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SACREBOPOL

vendredi 14 décembre 2012

Susan Rice renonce à succéder à Hillary Clinton


Susan Rice renonce à succéder à Hillary Clinton

  • Susan Rice (à gauche) et Hillary Clinton (à droite), ici le 23 septembre 2010, à l'Assemblée générale de l'ONU.
    Susan Rice (à gauche) et Hillary Clinton (à droite), ici le 23 septembre 2010, à l'Assemblée générale de l'ONU.Crédits photo : Susan Walsh/AP

    Aux États-Unis, les critiques acerbes des républicains, de nouvelles révélations et des sorties jugées peu diplomatiques rendaient de plus en plus difficile la nomination de Susan Rice comme secrétaire d'État.

    Correspondante à Washington

    Attaquée par les républicains et suscitant la controverse jusque dans son propre camp, Susan Rice a renoncé, jeudi, à briguer le poste de secrétaire d'État, pour lequel elle avait été pressentie en remplacement de Hillary Clinton. Une décision qui pourrait avoir été suggérée par la Maison-Blanche. Même si le président, son allié et protecteur, a fait jeudi un éloge vibrant de son ambassadeur à l'ONU, louant sans réserve ses qualités et regrettant «les attaques fallacieuses et infondées» dont elle avait été la cible dans la foulée de la crise de Benghazi.

    En plein bras de fer avec l'Iran, l'Administration américaine ne pouvait visiblement se permettre le luxe d'une longue bataille avec les Républicains pour la confirmation de la diplomate, souligne-t-on dans les cercles washingtoniens bien informés.

     «C'est la bonne décision pour elle et pour le président», a noté, sur CNN, l'ancien envoyé spécial au Moyen-Orient George Mitchell, notant que la polémique aurait été une «distraction inutile». Le sénateur John Kerry, qui rêve du poste depuis longtemps, «serait un formidable secrétaire d'État», a-t-il ajouté, évoquant aussi la possible candidature de Chuck Hagel, un ancien sénateur républicain très versé dans le domaine de la politique étrangère, qui siège actuellement à l'Atlantic Council.

    C'est dans une lettre adressée à Barack Obama que Susan Rice a annoncé sa décision de retirer sa candidature. «Je suis tout à fait sûre que je pourrais servir notre pays efficacement et de manière adéquate à cette fonction… Cependant, si je suis nommée, je suis maintenant certaine que la procédure de confirmation serait longue, perturbante et coûteuse… Ces tractations ne sont tout simplement pas dignes de notre pays», a-t-elle écrit.

    Des liens étroits avec le régime rwandais de Kagamé

    Barack Obama a vanté une décision qui montre «la force de caractère» de l'intéressée et sa «détermination admirable à s'élever au-dessus de la mêlée politique pour donner la priorité aux intérêts de la nation».

    Mme Rice avait été la cible de critiques acerbes de parlementaires républicains - dont les voix auraient été nécessaires pour entériner sa nomination au Sénat - en raison de ses prises de position dans les médias juste après l'attaque meurtrière contre le consulat américain de Benghazi en Libye le 11 septembre dernier. En disant s'appuyer sur les informations des agences de renseignement, elle avait affirmé que l'attaque contre le consulat avait été spontanée et suscitée par une vidéo antimusulmane, version qui se révélerait erronée.

    Rice était notamment dans le collimateur des sénateurs John McCain et Lindsay Graham, dont les voix pèsent lourd sur les questions de politique étrangère. Ces élus soupçonnaient Mme Rice et la Maison-Blanche d'avoir délibérément cherché à tromper les Américains sur le caractère terroriste de l'attaque, pour ne pas ternir le bilan de M. Obama quelques semaines avant l'élection présidentielle du 6 novembre.

Les récentes révélations sur les liens étroits de Susan Rice avec le régime rwandais de Paul Kagamé (pour lequel elle avait fait du lobbying dans le passé) et les conséquences que ce biais pro-rwandais aurait pu avoir sur les décisions concernant le Congo à l'ONU, ont semble-t-il achevé d'affaiblir sa candidature.

  • Une amie proche de Michelle Obama

    Nombre de diplomates ont aussi souligné en privé les sorties souvent peu diplomatiques de Mme Rice et sa manière brutale d'affirmer ses positions. «Ce qu'elle a dit sur le projet de la France au Mali a visiblement contribué à enfoncer les clous dans son cercueil», notait jeudi une source informée, qui la jugeait «non fiable». Rice avait déclaré que le plan français était «de la merde». Selon cette même source, c'était surtout Michelle Obama, dont elle était une amie proche, qui défendait sa candidature.

    Le président a précisé jeudi que Susan Rice conserverait son poste aux Nations unies, vantant notamment son action récente pour mobiliser le Conseil de sécurité sur la menace du nucléaire nord-coréen.

Les experts à Washington soulignent à quel point le compte à rebours sur la question de la grande négociation à mener avec les Iraniens pour les empêcher d'accéder à l'arme nucléaire, obscurcit aujourd'hui l'horizon à la Maison-Blanche et a pu précipiter la décision. «L'Iran est la question qui me préoccupe», a confié Hillary Clinton il y a deux jours à la journaliste Barbara Walters.



  • Les Américains estimeraient avoir entre trois et quatre mois pour convaincre les Iraniens de renoncer à passer le seuil nucléaire, faute de quoi il deviendrait extrêmement difficile de convaincre les Israéliens de reporter d'éventuelles frappes militaires. Dans ce contexte à haute tension, le renoncement à une candidate affaiblie et controversée apparaît logique. «Beaucoup de gens, même chez les démocrates, n'ont jamais pensé qu'elle était irremplaçable», confiait jeudi une source influente.

    LIRE AUSSI:
    » Les démêlés de Susan Rice avec le Parti républicain
    » Bronca à Washington contre la diplomate Susan Rice



http://www.lefigaro.fr/international/2012/12/14/01003-20121214ARTFIG00317-susan-rice-renonce-a-succeder-a-hillary-clinton.php

CONFÉRENCE DE CHARLES ONANA À MONTRÉAL








Il y aura également une conférence à Montréal demain samedi 15 décembre. Voici l'info sur la conférence de Montréal:

Date: 15 décembre 2012
Lieu: Collège de Maisonneuve
Heure: 14h30
Coût: 10$

Vital Kamerhe, Président de l'UNC, échappe à la mort lors d'un accident de la circulation à Kinshasa




Vital Kamerhe, Président de l'UNC, échappe à la mort lors d'un accident de la circulation à Kinshasa (photos)


Pour dissiper toute inquiétude concernant cet accident survenu ce mercredi à Kinshasa, l'UNC divulgue le communiqué qui suit.
Chers tous,


La Cellule de Communication de l’UNC, tient à dissiper les rumeurs consécutives à l’accident de circulation qu’a connu ce mercredi 12 décembre 2012 le Président Vital Kamerhe aux environs du camp Luano sur l’avenue Nguma à Kinshasa.


Vital3


En dehors des dommages sur les véhicules rentrés en collusion (voir photos en pièces jointes), le Président Vital Kamerhe et ses enfants qui étaient avec lui dans sa jeep Mitsubishi se portent bien.

Nous rendons grâce à Dieu, le Vaillant Protecteur.
--
-----------------------------------------
Union pour la Nation Congolaise
Cellule de Communication

Parlamentiary Friends of DRC




Je me réjouis d’avoir l’occasion de vous souhaiter, à votre famille et à vous-même, un joyeux Noël et une heureuse période des Fêtes.

C’est un moment privilégié de l’année où familles et amis se réunissent. Rendons grâce de nos bienfaits et gardons dans nos pensées et nos prières ceux qui nous sont chers, ainsi que tous ceux qui, dans le monde, sont dans le besoin.

Je vous souhaite, pour l’année 2013, santé, bonheur et prospérité.
Comme vous êtes nombreux à le savoir, mes collègues et moi-même continuons de rencontrer les membres de la diaspora de la République démocratique du Congo (RDC) au Canada et de discuter avec eux des questions qui les préoccupent.

J’ai, en ma qualité de porte-parole libéral en matière de multiculturalisme et de responsable des relations avec les intervenants et la communauté, rencontré les membres de la diaspora congolaise partout au Canada et ai appris les répercussions que peut avoir la détérioration de la situation en RDC sur leurs proches qui vivent là-bas, comme sur leurs familles qui vivent ici au Canada. J’ai discuté avec eux des mesures qu’ils souhaiteraient voir le Canada prendre à l’égard de la République démocratique du Congo et les ai invités à en discuter avec leurs élus. De nouvelles rencontres sont prévues dans les mois à venir.

Je suis actuellement le président des Amis parlementaires de la RDC, qui réunit des parlementaires troublés par les nouvelles qui nous proviennent de la République démocratique du Congo.

Le sénateur Roméo Dallaire est le président du Groupe parlementaire multipartite pour la prévention du génocide et autres crimes contre l'humanité.

Peu avant le Sommet de la Francophonie, qui s’est tenu à Kinshasa en octobre 2012, le sénateur Dallaire et moi-même avons écrit à John Baird, ministre canadien des Affaires étrangères, afin de lui souligner que le Sommet pourrait offrir au Canada une occasion unique pour faire valoir ses craintes à l’égard de la situation des droits humains en République démocratique du Congo. Selon nous, si la RDC doit émerger du chaos dans lequel elle se trouve présentement, ce sera parce que des pays comme le nôtre auront adopté une position de principe à l’égard de la protection des droits humains et de la fin des attaques contre les civils.

J’ai récemment accordé une entrevue sur la question, et d’autres questions, aux Réseaux de la Diaspora 24/7.

Je vous invite à regarder cette entrevue à http://www.youtube.com/watch?v=RxHXMY8vPYE&feature=youtu.be



Et faites-moi savoir ce que vous en pensez. http://www.jimkarygiannis.net/leave_a_message

Merci.

I would like to take this opportunity to wish you and your family a Merry Christmas and a very Happy Festive Season.
This is a special time of the year when family and friends gather. Let us give thanks for our blessings and let us keep in our thoughts and prayers our loved ones and people throughout the world who are in need.
In 2013, may you enjoy good health, happiness and prosperity.
As many of you know, my colleagues and I continue to meet with members of the Canadian Diaspora of the Democratic Republic of Congo (DRC) and discuss issues of concern.
I am the Liberal Critic for Multiculturalism, with responsibility for community and stakeholder outreach. In this capacity, I have met with members of the Congolese Diaspora across Canada; learned about the impact that the deteriorating situation in the DRC is having on loved ones living there and on their families living in Canada; discussed what action the community wants Canada to take with respect to the Democratic Republic of Congo; and, encouraged the community to talk with their elected representatives. Further meetings are expected to take place in the coming months.
Presently, I am the Chair of the Parliamentary Friends of the DRC – a group of concerned Parliamentarians who are troubled about what is transpiring in the Democratic Republic of Congo.
Senator Roméo Dallaire is the Chair of the All Party Parliamentary Group for the Prevention of Genocide and Other Crimes Against Humanity.
Prior to La Francophonie Summit, held in Kinshasa in October 2012, Senator Dallaire and I wrote to Canadian Foreign Affairs Minister John Baird that the Summit presented a unique opportunity for Canada to register its concerns with the ongoing human rights situation in the Democratic Republic of Congo. In our view, if the DRC is to emerge from its current state of chaos and disorder, it will be because countries like Canada were prepared to take a principled stance on the protection of human rights and the cessation of attacks against civilians.
Recently, I was interviewed by Diaspora Networks 247 with respect to these and other matters.
I invite you to view this interview at http://www.youtube.com/watch?v=RxHXMY8vPYE&feature=youtu.be


Please let me know your thoughts. http://www.jimkarygiannis.net/leave_a_message
Thank you.

Hon. Jim Karygiannis P.C., M.P.
Scarborough-Agincourt

Liberal Critic for Multiculturalism
Constituency Office
3850 Finch Ave East Suite 206
Scarborough Ontario
M1T 3T6
Tel: (416) 321 5454
fax: (416) 321 5456
jim@karygiannismp.com
www.karygiannismp.com
@jimkarygiannis

Pourparlers de Kampala :



 

Le M23 veut imposer sa loi à Kinshasa

Le 28 juillet 2012, en RDC, près de Mabenga. Un combattant rebelle du M23 sillonne cette route du Nord-Kivu, vaste région frontalière avec le Rwanda.
Le 28 juillet 2012, en RDC, près de Mabenga. Un combattant rebelle du M23 sillonne cette route du Nord-Kivu, vaste région frontalière avec le Rwanda.
AFP PHOTO/ PHIL MOORE

Par Bruno Minas

Les pourparlers de paix n’ont pas encore véritablement commencé entre le gouvernement de Kinshasa et le mouvement rebelle M23 qui avait pris la ville de Goma, avant de s'en retirer à la demande des pays de la région des Grands Lacs. En échange, le M23 a obtenu l’ouverture de cette négociation à Kampala, la capitale de l’Ouganda. Et ses revendications s'élargissent.

Les rebelles veulent… tout. Forts de leurs succès militaires, les membres de la délégation du M23 entendent mettre sur la table la situation politique globale du pays. Ils partent du principe que les élections du 28 novembre 2011 ont été truquées. Pour eux, le président Joseph Kabila n’est pas légitime. Ils considèrent qu’il faut revoir toute l’architecture du pouvoir ; ils ont pour objectif un gouvernement de transition incluant les forces de la nation –y compris eux-mêmes– pour aller vers de nouvelles élections.
« Nous voulons discuter des questions relatives à la gouvernance du pays, mais également à la légitimité du pouvoir », affirme Bertrand Bissimwa, porte-parole du M23. « Nous le disons aujourd’hui comme d’autres l’ont déjà dit hier, précise-t-il. Je parle de l’Union européenne, des Etats-Unis, de la Fondation Carter, d’autres commissions qui étaient là comme observateurs. Tous ont critiqué cette élection. Le problème de légitimité se pose. »

Au point de départ de la mutinerie du M23, au mois d’avril 2012, on était encore loin de cette vaste revendication. Il s’agissait à l’époque d’exiger l’application d’un accord, un texte signé entre le gouvernement de Kinshasa et un autre mouvement rebelle, le CNDP (Congrès national pour la défense du peuple), le 23 mars 2009. Cet accord avait mis fin à une rébellion qui avait enflammé l’est du Congo en 2008. Il avait consisté à intégrer dans l’armée nationale les hommes du CNDP. Ce n’était pas une petite affaire puisque plus de 4 000 combattants rebelles avaient fait ainsi leur entrée dans l’armée congolaise. Une partie de ces militaires reprochent au gouvernement de ne pas avoir respecté ses promesses sur les grades, les salaires, et l’affectation de ces soldats. D’où la création du M23 qui signifie Mouvement du 23-Mars.

Pour Kinshasa, pas question d’élargir le débat

Aujourd’hui, Kinshasa consent à vérifier uniquement l’application de cet accord. L’un des principaux négociateurs pour le compte du gouvernement congolais, l’abbé Apollinaire Malu Malu, veut surtout éviter d’élargir le débat : 
« Il n’est pas question de discuter ici de l’ordre constitutionnel et institutionnel de la République démocratique du Congo. » L’abbé Malu Malu ajoute qu’ « il n’est pas question non plus de violer le caractère inaliénable de la souveraineté nationale et de l’intégrité territoriale. »

Si l’abbé Malu Malu, ancien président de la commission électorale de 2006 qui avait proclamé Joseph Kabila vainqueur, insiste autant sur la souveraineté et les frontières, c’est parce que, dans cette affaire, le Congo craint surtout de perdre les provinces de l’Est : le Nord et le Sud-Kivu. Ce sont des régions dotées de grandes richesses minières et agricoles. Depuis des années le Kivu fait l’objet de convoitises, et Kinshasa montre du doigt le Rwanda. Ce pays est accusé d’être derrière les rébellions qui se succèdent dans le Kivu depuis plus d’une dizaine d’années.

Le M23 n’échappe pas à la règle. Plusieurs rapports d’experts travaillant pour les Nations unies font état du soutien militaire direct du Rwanda. Pour le porte-parole du mouvement, Bertrand Bissimwa, ce sont là -ni plus ni moins- que des mensonges : « Vous savez que nous n’avons pas de moyens suffisants comme ceux du gouvernement qui a battu campagne par rapport à cela ; comme ceux dont disposent les Nations unies qui ont choisi un groupe d’experts sur ce sujet. Nous sommes en train de nous battre pour que cette désinformation prenne fin. Pour élaborer ce genre de rapports, il doivent venir chez nous, vérifier les faits. »

Face au Rwanda, une diplomatie hésitante

Sur cette implication du Rwanda, Kinshasa envoie cependant des signaux contradictoires. Parfois, le gouvernement dénonce clairement son voisin, parfois il le ménage.

Cette hésitation est due au fait que, même s’il est souvent taxé d’être un agresseur, le Rwanda est aussi un acteur incontournable pour ramener la paix dans la région. Pour sa sécurité, ce pays veut mettre fin à l’activité d’un autre groupe armé qui le menace, cette fois à partir du Congo : il s’agit des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) issues des milices qui avaient perpétré le génocide de 1994. Entre FDLR et M23, entre RDC et Rwanda, la sécurité de l’un ne va pas sans celle de l’autre. Kinshasa n’a aucun intérêt à se brouiller avec Kigali, d’où ce grand écart qui se remarque souvent dans la communication gouvernementale.

A Kampala, le ministre congolais des Affaires étrangères, Raymond Tshibanda , qui dirige les négociateurs du gouvernement, ne veut pas aborder la question du Rwanda dans ces pourparlers :
 « Je suis ici pour dialoguer avec le M23 », assène-t-il. « Je n’ai pas l’habitude de mélanger les interlocuteurs. Le M23 a dit qu’il était un mouvement autonome ; qu’il s’assume. Je lui en ai donné acte. Au cas où il y aurait un quelconque différend entre notre pays et un pays voisin, ce n’est pas ici que l’on va en parler, le M23 n’est pas leur porte-parole ! »

Dans le même temps à Kinshasa, les autorités exhibent devant la presse des prisonniers de guerre présentés comme des soldats rwandais capturés dans les rangs du M23.

Lambert Mende, ministre congolais de la Communication et des médias


    

 



  Lambert Mende, ministre congolais de la Communication et des médias
Lambert Mende, le ministre de la Communication et des médias, est aussi porte-parole du gouvernement
Lambert Mende, le ministre de la Communication et des médias, est aussi porte-parole du gouvernement
Photo: RFI/Delphine Michaud
Par Christophe Boisbouvier

« Je pense que, dans la mesure où il s’agit d’un groupe de Congolais qui a cru devoir se prêter à des projets funestes contre leur pays, ourdis à l’étranger, il est bon que le gouvernement parle avec eux. Ce n’est jamais mauvais qu’on les écoute, comme les chefs d’Etat ont demandé à notre président de le faire. »

À Kampala, les négociations entre le pouvoir congolais et les rebelles du M23 commencent mal. Au bout de 48 heures, elles paraissent déjà au point mort. 

Hier, le député d'opposition Samy Badibanga a déclaré ne pas croire au succès de cette rencontre. Ce matin, voici le point de vue du porte-parole du gouvernement de RDC. En ligne de Kinshasa, le ministre des Médias, Lambert Mende, s’exprime sur RFI.