A Réveil FM International, nous encourageons toujours ceux des Chefs d'Etat africains qui sont arrivés au pouvoir par la vérité des urnes et non par la kalachnikov. Notre position est claire et sans ambiguité n'est pas légitime qui veut ! Il est très facile d'être dictateur en Afrique, de s'imposer par la force, d'avoir droit de vie et de mort sur n'importe qui et de manifester mille et une difficulté pour marcher normalement sur le tapis rouge de l'Elysée. C'est ahurissant ! La majorité des chefs d'Etat n'ont même pas eu le courage ni de dire "Bonjour aux journalistes alignés en oignon" encore moins de regarder les 250 journalistes présents. Il fallait leur arracher un petit bonjour timide, ils avaient vraiment la trouille.
Palais de l'Elysée, vendredi 6 décembre 2013, le drapeau français en berne suite à la mort de Nelson Mandela
Vendredi 6 décembre 2013, lors de l'accueil des présidents africains par François Hollande sur le tapis rouge dans la cour d'honneur de l'Elysée, Réveil FM International a observé que : Paul Biya, le dictateur Camerounais à temps partiel peinait à marcher. Les 500 m du tapis rouge lui ont paru une éternité.
Autant Paul Biya s'accroche au fauteuil -il possède aujourd'hui la plus belle longévité d'Afrique francophone, 80 ans -, autant il a le tact de ne pas imposer sa présence aux Camerounais. C'est un président saisonnier. Il peut résider à l'étranger (de préférence à l'hôtel Intercontinental de Genève) jusqu'à huit mois par an.
Idriss Déby du Tchad ne marche pas bien sans canne !
Le coup de vieux de Denis Sasou Nguesso du Congo-Brazzaville, Alfa Condé de la guinée équatoriale, et Blaise Compaoré du Burkina faso étaient très visibles.
Il faut dire début novembre 2013, Denis Sassou N’Guesso 70 ans a fait une grave chute de cheval dans son ranch d’Edou en présence du togolais Faure Essozimna Gnassingbé.
Quant à Blaise Compaoré, il n'a jamais répondu de l'assassinat de son frère ami Thomas Sankara ni du journaliste Norbert Zongo.
Alors que ces dictateurs africains ont la mauvaise habitude de zigouiller les opposants et les journalistes dans la nuit, au grand jour certains ont été incapables de regarder du côté des journalistes tellement ils semblaient petits, minables et chétifs !
Quant à l'imposteur Joseph Kabila qui dirige par défi la République démocratique du congo, malgré ses dix féticheurs Sakata du Bandundu logés aux frais de la République dans des hôtels parisiens pour envoûter les Résistants-Patriotes-Combattants, sa défaite est cuisante.
En effet, l'incapacitaire de kingakati a trouvé mieux de transformer des journalistes de sa délégation en applaudisseurs et djaleloïstes qui ont scandé "Raïs" pour faire croire aux autres journalistes qu'il est populaire, lui le mal élu. Son second hold-up électoral opéré en novembre 2011 demeure un cauchemar pour lui. Depuis quand des journalistes tombent-ils en transe sur le simple fait qu'un usurpateur foule un tapis rouge de l'Elysée?
Alors nous étions encore à l'Elysée, nous apprendrons plus tard que 79 congolais étaient interpellés par la police française puisque la voiture officielle de Joseph Kabila a été caillassée.
C'est ce qui explique que la voiture qui l'a ramené dans la cour d'honneur de l'Elysée avait certes le fanion de la RDC mais n'avait pas la mention République démocratique du Congo car chaque voiture officielle indiquait le nom du pays... Des journalistes congolais qui accompagnent l'imposteur étaient-ils au courant de ce qui s'était passé à l'OIF et voulaient-ils récupérer la situation en scandant très haut et fort le pseudo "Raïs"de l'imposteur ?
Le président Béninois Yayi Boni est le seul chef d’Etat africain a être arrivé dans une voiture banalisée sans fanion ! Comme quoi rien n'est sûr sur ce qui va se passer en 2016 au Bénin, Yayi Boni finira-t-il par tripatouiller la Constitution pour se représenter ?
Photos, les plus chouchoutés du sommet de l'Elysée !
Madame Nkosazana Dlamini-Zuma présidente de la Commission de l’Union africaine depuis le 16 juillet 2012 a béneficié de l'effet disparition de Nelson Mandela.
Ibrahim Boubacar Keïta, président malien et François Hollande
Jean-Bedel Bokassa se couronna empereur le 4 décembre 1977, soit deux jours après la date anniversaire de celui de Napoléon Bonaparte, 173 ans auparavant (Napoléon Ier a été sacré empereur le 2 décembre 1804). La cérémonie eu lieu au palais des sports de Bangui. Le sacre se déroula au cours d'une cérémonie à laquelle assistèrent 5 000 invités, dont le ministre français de la Coopération Robert Galley. Aucun chef d'État ne s'y rendit, excepté le Premier ministre de l’Île Maurice. Pour marquer l’événement, Bokassa revêtit une réplique du costume que portait Napoléon Ier lors de son sacre. La cérémonie fut très fastueuse: 10 000 pièces d'orfèvrerie, 200 uniformes d'apparat, 600 smokings et pas moins de 60 000 bouteilles de Champagne et de Bourgogne. De nombreux artisans et créateurs français furent mis à contribution par l'intermédiaire de Jean-Pierre Dupont. Un trône monumental fut créé par le sculpteur Olivier Brice, empruntant le symbole de l'aigle à Napoléon. La garde-robe impériale fut conçue par Pierre Cardin. La couronne en or pur, confectionnée par le joaillier Claude Arthus-Bertrand, comportait 7 000 carats de diamants, dont l'un de 60 carats. À la fin de la cérémonie, le nouvel empereur remonta les rues de Bangui à bord d'un carrosse de bronze et d'or tirés péniblement par huit chevaux importés de Normandie, (Haras du Pin), envoyés par l'Elysée. Deux chevaux moururent lors du trajet ce qui contraint la famille impériale à parcourir les derniers mètres en limousine. On chiffra la cérémonie à quelque 100 millions de francs, financés en partie par le « cher cousin » Mouammar Kadhafi. Son titre complet était « Empereur de Centrafrique par la volonté du peuple centrafricain, uni au sein du parti politique national : le MESAN » ("Mouvement pour l'évolution sociale de l'Afrique noire"). Ce dernier épisode lui valut une réputation de mégalomane. Bokassa justifiait ses actions en déclarant que la création d'une monarchie aiderait la Centrafrique à se distinguer des autres pays africains et à gagner le respect des autres pays du monde. Il prétendit mettre en place une monarchie constitutionnelle, mais son régime demeura une dictature redoutable et violente.
Ban Ki moon, secrétaire général de l'ONU et François Hollande
Les 15 pays membres du Conseil de sécurité sont parvenus dans la soirée du mardi 3 décembre 2013 à un consensus sur un projet français de résolution sur la crise en République centrafricaine (RCA), qui a été adopté à l'unanimité jeudi 5 décembre matin.
La résolution donne mandat à la force panafricaine présente en RCA (Misca) de se déployer « pour une période de douze mois », avec une clause de révision au bout de six mois, afin de « protéger les civils et de rétablir l'ordre et la sécurité par les moyens appropriés ». Elle autorise aussi les forces françaises en RCA à « prendre toutes les mesures nécessaires pour soutenir la Misca dans l'exercice de son mandat ».
Le texte est placé sous le chapitre 7 de la charte de l'ONU qui prévoit le recours à la force. La résolution demande aussi au secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, de présenter dans les trois mois un rapport donnant des recommandations pour « une transformation éventuelle de la Misca en opération de maintien de la paix de l'ONU » si les conditions politiques et de sécurité dans le pays le permettent.
Cette transformation ne sera pas automatique, a tenu à souligner mardi devant la presse l'ambassadeur français Gérard Araud, représentant permanent de la France auprès des Nations unies à New York. « A ce stade il est difficile de savoir si la force africaine avec le soutien des forces françaises sera capable de faire le travail », a-t-il expliqué. « Si la force africaine fait le travail, il n'y aura pas besoin d'une force de maintien de la paix ». Selon un récent rapport de l'ONU, une telle force devra compter de 6 000 à 9 000 hommes pour être efficace.
Le premier ministre centrafricain, Nicolas Tiangaye et françois Hollande
Macky Sall, président du Sénégal et François Hollande
Jakaya Kikwete, président de la Tanzanie et François Hollande
Photos, les plus simples
Goodluck Jonathan, président du Nigéria.
Pierre Nkurunziza, président du Burundi
Boni Yayi, président du Bénin
Photos, les plus fatigués !
Paul Biya du Cameroun et François Hollande.
Denis SassouNguesso du Congo-Brazzaville et François Hollande
Blaise Campaoré, président du Burkina Faso
Idriss Déby , président du Tchad et François Hollande
Alpha Condé, président de la Guinée-Conakry.
Téodoro Obiang Nguema, président de la Guinée Equatoriale
Alasane Ouattara, président de la Côte d'Ivoire
Moncef Marzouki, président provisoire de la Tunisie
Avec son « Livre noir », le Président tunisien Moncef Marzouki risque mille ans de prison ! Moncef Marzouki, Président provisoire de la République tunisienne, vient de publier, par le biais du Département d’Information et de Communication de la Présidence de la République, un livre, de 354 pages, n’entrant pas dans ses prérogatives présidentielles, intitulé : « Le système de propagande sous Ben Ali-Le Livre noir ». Ce livre, qui a été imprimé en 300 exemplaires dans une première édition, a été révélé au public le jeudi 28 novembre 2013, par certains médias, et, par suite, mis en ligne. Il renferme un ensemble de données issues des archives du Palais de Carthage, révélant les noms d’entreprises de presse, écrite et audiovisuelle, de journalistes, d’universitaires, d’avocats, … présentés comme étant impliqués dans le système de corruption sous le régime déchu.
Les juristes spécialisés ont souligné que la publication de ce Livre noir « ne respecte pas la loi organique n° 2004-63 du 27 juillet 2004 , relative à la protection des données à caractère personnel, puisqu’il était question, dans le livre, de données qui touchent à l’image des personnes citées et à leurs proches , et également à la loi n° 88-95 du 2 août 1988 relative aux archives , qui considère que les archives publiques font partie du domaine public, et stipule que la communication des archives ne peut se faire qu’à l’expiration de délais bien déterminés : allant de trente ans , jusqu’à cent ans et plus , surtout si elles portent sur des documents qui contiennent des informations mettant en cause la vie privée ou intéressant la sécurité nationale ou des renseignements individuels ayant trait à la vie personnelle et familiale et, d’une manière générale, aux faits et comportements d’ordre privé ». En outre, d’après eux, Moncef Marzouki pourrait être poursuivi, dès maintenant, en justice, étant donné que la loi sur l'organisation provisoire des pouvoirs publics, qui fait, actuellement, autorité constitutionnelle provisoire en Tunisie, ne mentionne aucune immunité pour le Président provisoire de la république. Il pourrait être poursuivi, d’abord, parce qu’il a violé, au moins, deux lois, à savoir, lesdites lois mentionnées ci-dessus concernant, respectivement, les archives de l’État et la protection des données à caractère personnel, et, ensuite, parce qu’il a violé l’engagement de respecter la loi qu’il a pris lors de sa prestation de serment devant les représentants du Peuple, le jour de sa prise de fonction.
Yoweri Museveni, président de l'Ouganda
Photos, les plus extravagants
Les obligations de président de la République de Gambie ne semblent pas suffire à Yahya Jammeh. Depuis 1994 qu’il a chassé Daouda Jawara du pouvoir à la suite d’un coup d’Etat, le jeune lieutenant s’est littéralement métamorphosé. L’homme qui affectionne maintenant de parader avec de grands boubous africains et une baguette magique en main s’est depuis quelque temps adjoint une nouvelle vocation quasi messianique: marabout de Gambie et grand guérisseur devant l’éternel des maladies les plus incurables, y compris du Sida. Le comble, il présente de soi-disant séropositifs qui auraient été guéris par ses soins. Sans s’émouvoir devant l’ire des représentants des institutions de l’ONU quant à ses prétendus remèdes contre la pandémie. Plutôt que de s’occuper des vrais problèmes de ses compatriotes, le chef de l’Etat gambien n’a de cesse de multiplier des frasques.
Yahya Jammeh, président de la Gambie
Le Soudan du Sud, en forme longue République du Soudan du Sud est un pays d'Afrique orientale dont la capitale est Djouba. Il est aussi appelé parfois, par anglicisme, le Sud-Soudan. À la suite du référendum d'autodétermination organisé du 9 au 15 janvier 2011, le Soudan du Sud a fait sécession de la République du Soudan le 9 juillet 2011. Malgré la reconnaissance immédiate de l'État, des litiges subsistent quant au tracé définitif de la frontière.
Le président du Soudan du Sud, Salva Kiir
Photos, toujours en quête de légitimité
En Afrique, faut-il se définir comme fils d'un chef d'Etat pour le devenir ? Ils sont tous soupçonnés d'être les enfants adoptifs de leurs pères. Au Togo tout le monde sait que Faure Gnassingbé n'est pas le vrai fils d'Eyadema c'est Kpatcha Eyadema qui croupi en prison. En République démocratique du Congo, Joseph Kabila fils de Kanambe un rwandais, et comme au Togo les vrais fils de M'zée Laurent-Désiré Kabila sont soit tués soit en prison. Etienne kabila croupit en prison sud africaine. Joseph Kabila n'a jamais accepté de se soumettre au test ADN qui pouvait dissiper tout malentendu. Le cas du Gabon est plus que grave né d'une mère qui n'a jamais accouché Ali Bongo Ondimba se dit fils d'Omar Bongo alors que les rumeurs court qu'il est le digne fils du Général Odjugu du Nigéria.
Le fait est que ces fils importés gèrent leurs pays comme un héritage tombé du ciel. Chacun brille par son amateurisme corruption et dictature sans égale. Quand leurs populations croupissent dans la pauvreté ils font la Java. Les tensions sont dans leurs pays et ils se comportent tous en maître absolus regarder les cas du Togo et du Gabon les crises socio économiques secouent ses deux pays pendant que leur Frère et ami Joseph Kabila pille la République démocratique du Congo avec des contrats léonins des mines.
Faure Gnassingbé, président du Togo
Ali Bongo, président du Gabon