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SACREBOPOL

mercredi 20 juillet 2011

Massamba Kinuani se lance en politique

Massamba Kinuani se lance en politique 
Un grand homme d’ affaire congolais Massamba Kinuani le frère de Didi Kinuani a décidé de se lancer en politique car selon lui depuis l’ indépendance le Congo n’ a pas encore commencé à aller vers l’ avant. Pour rappel le groupe Kinuani avait fait un don de 100.000$ il ya quelques années comme aide aux femmes violées de l’ est. Na temps, suivez ces images !




(CONGOMIKILI)

DIOMI NDONGALA (DC) MOBILISE MASSIVEMENT AU QUARTIER POPULAIRE DE NDJILI – PLACE S. THERESE

 MEETING POPULAIRE ET SOUTIEN A LA CANDIDATURE UNIQUE D’ ETIENNE TSHISEKEDI A LA PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE
JOURNEE POLITIQUE AUTOUR DE LA MOBILISATION, DE L’ EXPLICATION DU PROGRAMME ET DE LA NECESSITE DE L’ALTERNANCE POLITIQUE EN R.D.CONGO.



Après les propos xénophobes de Gabriel Kyungu, le silence des Kasaïens et du pouvoir en place étonne
Par  Le Potentiel

Dans son numéro du 1er Juillet 2011, le journal Le Potentiel parle de : « l’intolérance politique et de l’appel à la haine tribale au Katanga. La Fédération internationale des droits de l’Homme se saisit du cas Kyungu ».
Il y a lieu de rappeler que certains médias internationaux et nationaux dont la Radio Okapi ont dénoncé au courant du mois de juin dans leurs bulletins d’informations les propos xénophobes du Président de l’Assemblée Provinciale du Katanga, Monsieur Kyungu wa Kumwanza à l’endroit des non ressortissants du Katanga, et en particulier les Kasaïens. Malgré la montée au créneau de certains médias et organisations nationales et internationales des droits de l’Homme contre cette incitation à la haine tribale, il y a lieu d’observer et comme toujours le silence des concernés, je cite ici « les Kasaïens » et comme du temps du Mouvement Populaire de la Révolution, le parti-Etat de Mobutu, le silence étonnant du pouvoir en place.
L’attitude des Kasaïens que nous sommes, pourrait être interprétée comme de la faiblesse, des gens vivant dans une torpeur, un traumatisme collectif qui laisse croire qu’ils sont toujours et encore capables de faire leur deuil et de rebondir dans cette adversité permanente et récurrente quoique meurtris mais tête haute. La preuve est que nous regagnons le sol katangais malgré toutes les brimades, les humiliations comme des sans domiciles fixes, communément appelés sous d’autres cieux des « SDF ». En effet, quoi d’étonnant lorsque dans nos cohabitations avec nos frères et soeurs, nous portons les qualificatifs de « de Mulu », « Tshitantshi », « Kilulu » « Manseba » ou de » Wewa »…, j’en passe.
Il est bon d’analyser froidement, sans émotion, en toute objectivité, sans tomber dans une polémique politicienne, ni dans la bassesse la plus rétrograde, la récurrence de ces attaques xénophobes en s’instruisant de l’histoire passée, des expériences vécues par les uns et les autres, du contexte juridique national et international et des perspectives d’avenir de la démocratie en République démocratique du Congo.
Comme le soulignait un éminent homme de science congolais, nous citons « la RDC est à réinventer », nous partirons de cette vision forte pour porter également notre analyse. Notre préoccupation constante devrait être comment remettre notre pays sur la voie du développement dans un contexte mondial où il est clairement établi qu’aucune nation, une entité ne peut se développer seule en vase clos sans s’ouvrir aux ressources, aux compétences extérieures aussi bien humaines, matérielles et financières. Nous en voudrions pour preuve, au niveau national, pour réaliser le programme de développement articulé autour des cinq chantiers, le gouvernement recourt à l’aide multiforme de ses partenaires financiers extérieurs. L’Europe, les Etats-Unis d’Amérique jusqu’à ce jour acceptent sur leurs territoires des immigrés comme ressources humaines additionnelles indispensables pour tenir et assurer un bon niveau de productivité dans tous les domaines. L’histoire même de notre pays, voire de la province du Katanga montre que pour tenir et assurer un certain niveau de productivité et de leadership économique, de tous les temps, l’afflux massif des ressources humaines externes aussi bien nationales qu’expatriées a été déterminant.
Le Katanga, poumon économique de notre pays jadis, à cessé de l’être à chaque fois qu’il y a eu des événements malheureux ayant entrainé entre autres le départ massif des ressortissants d’autres provinces et en particulier ceux du Kasaï. Il est aisé également de remarquer que la reprise économique survient toujours avec le retour des « refoulés », toutes origines confondues.
Dans le contexte de la décentralisation politique, administrative et territoriale, il y a lieu de croire que certaines entités seront tentées de la dissocier avec le développement économique et donc de se refermer sur elles-mêmes et s’asphyxier lentement mais sûrement.
Voyons les atermoiements de Kyungu wa Kumwanza à l’approche des élections, il apparait clairement que c’est une arme qui ne pourra plus fonctionner comme elle l’a été en 1960 et en 1992, elle est contreproductive à la fois pour le Katanga et pour le pouvoir actuel. Il ne faut pas se leurrer, les Kasaïens ne fuiront plus et jamais le Katanga, il faut se le dire. Ils sont fils et filles de ce pays et sont libres de s’établir là où ils veulent dans le pays et contribuer au développement socio-économique à la fois du Katanga et de toute la République démocratique du Congo.
En effet, le discours de Kyungu wa Kumwanza traduit une peur morbide qui le hante en se faisant passer pour le défenseur du pouvoir actuel.
Dans le contexte sociopolitique, économique et juridique mondial actuel où les droits humains et ses implications sont devenus des conditions indispensables pour la gestion d’une Nation, il sera suicidaire de soutenir par omission volontaire, involontaire ou encore activement des individus dont les agissements passés, présents et futurs sont un discrédit incommensurable pour le pouvoir en place. Dans l’environnement juridique international actuel, il y a ceux de nos compatriotes qui travaillent acharnement et sans relâche à l’établissement d’une ère nouvelle de démocratie dans toutes ses dimensions. C’est pour dire que les Kasaïens n’ont pas oublié ce qui s’est passé en 1992-1993 au Katanga. Pour dire, même à titre posthume, Monsieur Kyungu wa Kumwanza sera traduit devant les cours et tribunaux nationaux, voire internationaux.
Ce n’est qu’à ces conditions que nous ferons notre deuil et clôtureront cette histoire macabre de refoulement. Notre silence n’est pas signe de faiblesse, mais de sagesse, de respect des droits humains, des institutions du pays, signe de notre attachement à remettre le peuple congolais, le peuple kasaïen dans cette vision de réinvention à même d’assurer le bien-être d’un chacun où qu’il se trouve dans le pays.
Le cas Kyungu wa Kumwanza n’est pas une affaire des seuls Kasaïens, mais de conscience nationale et, au-delà, internationale. Si nous pensons que la RDC est à réinventer afin de nous forger une place crédible dans cet environnement géopolitique, géostratégique mondial et jouer le rôle qui est le nôtre, il va de soi, dans la définition du type, du profil que devra revêtir désormais l’homme politique congolais, le critère de moralité, aie une place importante et inscrit dans la loi électorale. En outre, les assemblées provinciales d’abord, en commençant par celles du Katanga et de deux Kasaï, l’Assemblée nationale et le Sénat à leur tour devront en faire un sujet d’intérêt national. Ce n’est qu’à ses conditions là que nous pouvons croire que notre pays s’est engagé résolument vers la démocratie, le développement et que l’histoire ne va plus se répéter.
Gabriel Kyungu
Le peuple congolais est en lutte contre la balkanisation du pays dans sa partie Nord-est du fait de l’envie démesurée des «chasseurs de prix » pour nos richesses minières et autres. Mais une des richesses qui a fait notre force et a constitué une arme de propagande la plus efficace des pouvoirs qui se sont succédé a toujours été l’unité nationale. La xénophobie est une arme puissante qui offre à la balkanisation des racines qu’il sera difficile d’ôter, d’extirper. La balkanisation socioculturelle, politique est plus meurtrière, car elle ronge de l’intérieur ce qui est même le fondement d’une nation, d’une société, d’une communauté. Aucun parti politique, aucun individu qui brigue le pouvoir à quelque niveau que ce soit ne peut demeurer indifférent de peur d’être complice volontaire ou involontaire, passif ou actif de tels agissements.
C’est pour cela que notre Hymne National se termine par ces belles paroles : « Serment de Liberté ! Que nous léguons à notre Postérité ! Pour toujours ! » Ce n’est pas Kyungu wa Kumwanza et ses diatribes que nous allons léguer aux générations futures ! Cela jamais et plus jamais ça !
DOCTEUR BADIBANGA N’SAMBUKA Coordonateur provinciale de la NSCC au Kasaï Oriental


AU COURS DE SON MEETING A LA PLACE SAINTE-THERESE DE N’DJILI,  Etienne Tshisekedi prend le pouvoir le 6 décembre 2011 dixit Diomi Ndongala

Mercredi, 20 Juillet 2011 10:18


La place Sainte-Thérèse de N’djili était prise d’assaut le dimanche 17 juillet 2011 par une marée humaine venue écouter le président de la Démocratie chrétienne (DC), Eugène Diomi Ndongala Nzamambu. Dans une ambiance festive, ses partisans, drapeaux en main et habillés aux couleurs du parti, scandaient chansons et slogans de leur formation politique.
C’est dans une ambiance festive qu’Eugène Diomi Ndongala Nzomambu, président national de la Démocratie chrétienne (DC) a été accueilli le dimanche 17 juillet 2011 à la place Sainte-Thérèse de N’Djili par une foule compacte venue à ce rendez-vous tant attendu par les partisans du district de la Tshangu. Le secrétaire général Freddy Kita qu’entouraient des cadres du directoire ainsi que le comité du district de la Tshangu et communal de N’djili, s’étaient apprêtés pour la circonstance. Après qu’une gerbe de fleurs lui soit remise par une fillette, le président de la DC s’est fait dirigé sous les acclamations de la foule jusqu’à la tribune peu avant de monter au podium.
Tshisekedi prendra le pouvoir le 6 décembre 2011
Dan son adresse fort attendue, Eugène Diomi Ndongala a commencé par indiqué que l’opposition politique s’est rangée derrière Etienne Tshisekedi wa Mulumba, son seul et unique candidat à la présidentielle de novembre 2011. «Sous n’importe quelle circonstance, ce denier prendra le pouvoir à la date du 6 décembre 2011», a-t-il tempêté. Evoquant le programme des cinq chantiers que le gouvernement exécute depuis des mois, l’avis de l’orateur a été impitoyable. Pour lui, les cinq chantiers qu’on ne cesse de brandir à la face de la population ne sont qu’un véritable trompe l’oeil. Car, on ne sait exactement pas si ces chantiers ont été bien planifiés au préalable pour qu’à ce jour on assiste à leur échec cuisant. Pour ce qui est de l’emploi, le président de la DC a indiqué qu’une fois au pouvoir, l’opposition politique entend recenser tous les chômeurs qui seront payés en vue de leur permettre de subvenir aux besoins quotidiens. Les travailleurs, quant à eux, devront bénéficier d’un salaire décent. Car, a-t-il ajouté, ce n’est pas du tout l’argent qui manque à la RDC, mais plutôt la volonté à faire le bien.
«Nous aurons à créer des écoles professionnelles ainsi que de grandes usines… Nous mettrons en place une Justice réelle. Par ailleurs, nous allons revenir aux cartes d’identité en vue de connaître qui est réellement Congolais et qui ne l’est pas. Au lieu de nous laisser tromper continuellement par le maudit système d’enrôlement interminable».
Eugène Diomi Ndongala Nzomambu a appelé les membres de son parti ainsi que tous les Congolais à adhérer massivement aux idéaux et objectifs de l’opposition politique qu’incarne Etienne Tshisekedi wa Mulumba, peu avant de promettre fermement qu’il reviendra une fois de plus en ce lieu dan le cadre de l’installation de nouvelles structures de l’opposition politique. Cette rencontre politique a été agrémentée par l’artiste musicien Marie Paul et son groupe.
                                                                                                                        Daudet Luzayamo
tp://fsddc.wordpress.com/2011/07/20/au-cours-de-son-meeting-a-la-place-sainte-therese-de-ndjili-etienne-tshisekedi-prend-le-pouvoir-le-6-decembre-2011-dixit-diomi-ndongala/

La Ceni reçoit 30 millions USD du gouvernement

 – A gauche, Ngoy Mulunda, président de la Ceni et à droite, Matata Ponyo, ministre des Finances ce 30 avril 2011   
A gauche, Ngoy Mulunda, président de la Ceni et à droite, Matata Ponyo, ministre des Finances ce 30 avril 2011

Le gouvernement de la RDC a remis, mardi 19 juillet, à la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), sa nouvelle contribution de 30 millions de dollars américains. Le président de la Ceni, Daniel Ngoy Mulunda l’a annoncé le même jour à Kinshasa.
Cette somme porte à 110 millions de dollars américains la contribution du gouvernement congolais dans le processus électoral depuis la mise en place de la Ceni en mars 2011, a souligné Daniel Ngoy Mulunda.
Selon lui, le financement reçu va servir à l’achat du matériel notamment des urnes et des isoloirs.
Dimanche 26 juin, le gouvernement avait donné 20 millions de dollars à la Ceni. Le ministre des Finances avait promis une autre enveloppe de 30 millions de dollars pour le mois de juillet. Ce qui vient d’être fait.
Il a précisé que pour l’actuel cycle électoral, qui a démarré avec la CEI, le gouvernement congolais a déjà déboursé 190 millions de dollars américains.
http://radiookapi.net/actualite/2011/07/20/la-ceni-recoit-30-millions-usd-du-gouvernement/

France - Afrique : avertissements



Nicolas Sarkozy et Blaise Compaoré, au défilé du 14 juillet 2010, à Paris. © AFP

Les présidences burkinabè, camerounaise et congolaise (RDC) ont reçu ou s'apprêtent à recevoir des messages de fermeté de la part de la France. Paris affirme qu'aucun soutien ne leur sera accordé si leurs scrutins respectifs ne sont pas crédibles.
La France ne soutiendra qu’un processus électoral juste, crédible et transparent. Tel est le message transmis au président burkinabè Blaise Compaoré, par l’intermédiaire de Luc Adolphe Tiao, son Premier ministre, en visite à Paris du 4 au 9 juillet. « Les tentatives, ou tentations, de révision constitutionnelle sont inopportunes », ajoute un diplomate, faisant allusion à l’article 37 limitant à deux le nombre des mandats présidentiels
À Yaoundé, Paul Biya, probable candidat à sa propre succession, en octobre, a entendu la même petite musique, le 1er juillet, au cours de son entretien avec Henri de Raincourt, le ministre français de la Coopération. 
Quant à Joseph Kabila, à Kinshasa, « des positions très fermes lui seront exprimées, dès que possible, dans la perspective de l’élection du 28 novembre », assure la même source. Alain Juppé, le chef de la diplomatie française, devait se rendre en RDC lors d’un récent périple africain (9-11 juillet). La visite a été annulée pour « une question d’agenda ». Kabila est prévenu.

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