à l'entrée de la ville, les empêchant d'aller plus loin.
Après voir utilisé des gaz lacrymogènes, les policiers ont tiré sur la manifestation, qui rassemblait plusieurs milliers de personnes, selon l'estimation du journaliste de l'AFP ayant assisté à la scène. Celui-ci a ensuite vu cinq blessés à l'hôpital Celpa de Bukavu.
M. Kamerhe avait entamé mardi à Goma, capitale du Nord-Kivu, une tournée dans l'Est de la RDC, après avoir été empêché à deux reprises par les autorités de quitter Kinshasa.
Il y avait lancé une "caravane de la paix" devant l'amener à sillonner pendant une quinzaine de jours les provinces du Nord et du Sud-Kivu, meurtries par près de vingt années de conflits.
Ex-meilleur allié du président congolais Joseph Kabila - au pouvoir depuis 2001 et reconduit pour un nouveau mandat de cinq ans à l'issue des élections, contestées, de 2011 - M. Kamerhe est aujourd'hui un de ses opposants les plus actifs.
str/mj/de


La police disperse violemment les partisans de l’opposant Kamerhe











En RDC, Vital Kamerhe demande une enquête indépendante, après les événements survenus jeudi à Bukavu. L'opposant devait tenir un meeting dans le cadre de sa «Caravane pour la paix» dans la capitale du Sud-Kivu. La veille, les autorités locales avaient déclaré que ce rassemblement ne pouvait pas se tenir à l'endroit prévu pour cause de travaux. Finalement, des dizaines de policiers attendaient le convoi. Quand des milliers de personnes ont déferlé, les policiers ont tiré. Selon un dernier bilan fourni par la Croix-Rouge congolaise, un motard est mort dans la bousculade et 24 blessés ont été admis à l’hôpital de Bukavu, dont un blessé par balle.

Vital Kamerhe avait entamé mardi, à Goma, capitale du Nord-Kivu, cette tournée dans l'est de la RDC.  Avec cette arrivée à Goma - après avoir été empêché à deux reprises de quitter Kinshasa par les autorités - il avait lancé cette « Caravane de la paix » devant l'amener à sillonner, pendant une quinzaine de jours, les provinces du Nord et du Sud-Kivu, meurtries par près de vingt années de conflits.
Pourquoi la dispersion de la manifestation a-t-elle été aussi musclée ? La question reste, pour le moment, entière. Le porte-parole du gouvernement, Lambert Mende, a tout de même confirmé douze blessés parmi les civils et huit parmi les policiers.
Ce qui est certain, c’est que dès le départ, il y avait un différend sur le lieu où se tiendrait ce meeting. Au départ, cela devait être place de l’Indépendance mais mercredi, soudainement, sur la Radio Télévision Nationale congolaise, un communiqué du maire annonçait des travaux sur cette même place, rendant ainsi impossible la tenue du meeting à cet endroit.

Une deuxième option a alors été envisagée. La rencontre avec les supporters devait se passer au stade de foot de Bukavu mais il y a eu, là aussi, des problèmes. Selon Vital Kamerhe, il y avait un match organisé dans ce même stade et par conséquent, son cortège a choisi de se diriger vers la place de l’Indépendance, bouclée par la police.
C’est au moment où Kamerhe est monté sur une estrade devant la place, vers 17h00 heure locale(16h00 TU), que des gaz lacrymogènes ont été utilisés. Une centaine de policiers stationnés sur la place de l'Indépendance ont empêché les manifestants d'aller plus loin et la situation a alors dégénéré. D'après plusieurs sources, des tirs à balles réelles ou en caoutchouc ont également résonné mais ce n’est pas encore confirmé.

Selon le porte-parole du gouvernement, c’est pour empêcher que Vital Kamerhe tienne son meeting sur cette place que la police est intervenue et a tiré des grenades lacrymogènes. Il ne confirme pas les tirs à balles réelles ou de balles en caoutchouc. D’après Lambert Mende, aucun policier, à Bukavu, n’avait d’arme létale. Seuls les quinze policiers venus de Kinshasa pour la protection de Vital Kamerhe étaient armés.
Beaucoup d’éléments restent encore à confirmer. Seule certitude : des milliers de personnes étaient venues accueillir l’opposant Vital Kamerhe dans sa province d’origine, le Sud-Kivu.

« Je ne comprends pas comment le gouverneur gère sa province »

Joint par RFI, Vital Kamerhe dénonce une réaction violente des forces de l'ordre face à un rassemblement pacifique de ses partisans.
« Nous avons fait quatre meetings avant d’arriver à la place de l’Indépendance où la population nous a bien accueilli et nous a entraîné dans la tribune où se trouvaient une quarantaine d’éléments de la Garde républicaine habillés en tenue de policiers et qui ont commencé à tirer à bout portant sur la population ainsi que des bombes lacrymogènes.
Je me suis trouvé à terre complètement inanimé pendant trois ou cinq minutes. Les gens ont cru que j’étais mort, ce qui a fait monter la pression. Et comme je n’aime pas faire d’histoires, j’ai fait le tour de la ville pour que les gens voient que j’étais bel et bien en vie. Mais cela n’a pas freiné la colère de la population. Elle a commencé à bruler des pneus sur la place de l’Unité.
On devait nous unir derrière un idéal à savoir la paix – la paix n’a pas de couleur politique – et on ne comprend pas pourquoi les policiers, en colère, ont commencé à tirer sur les gens qui ne chantaient que leur joie et retrouvaient leur leader. Je ne comprends pas comment le gouverneur gère sa province. »

Ancien allié du président congolais Joseph Kabila - au pouvoir depuis 2001 - Vital Kamerhe est aujourd'hui l'un de ses opposants les plus fervents."




LA POLICE DE ''KABILA" LANCE DES LACRIMOGENES !!!


LA POLICE DE ''KABILA" LANCE DES LACRIMOGENES !!!

LES TROUBLES ONT ÉCLATÉS ALORS QUE LA FOULE IMMENSE A COMMENCÉ À SE DIRIGER VERS LE STADE, AVEC VITAL KAMERHE À SA TÊTE. KAMERHE VA BIEN!!!

DE NOMBREUX BLESSÉS ET ON PARLE DÉJÀ DE MORTS!!! POURQUOI?


Unc Fédération Belgique



Unc Fédération Belgique:

SITUATION CHAOTIQUE A BUKAVU: 
DANS LES HEURES A VENIR, UN BILAN COMPLET ET PLUS DES DÉTAILS. 
POUR LE MOMENT ON CHERCHE A RÉUNIR LES MEMBRES DE LA DÉLÉGATION, LOCALISER LE PRÉSIDENT KAMERHE ET ASSURER UN SUIVI MÉDICAL URGENT AUX BLESSES. A BIENTÔT!!!


Bukavu : Flash...Flash....Flash....12 blessés graves reçus en urgence à l’hôpital général de Bukavu où ils reçoivent des soins. En revanche 2 personnes sont mortes mais c'est à confirmer.




















RDC: la police tire sur une manifestation à Bukavu, plusieurs blessés


BUKAVU (RD Congo) - Plusieurs personnes ont été blessées jeudi après-midi à Bukavu, dans l'est de la République démocratique du Congo, par des tirs de la police sur une manifestation organisée par le chef d'un parti d'opposition, selon un journaliste de l'AFP.

Le drame s'est produit vers 17h00 (16h00 GMT), alors que Vital Kamerhe, chef de l'Union pour la nation congolaise (UNC) entrait dans la ville avec plusieurs milliers de personnes, a constaté ce journaliste.

Arrivé un peu plus tôt de l'aéroport de Bukavu, capitale de la province du Sud-Kivu, M. Kamerhe et sa caravane de la paix ont été accueillis par une centaine de policiers sur la place de l'Indépendance, à l'entrée de la ville, les empêchant d'aller plus loin.

Après voir utilisé des gaz lacrymogènes, les policiers ont tiré sur la manifestation, qui rassemblait plusieurs milliers de personnes, selon l'estimation du journaliste de l'AFP ayant assisté à la scène. Celui-ci a ensuite vu cinq blessés à l'hôpital Celpa de Bukavu.

M. Kamerhe avait entamé mardi à Goma, capitale du Nord-Kivu, une tournée dans l'Est de la RDC, après avoir été empêché à deux reprises par les autorités de quitter Kinshasa.

Il y avait lancé une caravane de la paix devant l'amener à sillonner pendant une quinzaine de jours les provinces du Nord et du Sud-Kivu, meurtries par près de vingt années de conflits.

Ex-meilleur allié du président congolais Joseph Kabila - au pouvoir depuis 2001 et reconduit pour un nouveau mandat de cinq ans à l'issue des élections, contestées, de 2011 - M. Kamerhe est aujourd'hui un de ses opposants les plus actifs.


(©AFP / 20 février 2014 17h47) 



la police disperse un rassemblement de l’UNC à Bukavu, des blessés



























La police a lancé des grenades lacrymogènes et tiré des coups de feu pour disperser un rassemblement de l’Union pour la Nation congolaise (UNC) jeudi 20 février à la place de l’indépendance à Bukavu, dans le Sud-Kivu. 

Les militants de ce parti, portant leur président Vital Kamerhe sur le traditionnel tipoye, voulaient l’installer sur l’estrade de cette place où il devait tenir un discours. La police est alors intervenue pour les disperser. 

Plusieurs personnes ont été blessées dans la débandade qui s’en est suivie. La manifestation avait été interdite plus tôt par le maire de la ville qui avait décidé sa délocalisation vers un autre lieu.

Le président de l’UNC est arrivé à Bukavu vers 16h30’. Des militants de son parti l’ont porté sur une chaise traditionnelle appelée tipoye avec l’intention visible de l’installer sur l’estrade de la place de l’indépendance, où l’attendait une grande foule de partisans.

A l’approche des manifestants, la police, qui était déployée sur les lieux, a lancé des grenades lacrymogènes et tiré des coups de feu pour disperser la population.

Dans la débandade qui s’en est suivie, Vital Kamerhe est tombé de sa chaise mais a pu être évacué par la police. Il regrette la tournure prise par les événements.

«C’est vraiment regrettable. Si nos militants n’étaient pas disciplinés, on allait avoir plus de dégâts que maintenant. Il y a eu des blessés. Jusque là, je ne sais pas s’il ya eu des morts. Moi-même, j’étais à terre. Le seul tort que nous avons eu, c’est d’avoir été accueilli triomphalement», a-t-il affirmé.

Le président de l’UNC condamne en outre « l’irresponsabilité » des autorités dans la gestion de cette manifestation.

«Je ne sais pas où le gouverneur avait la tête. Une telle marée humaine, comment voulez-vous que 10 à 40 policiers la contiennent ? Il y avait plus de 300 000 à 400 000 personnes. C’est de l’irresponsabilité. Il pouvait déjà prévoir ça», a-t-il expliqué.

La veille de ce rassemblement, le maire de la ville de Bukavu, Philémon Yogolelo avait annoncé sa délocalisation de la place de l’indépendance vers le stade de la Concorde de Kadutu.
Dans un communiqué diffusé sur l’antenne provinciale de Radio télévision nationale congolaise (RTNC) et à la Radio Maendeleo, le numéro un de la ville avait justifié cette décision par « des travaux en cours ».

Cependant, le reporter de Radio Okapi, en sillonnant la place de l’indépendance, n’y avait vu aucune trace de travaux, si ce n’est une forte présence policière.

De son côté, le bourgmestre de la commune de Kadutu avait expliqué que cette manifestation était délocalisée pour ne pas entraver la circulation au rond-point de la place de l’indépendance.

Quant aux membres de l’UNC, ils avaient rejeté cette décision, affirmant que le stade de la Concorde de Kadutu, qui accueille dix mille personnes, ne saurait contenir tous les sympathisants de ce parti.





Incidents à Bukavu en marge du meeting de Vital Kamerhe


Par: kongolo joseph De: bukavu
20.02.2014 20:22


Les autorités de notre province ne sont pas sérieux et pas à leur place
Bukavu n a qu' une seule route, le peuple avait déjà choisi d accompagner son leader.
Ils n ont pas réfléchi à tout ceci et voilà ils ont demandé à la police de tirer nous sommes témoins.
Par: yves De: bukavu
20.02.2014 19:52

peut être le gouverneur n'est pas à bukavu pour affirmer cela ;s'il a été informé à distance je lui conseillerai de ne plus avoir confiance à ses proches de bukavu ou soit les désavouer; il faudra qu'il visite l’hôpital de Bukavu à son retour pour qu'il se rende compte de dégâts et pourquoi VK sachant la situation a pu monter sur la tribune pourtant cette place lui a été interdite il faut avoir pitié du peuple 2016 s'annonce déjà très très chaud SVP cultivons la démocratie chez nous .Même s'il n'y a pas de victoire sans victimes + 6 000 000 de morts c'est plus que la Shoah il faudra combien encore pour que ça puisse créer l'emoi


Par: francisco De: saurimo angola
20.02.2014 18:48

Peu importe, kabila kanambe doit partir en 2016






Tension ce jeudi à Bukavu. La capitale provinciale du Sud-Kivu accueille l’enfant du pays, Vital Kamerhe.

Le leader  de l’Union pour la Nation Congolaise devait tenir un meeting sur la place de l’Indépendance mais des incidents ont eu lieu avant le début de la rencontre faisant plusieurs blessés.

Les versions divergent mais des coups de feu auraient été tirés selon M.Kamerhe qui affirme avoir été intoxiqué par du gaz lacrymogène.

Il met en cause les autorités provinciales et a reagi en premier sur la Voix de l'Amerique.
"Je me porte bien mais ce sont des actes de barbarie inexplicables.Le gouverneur de province n'est pas à sa place. Il reçoit les ordres du président Kabila mais il doit réfléchir", explique M.Kamerhe.
Vital Kamerhe joint par Nicolas Pinault

Le gouverneur du Sud-Kivu dement ses accusations. Marcellin Tchishambo affirme que les policiers n’ont tiré aucun coup de feu et que le lieu de la manifestation n’avait pas été autorisé.
Marcellin Cishambo joint par Nicolas Pinault

ARRIVÉE DE VITAL KAMERHE À BUKAVU



Le président de l’Union pour la nation Congolaise (UNC) est attendu jeudi 20 février dans l’après-midi à Bukavu au Sud-Kivu. A son arrivée, Vital Kamerhe devrait tenir son meeting à la Place de l’indépendance. Mais cette manifestation a été délocalisée pour le stade de la Concorde de Kadutu. Le maire de la ville justifie cette décision par le déroulement « des travaux en cours » sur ce lieu public. Ce qui n’enchante pas les membres de ce parti de l’opposition.

Tôt ce matin, la place de l’indépendance a été ceinturée par des policiers bien équipés.

La veille, un communiqué du maire de Bukavu, Philémon Yogolelo, diffusé sur l’antenne provinciale de Radio télévision nationale congolaise (RTNC) et à la Radio Maendeleo, invitait les sympathisants de l’UNC à ne pas se regrouper à la place de l’indépendance « pour cause des travaux en cours », sans préciser la nature de ces « travaux ».

Le reporter de Radio Okapi qui a sillonné la place de l’indépendance a constaté qu’aucun travail ne s’effectue sur ce lieu public. Il n’a vu qu’une femme qui balayait le trottoir au milieu d’une foule de policiers.

Le bourgmestre de commune de Kadutu a pour sa part indiqué que l’UNC a été autorisée à organiser son meeting au stade de la Concorde. Selon Munyole Bekao, c’est pour ne pas entraver la circulation au rond point de la place de l’indépendance.

Cette proposition semble ne pas plaire aux membres de l’UNC.
Le député UNC Kizito Mushizi en vacances parlementaires à Bukavu rejette la proposition des autorités de la ville. D’après lui, le stade de la Concorde de Kadutu qui accueille dix mille personnes ne saurait contenir tous les sympathisants de son parti. Il craint des bousculades qui pourraient causer des dégâts humains.

Vital Kamerhe est arrivé à Goma au Nord-Kivu depuis mardi 18 février, première étape de sa tournée dans l’Est de la RDC. Sur place, il a demandé aux groupes armés de désarmer et de laisser la sécurité des villages et villes aux FARDC et à la Mission des Nations unies en RDC (Monusco).

- See more at: http://bukavuonline.com/2014/02/bukavu-refus-vital-kamerhe-la-population-se-rencontrer-la-place-de-lindependance/#sthash.BLXN5rxz.m2VZa9Kk.dpuf

BUKAVU, un jour avant le déluge....... l'arrivée de Vital Kamerhe...


Eliezer Ntambwe:

Arrivé à Butembo a 16h Vital Kamerhe annonce son Alliance avec Mbusa Nyamuisi.

Surplace, il dénonce l'abandon de cette ville par le régime en place et rappelle aux habitants la fraude électorale de 2011.

Vos questions nous permettront de bien travailler car c'est pour vous que nous sommes là comme votre témoin na système ya lisu likolo ya lisu, bobanga te naza kaka wa bino sinon bokozua réponse na ba images.
Bonne journée je vous aime bien.


Le lieu où devait se tenir le meeting à Bukavu est inondé d'éléments de la police, service de renseignements et militaires. Où se passera alors la manifestation? Le stade de Kadutu que les autorités politiques de MP à Bukavu avait promis n'est plus accessible selon les responsables du stade.





































































Prévu à la place de l’Indépendance, ledit meeting vient d’être délocalisé par les autorités vers le stade de la Concorde déjà occupé par des prétendus organisateurs d’un match de football! controverse sur le lieu de déroulement du meeting de Vital Kamerhe