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SACREBOPOL

vendredi 17 avril 2015

Le foyer du drame étant Maluku :Les visites de la morgue de l’ex-Mama Yemo inopportunes




Le foyer du drame étant Maluku :Les visites de la morgue de l’ex-Mama Yemo inopportunes



































Une polémique âpre et dont l’épilogue pourrait se révéler dramatique, est engagée depuis deux semaines entre le pouvoir et les forces politiques et sociales internes ainsi que la Communauté internationale, au sujet du charnier de plus de 400 corps découvert à Maluku, la banlieue située à l’est de la ville de Kinshasa à plus ou moins 80 Km.
Une polémique purement logomachique, car le fond du problème est reconnu par toutes les parties qui animent cette controverse, à savoir une fosse commune à Maluku de 400 corps.
Selon les officiels, ces corps sont d’indigents et de mort-nés retirés de la morgue de l’hôpital général de Kinshasa et enterrés le 19 mars 2015 entre 2 et 4 heures, donc peu après minuit jusqu’à l’aube. La controverse est née du genre des corps, des conditions et de l’heure de leur ensevelissement, du manque de révélation de leur identité, et des causes de la mort de ces prétendus indigents. Les arguments fournis par le porte-parole du gouvernement sont plutôt des commentaires et ne convainquent pas l’opinion tant nationale qu’internationale, d’où la controverse devient de plus en plus enflammée et violente.
Les hautes sphères officielles sont visiblement prises de panique et d’angoisse, ne sachant plus où donner de la tête. Des ministres grand format aux premières loges du sérail rivalisent d’ardeur à tenir des points de presse improvisés, font des déclarations contradictoires restant toujours et toujours sur la défensive.
Ambassadeurs occidentaux et journalistes s’entendent dire qu’ils ont rendez-vous à la morgue de l’hôpital général de référence pour voir comment y sont entassés en souffrance des corps d’indigents et de mort-nés! A quel genre de comédie et de distraction s’adonne-t-on? Le point d’attention, le foyer du drame est le site de Maluku où le charnier est localisé, ce n’est pas à la morgue de l’hôpital général de référence ; c’est le charnier de Maluku qui a jeté l’opinion nationale et internationale profondément en émoi.
Ce qui intéresse ambassadeurs occidentaux et journalistes ce sont les corps (421 ou 425) déposés dans une fosse commune à Maluku, et non des cadavres d’indigents et de mort-nés en souffrance à la morgue de l’hôpital général de référence.
Les torchons et les serviettes
Ces ministres grand format de la cour sont tellement pris de panique et d’angoisse dont ils ne vont pas se remettre de sitôt. Ils sont effrayés par l’ampleur prise par la découverte du drame de Maluku et son retentissement immédiat dans l’opinion internationale.
Ce drame constitue le point le plus sensible pour les organisations et les puissances qui s’occupent étroitement de la protection des droits de l’homme.
Toutes proportions gardées, ils se sont vite rendu compte que c’est le drame du campus de Lubumbashi qui fut la goutte d’eau qui avait fait déborder le vase pour le régime de Mobutu Sese Seko, alors qu’il n’y avait par là de fosse commune découverte quelque part à Lubumbashi. C’était, le commencement des tribulations pour le maréchal et son régime.
Pour le drame présent, le pouvoir reconnaît bien l’existence du charnier, mais prétend qu’il s’agit d’indigents et de mort-nées! Toutefois, on peine toujours à montrer l’identité de ces indigents! du charnier de Maluku.
Si ces corps étaient réellement retirés de la morgue de l’hôpital général de référence, on ne se heurterait pas à cette difficulté d’identification. L’hôpital disposerait de tous les renseignements pour les fournir facilement. Hésitations, réticences et tâtonnements à prouver l’identité des corps du charnier de Maluku donnent à croire qu’il y a anguille sous roche.
Il n’y a pas à mélanger les torchons et les serviettes. La morgue de l’hôpital général de référence de Kinshasa n’est pas en cause pour la faire visiter par les diplomates et les Journalistes, tout comme celles de Lubumbashi et de Kisangani citées par le vice-premier ministre et ministre de l’Intérieur lors de ses explications devant les députés nationaux et n’ont absolument rien à voir avec ce qui s’était passé à Maluku le 19 mars dernier.
Ce qui est en cause en l’occurrence c’est bien le charnier de Maluku concernant l’identité des corps et les circonstances de leur mort. Qui étaient-ils et de quoi étaient-ils morts?
De mort naturelle, de maladie, d’inanition, de torture, assassinés ou tués par balles? L’identité des cadavres et les circonstances de leur mort doivent être divulguées pour laver le pouvoir de tout soupçon.
Toutes ces questions préoccupantes restent entières, en dépit du verbalisme abondant et creux utilisé pour soutenir l’insoutenable, défendre l’indéfendable. La multiplication à l’envi des points de presse de défensive agace plutôt qu’elle n’apaise les esprits troublés et choqués.
Vaine querelle conceptuelle?
On a entendu un baron de la mouvance présidentielle hasarder un distinguo saugrenu entre la fosse commune et la tombe commune. Pour lui à Maluku il s’agit d’une tombe commune et non d’une fosse commune. Quelle vaine querelle sémantique, conceptuelle soulevée maladroitement ici!
Les concepts « charnier », « fosse commune », « tombe commue » signifient tous les trois la même chose, c’est-à-dire « lieu où sont entassés ou déposés ensemble plusieurs cadavres », indépendamment de leur identité et des circonstances de leur mort. D’ailleurs, « la fosse » et « la tombe » signifient « un trou creusé en terre pour l’inhumation des morts », « lieu où l’on ensevelit un mort ».
On emploie indifféremment la fosse commune, la tombe commune ou le charnier. Il ne sert à rien de s’amuser à couper les cheveux en quatre, de se cacher derrière son petit doigt, cherchant à distraire l’opinion et à obscurcir intentionnellement une affaire pourtant très claire.
Un bonze du PPRD a même prétendu décréter que ses explications mettaient alors donc définitivement un terme à une polémique inutile! Le charnier de Maluku qui a mis en émoi l’opinion nationale et internationale, n’est pas une affaire aussi mince qu’on se l’imagine.
Les langues se délient…
Seule une enquête internationale indépendante peut dévoiler les mystères de la fosse commune et clore la polémique. Autrement dit, le gouvernement congolais étant considéré comme juge et partie, une enquête menée par le Parquet général, l’une des institutions nationales soupçonnée de partialité, ne peut donner des conclusions fiables et crédibles. La controverse subsistera et s’amplifiera toujours au désavantage du pouvoir.
En s’obstinant à repousser l’idée d’une enquête internationale indépendante, et de l’exhumation des corps du charnier de Maluku, le gouvernement prête le flanc aux critiques et montre qu’il se sent morveux, embarrassé à cause des squelettes qu’il a dans le placard. On est pratiquement en difficulté.
Les langues commencent à se délier, et certaines personnes témoins parlent déjà sous le couvert de l’anonymat, faisant leurs confidences soit à la Monusco, soit aux organisations de défense des droits de l’homme basées à Kinshasa. La réalité dépasse la fiction et dissipe le flou artistique dont on voudrait envelopper le drame de Maluku. Un drame qui a apparemment tout d’un secret de Polichinelle.
Par Jean N’Saka wa N’Saka/Journaliste indépendant)

Fosse commune de Maluku : Justicia Asbl exige la démission du Premier ministre Matata











Fosse commune de Maluku : Justicia Asbl

exige la démission du Premier ministre 

Matata

Par  Jean-Jacques Omanyundu Wondo Le 
MATATA

Bonjour,
JUSTICIA ASbl vient d’adresser une lettre ouverte à Monsieur le Premier Ministre MATATA lui demandant de démissionner au sujet de sa responsabilité avérée et de son Gouvernement dans le charnier de Maluku. Nous vous prions d’en faire une large diffusion.
Meilleures salutations
Me Timothée MBUYA 
Avocat au barreau de Lubumbashi
Président JUSTICIA asbl
Team Leaders Justice et Droits Humains
Société Civile du Katanga
Membre du groupe de travail du Katanga sur les principes volontaires 
des Nations Unies sur la Sécurité et les Droits de l’Homme
Téléphone 0814709184
Skype: timmbuya11
Il est à  signaler que  l’Asbl Justicia avait dénoncé en son temps :
1. Les complicités à l’ invasion des Mayi Mayi Bakata Katanga, le 23 mars 2013 à Lubumbashi. Ils avaient fui, un moment, puis sont revenus aux yeux et à la barbe des autorités congolaises. Ils n’ont pas été inquiétés.
2.  La boucherie des adeptes de Mukungubila, fin décembre 2013, avec photos: (http://www.congoforum.be/fr/nieuwsdetail.asp?subitem=1&newsid=201302&Actualiteit=selected)
NB dont le charnier à Rwashi, dans une ferme de Mama Sifa Mahanya, la prétendue mère de Joseph Kabila, révélé à l’ occasion de la fosse commune de Maluku…). Aucune autorité n’a réagit à ce jour, étouffant cette affaire, aussi grave que la fosse commune de Maluku.























































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RÉPRESSION DES CIVILS PAR LA GR EN RDC: LES IMAGES QUI FONT FROID AU DOS



RÉPRESSION DES CIVILS PAR LA GR EN RDC: LES IMAGES QUI FONT FROID AU DOS

Par Jean-Jacques Wondo Omanyundu 





DESC vient de recevoir ce lien YouTube d’environ cinq minutes qui montre la manière dont la Garde républicaine, chargée de la sécurité présidentielle, a traité les corps des adeptes de Mukungubila lors des événements qui se sont déroulés le 30 décembre 2013 à Kinshasa, à Maniema et au Katanga. Les images viennent d’être confirmées par une source proche de Mukungubila qui a diffusé ces images sur le net. Slon notre contact : Les autorités militaires de Kinshasa avaient ordonné à la GR de ne pas se retenir en leur faisant croire que  « des Rwandais attaquaient les institutions »…  En réalité, nous dit ce responsable de l’Eglise de Mukungubila,« c’étaient nos frères mais les autorités militaires avaient dit à la GR que c’étaient des Rwandais… » « Mais par la suite, plusieurs militaires nous en ont donné le témoignage« , nous informe cette source proche du Prophète Mukungubila.



Attention, les images innommables sont extrêmement choquantes, violentes et infra-humaines.  La scène se déroule à l’Hôpital Général de Kinshasa où les éléments de la Garde républicaine (GR) donnent des injonctions au personnel médical la corvée de décharger et de stocker des cadavres. Les corps des cadavres sont tous vêtus en tenue civile, ce qui peut s’interpréter comme étant ceux des manifestants. Ces images horribles, d’un autre siècle résument à elles seules l’état d’esprit du régime congolais, sa dérive répressive et son mépris envers les populations congolaises


Voici encore les images qui prouvent les massacres de Congolais du 19 au 25 par J Kabila et son régime






Légalement, Joseph Kabila est le premier responsable des actes commis par la GR




Selon la Loi numéro 11/012 portant organisation et fonctionnement des Forces armées:

Article 153 : La Garde Républicaine est une unité des Forces armées ayant pour missions de :
- assurer la garde, la protection du Président de la République et de ses hôtes de marque ; 
– assurer la sécurité des installations présidentielles ; 
– assurer les escortes et les honneurs à l’échelon de la Présidence de la République.
Article 154 : La Garde républicaine relève du Président de la République pour l’exécution de ses missions, et du Chef d’Etat-Major Général en ce qui concerne les appuis administratifs et logistiques.
Article 155 : La Garde Républicaine est commandée par un Officier Général portant le titre de Commandant de la Garde Républicaine.
Il est assisté de deux Commandants Adjoints, officiers généraux ou supérieurs.  
Comme on peut s’en apercevoir, en réalité, la Garde républicaine (GR) échappe à l’autorité du chef d’Etat-major général des FARDC et relève de l’autorité directe du chef de l’Etat. Elle évolue en toute impunité et échappe de ce fait à tout contrôle étatique du ministère de la défense, comme une milice autonome. Elle n’a pas subi l’épreuve de brassage.



La GR a longtemps été commandée par le général-major Dieudonné Banze, un Mulubakat, actuellement chef d’état-major de l’armée de terre. Depuis le 16 novembre 2014, c’est un autre Mulubakat, le général de brigade Gaston Ilunga Kampete qui en assure le commandement. Selon plusieurs sources (ICG, IISS, etc.), son effectif est de 15.000 hommes selon des sources officielles. En réalité, l’effectif de la GR est de 18.700 hommes selon des sources internes de la GR[1], communiquées à DESC.

Mais depuis la mise en place du 18 septembre 2014, la GR est placée sous l’autorité fonctionnelle du chef d’état-major particulier du président, le Général d’armée François Olenga, qui reçoit directement ses ordres du président de la république, Joseph Kabila.


Le commandement de la GR est calqué sur le modèle du Régiment de sécurité présidentiel (RSP) du Burkina Faso




Cette nouvelle mise en place plaçant la garde présidentielle sous les ordres du chef d’état-major privé du président est une copie collée du modèle burkinabè sous Blaise Compaoré. Au Burkina Faso, le Régiment de Sécurité Présidentielle (RSP) a été créé par un décret présidentiel numéro 95-482 du 21 novembre 1995 portant création d’un Corps Spécial dénommé « Régiment de Sécurité Présidentielle » au sein des Forces armées. Sur papier, le RSP a été placé sous l’autorité du chef d’état-major de l’armée de terre, l’officier qui le commande prenant rang de commandant de région militaire, le Régiment, son chef sont désormais sous les ordres directs de l’Armée de Terre (et non plus seulement du chef d’état-major [/size]particulier comme à sa création) ]»[2]. [Comme actuellement pour le Général Olenga, le général Gilbert Diendéré était le chef d’état-major particulier du Président du Faso Blaise Compaoré depuis son arrivée au pouvoir en 1987 et jusqu’à démission en 2014. Il est également le chef de la garde présidentielle, le RSP. Mais la réalité sur le terrain était toute autre. Pendant l’insurrection populaire, les officiers supérieurs du RSP ne se sont pas conformés aux prérogatives décrétales de leur unité. Ils ont désobéi à leur hiérarchie militaire fonctionnelle, l’état-major de l’armée de terre[4].



Les gardes présidentielles sont des acteurs politiques importants en Afrique. Dans la pratique, elles font le contrepoids au reste des forces armées[3]. Ces unités sont, en Afrique, généralement mieux équipées, mieux entraînées et mieux supervisées que le reste des forces armées. Et comme la plupart ne relèvent pas du ministère de la Défense ou du chef d’état-major des forces armées, elles sont communément considérées comme une armée au sein de l’armée. Souvent fortement politisées et parfois reflétant des préjugés ethniques évidents, elles (…) se trouvent cependant dans une position encore plus influente par rapport au pouvoir politique. Dès lors, les officiers de la garde présidentielle se trouvent régulièrement à l’origine de déficiences en matière de gouvernance du secteur de la sécurité. Soucieuses de conserver le rôle clé qui est le leur, les gardes présidentielles manifestent une aversion pour toute réforme qui pourrait mettre en question un tel privilège. Relevant directement du chef de l’État, elles ont un effet dissuasif sur le reste des forces armées[5].



Dans tous les cas où la GR est intervenue, elle l’a fait en violation de la loi


En effet, que ce soit lors de la répression des opposants hostiles à Kabila le 26 novembre 2011 à Kinshasa le long du Boulevard Lumumba ou lors du massacre des adeptes de Mukungubila le 30 décembre 2013 ou récemment en janvier 2015 lors des manifestations contre le projet de loi eléctorale, la Garde républicaine a agi en violation de la disposition légale de la réquisition prévue pour son intervention.
Dans le lien audio suivant, d’une émission du Dialogue entre Congolais à laquelle nous avons participé, le 6 janvier 2014, sur Radio Okapi avec le député Martin Fayulu (Fayulu) et M. André-Alain Atundu (Majorité présidentielle), nous avons explicité les aspects juridiques de l’usage disproportionné de la force par la GR lors de la répression des adeptes de Mukungubila:



Pour écouter cette émission très instructive, cliquer sur le lien ci-contre : 



Pour qu’elle intervienne dans le cadre du maintien de l’ordre et de la sécurité publics, il faut au préalable une décision de l’autorité civile compétente : le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique, Evariste Boshab ou des autorités provinciales. Or dans tous ces cas, les actions de la GR n’étaient pas coordonnées par une autorité territoriale civile . La GR, déjà pré-déployée la veille, le 18 janvier 2015, avec des chars et un armement lourd,  n’a pas attendu la réquisition légale des autorités politico-administratives en charge de maintien et rétablissement de l’ordre public pour se mettre à réprimer sans ménagement les manifestants dans le but de semer la terreur et panique auprès de la population civile et des manifestants hostiles à Kabila.

L’article 55 de la loi organique portant organisation et fonctionnement des FARDC prévoit ce qui suit en matière de réquisition de l’armée : « … En temps de guerre ou à l’occasion de la proclamation de l’état de siège, de l’état d’urgence ou lors de la réquisition des Forces Armées, celles-ci assurent la protection des personnes et de leurs biens ainsi que des intérêts fondamentaux du pays sur le territoire national et en dehors celui-ci. . . »
Par ailleurs,  la décision et l’ordre de fournir des munitions de guerre à la GR pour réprimer une manifestation pacifique des civils non armés, revendiquant leurs droits constitutionnels, comporte en soi les éléments moral (intention d’armer la GR et police pour tuer) et matériel (le fait d’avoir effectivement remis des armes et munitions létales = qui donnent la mort) d’un acte criminel avec préméditation (circonstance aggravante).



Conclusion




Ces images qui se passent de tout commentaire viennent s’ajouter à la pléthore d’actes de répression et de traitements inhumains des populations congolaises orchestrés par le régime de Joseph Kabila. En sa qualité légale (article 155 loi organique sur les FARDC) du responsable numéro un des missions exécutées par la GR, il devra tôt ou tard répondre devant la justice nationale ou internationale des massacres, violation des droits humains et exactions imputés à la Garde républicaine (Répression des manifestants hostiles à son cortège le 26 novembre 2011, le massacre des adeptes du prophète Joseph Mukungubila, la répression des 19 au 22 janvier à Kinshasa et ailleurs, etc.). Avec la polarisation de la tension politique à l’approche de la fin de son mandat en décembre 2016, dépourvu de toute légitimité et d’options politique et diplomatique pour soutenir son action, Joseph Kabila ne dispose plus que du recours à la violence et à la force pour tenter de gouverner une population avec laquelle il est en rupture de contrat républicain. Il faudrait s’attendre à une augmentation des cas de répression si l’on n’arrête pas cette hémorragie à temps.



Nous nous permettons de rappeler aux Congolais et amis du Congo cette déclaration de René Cassin, Prix Nobel de la Paix en 1968 et un des artisans, aux côtés de Stéphane Hessel, de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme :« L’essentiel est que notre conscience ne devienne jamais indifférente même par l’excès de l’horreur aux injustices et aux souffrances qu’il a été possible d’épargner à d’autres hommes par un effort fraternel. Aucun de nous n’a le droit d’être en repos en face de l’oppression ou de la misère ».  



Addendum : Vidéo en hommage aux martyrs du 30  décembre  2013



Jean-Jacques Wondo Omanyundu / Exclusivité DESC



[1] JJ Wondo, Les Forces armées de la RD Congo : Une armée irréformable ?, Décembre 2014.
[2] D]écret n°2000-326 du 20 juillet 2000 portant rectificatif du décret N° 95-482/PRES/DEF du 21 novembre 1995.
[3] Emile Lalsaga répond au Régiment de sécurité présidentielle (RSP), http://burkina24.com/2015/02/13/emile-lalsaga-repond-au-rsp-plus-rien-ne-sera-comme-avant/.
[4] Emile Ouédraogo, Pour la professionnalisation des Forces armées en Afrique, papier de recherche N°6 du CESA, Washington, juillet 2014, p.25.
[5] Ibidem.