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SACREBOPOL

dimanche 19 janvier 2014

RDC: arrestation musclée du capitaine Moïse Banza, aide de camp du commandant Ndala


RDC: arrestation musclée du capitaine Moïse Banza, aide de camp du commandant Ndala 

Par RFI 

Le gouvernement congolais a annoncé l'interpellation samedi 18 janvier du capitaine Moïse Banza, l'aide de camp du commandant Mamadou Ndala, mort le 2 janvier dernier dans une embuscade. Moïse Banza qui, révèle du même coup le porte-parole du gouvernement, était recherché depuis près d'une semaine pour ne pas avoir répondu à l'ordre de retourner à Beni et de se présenter devant la justice militaire. L'interpellation de Moïse Banza a eu lieu à la mi-journée, samedi, à Kinshasa, alors que des équipes de RFI et de France 24 se trouvaient sur place. Le capitaine Moïse Banza leur avait donné rendez-vous pour parler de la mort du commandant Mamadou Ndala.

Proche collaborateur de Mamadou Ndala, Moïse Banza gérait sa communication. Ces dernières semaines il se disait menacé au titre de cette proximité avec son ancien chef. Il avait fait des demandes d’asile politique auprès de différentes ambassades.

La justice militaire de son côté voulait l’interroger dans le cadre de l’enquête sur la mort du commandant Mamadou, et par rapport à une plainte pour vol des effets personnels de son ancien chef.

Moïse Banza a finalement été interpellé samedi, à midi, alors qu’il était aux côtés de deux journalistes de RFI et France 24. Ils avaient rendez-vous pour parler de l'assassinat du commandant Mamadou. Une interpellation musclée, en pleine rue, dans un quartier très fréquenté de la capitale.

Assassinat du Colonel Ndala: La RFI a cédé sous la pression politique !


LES ENNEMIS DE JOSEPH KABILA VONT MAIGRIR

(Version du PPRD et non du gouvernement, par Papy Tamba, mais à quel titre?)

Chers compatriotes,

Nous dénonçons ici l'hypocrisie de RFI qu, après avoir jeté un pavé dans la marre dans une info lancée dans la précipitation, sans recoupement des faits, ne limite sa casse que par le retrait pur et simple de l'article afférent, alors que le sujet ne cesse de nourrir les débats parmi les zélés du net qui sont du côté de la mauvaise foi. RFI devrait tout simplement avoir le courage de corriger son erreur par la bonne information....

VOICI LES FAITS.

La veuve du respectueux feu général Mamadou Ndala soupçonnait le Capitaine Moïse Banza (son parsec) de dissimulation de l'argent ayant appartenu au défunt, pris dans ses poches lors de son décès. Cette version a aussi été confirmée par la Monusco. Plusieurs tractations ont été menées pour solliciter le remboursement, rien n'y a été fait. C'est alors que la famille sollicitera l'intervention du Colonel Papy (De la force terrestre) pour une simple médiation; mais en même temps, dans la foulée, elle avait aussi saisi les autorités compétentes. Voilà qui explique les raisons du mandat sur le Capitaine Moïse Banza, qui était recherché depuis plus de 10 jours.

Le colonel Papy qui devrait ignorer l'objet de ce mandat de recherche, a réussi, malgré tout, à entrer en contact avec le Capitaine Banza qui devrait aussi visiblement l'ignorer. C'est alors que le rendez-vous fût pris à Kintambo Magasin, hier 18 janvier 2014 aux alentours de 12h30. Le capitaine Moïse Banza qui avait rendez-vous avec la journaliste de la RFI (qui était aussi accompagné par un ami blanc) à Bandal avant cela, s'est fait accompagner par leur jeep Prado jusqu'au lieu du rendez-vous.

Il faudra signaler ici au passage que que cette journaliste de RFI était non loin du lieu de crime sur le général Mamadou Ndala. L'on se souviendra que que RFI était la première chaîne à balancer l'info sur ce drame. On peut donc facilement comprendre que le rendez-vous pris avec le Capitaine Moïse Banza soit dicté par le soucis d'une enquête journalistique et la quête d'un scoop. Soit.

Etant arrivé à Kintambo sur le lieu du rdv, le Colonel Papy fût invité par le capitaine Moïse Banza à le réjoindre dans la jeep Prado, où il y avait la journaliste de RFI et son compagnon blanc. Sauf que ces deux derniers ignoraient totalement le motif du rendez-vous. En même temps, sur place à Kintambo, le Major qui avait la charge du mandat sur le Capitaine Moïse Banza (Rappelons ici que des suites de la plainte de la famille de mamadou Ndala), avait aussi son équipe postée sur place. Facilement, n'importe qui peut donc comprendre ce dernier était sous surveillance.

L'ayant aperçu à son approche, où il a sommé le Capitaine Moïse Banza de descendre de la Jeep selon l'usage, ce dernier demanda au chauffeur de démarrer et de rouler à vive allure, faisant croire à un kidnapping. Le Major qui est un commando, a réussi à faufiler au dessus de la jeep Prado et ne pouvait que crier au secours devant les siens puisqu'ils ont pris la direction du camp Mobile. Pour protéger le leur, les militaires (gardes) du camp Mobile ont tiré environ 5 coups de feu en l'air, ce qui persuada au chauffeur de s'arrêter, aussi sur conseil du Colonel Papy qui se retrouvait avec eux.

Notons ici que jusque-là, les journalistes présents dans la jeep ne pouvaient que comprendre la thèse du kidnapping lancée par le Capitaine Moïse Banza, puisque ne pouvant pas à ce stade faire un recoupement des faits. A l'arrêt de la jeep, le capitaine Moïse Banza a été sommé de descendre de la jeep, en exécution du mandat le concernant, et tout naturellement le Colonel Papy aussi. Le chauffeur de la prado et les deux blancs, dont la journaliste, ont été priés de poursuivre leur chemin. La journaliste, une fois éclairée sur les faits, a fini même par déclarer perdre son téléphone Iphone 4, à la descente on ne peut plus musclée des personnes citées.

A cet effet, il nous semble normal que RFI rapporte les faits comme ils l'ont fait dans leur flash, ce que la journaliste a d'ailleurs commencé par poster dans son adresse twetter. Mais ce que nous leur reprochons, c'est qu'une fois la lumière faite, qu'ils ne se limitent qu'à retirer l'article, sans donner la bonne version qu'ils ont maintenant. Je pense même qu'en ce moment, le Capitaine Moïse Banza serait déjà en liberté. Il a reconnu les faits et devrait s'arranger avec la famille du défunt général Mamadou Ndala. Ceux qui cherchent des poux dans la tête de Joseph Kabila ont vraiment des soucis à se faire: encore un raté. Qu'ils commencent par prendre contact avec la rédaction de RFI, et demander les raisons du retrait de leur article sur les faits de la cause. ENCORE UN RATE DES ENNEMIS DE Joseph KABILA. Vérité eza domaine ya Nzambe. Lokuta eyaka na ascenseur, mais vérité eyaka na escalier pe ekomaka. Nafingi te ba ndeko. Si la vérité blesse, la faute n'est pas à celui qui la dit. Boko yoka? nafingi te bandeko.

Bon dimanche chez vous.

L'humble et serviable Papy TAMBA


 La RFI a cédé sous la pression politique !


Logo de la Radion France Internationale


La Radio France Internationale (RFI)  a supprimé ce dimanche 19 janvier 2014, la page internet relative à l'information publiée le samedi 18 janvier 2014 courant selon laquelle "Le capitaine Moïse Banza, l’aide de camp du colonel Mamadou Ndala, assassiné le 2 janvier dernier à Béni, a été attaqué à la mi-journée à Kinshasa par cinq hommes armés en civil qui ont sauté sur le véhicule à bord duquel il voyageait pour l’arrêter. Moïse Banza a été violemment tabassé par des hommes en civils et quatre membres de l’armée congolaise à sa sortie du véhicule. Son sort n’est pas connu."

Un journaliste de la RFI, qui a requis l'anonymat, souligne avec regret que " (...) La Direction a subi des pressions politiques croisées du Quai d'Orsay d'une part et d'autre part, du régime congolais lequel a menacé de couper le signal d’émission de la RFI sur l’ensemble du territoire de la République Démocratique du Congo et d’expulser nos correspondants basés dans ce pays, si jamais l'article litigieux n'était pas supprimé..." 

(De gauche à droite) Général Didier ETUMBA Chef d'Etat-major général des FARDC
impliqué dans l'assassinat du Colonel Mamadou Ndala, aux côtés du Général 
James Kabarebé Chef d'Etat-major général de l'Armée patriotique rwandaise APR 
(ex, Chef d'Etat-major général des FARDC, sous la Présidence de Laurent Désiré Kabila!) 

Monsieur Honoré Ngbanda Président de l'APARECO parti politique congolais  a fait  - lors d’une interview accordée le 15 janvier 2014 à la Radio Bendele  - des révélations pertinentes et corroborées selon lesquelles le Colonel Mamadou Ndala aurait reçu – quelques heures avant son assassinat - un appel téléphonique venant du Général Didier Etumba Chef d’Etat-major général des FARDC lequel lui enjoigna « de rejoindre, toutes affaires cessantes, l’aéroport de Beni avant 8 heures pour se rendre à Bunia en vue d’une mission urgente.». 
Selon la source d’information de Monsieur Honoré Nbganda: «(…) Cet appel de la hiérarchie intrigua beaucoup le Colonel Mamadou qui en fit part aux hommes de son entourage non sans inquiétude, car rien dans les ordres donnés par le général Etumba ne justifiait l’urgence de cette mission impromptue. Et ce qui inquiétait encore plus le commandant Ndala, c’est que ses chefs hiérarchiques directs, les généraux Olenga et Bahuma, n’avaient pas été prévenus comme l’exige la déontologie militaire.»


Mais, qui a intérêt à faire taire définitivement le Capitaine Moïse Banza l’Aide de camp (ou le bras droit)du Colonel Ndala dont le témoignage pourrait faire évoluer sensiblement l’enquête criminelle en cours ? Le Capitaine Moïse Banza serait-il en réalité l'une des sources ayant permis à Monsieur Honoré Ngbanda de faire les précitées révélations?

Dans tous les cas, la reculade de la RFI ne change rien au fait que l'opinion nationale et internationale se sont forgées une intime conviction sur la responsabilité civile et pénale notamment de Joseph Kabila et toute la haute hiérarchie de FARDC dans l'assassinat du Colonel Mamadou Ndala et ses collaborateurs survenu le 2 janvier 2014 courant près du village de Ngadi situé entre l’aéroport de Mavivi et Beni-ville (Nord-Kivu).

Finalement, l'APRODEC asbl souligne que les millions de victimes civiles et militaires doivent garder espoir car, la  justice finira un jour par rattraper tous les criminels de pays des Grands Lacs lesquels bénéficient à ce jour d’une impunité garantie par la maffia internationale laquelle a pris en otage les institutions internationales.

« On ne peut pas tuer la vérité 

Benjamin Stanis Kalombo
Président et Administrateur délégué
APRODEC ASBL(*)

Articles connexes :
- La page supprimée par RFI :
http://www.rfi.fr/contenu/info-rfi-rdc-le-capitaine-banza-aide-camp-colonel-ndala-tue-le-2-janvier-attaque-hommes-arme
- Lien Google vers la page supprimée par la RFI:
https://www.google.be/webhp?sourceid=navclient&hl=fr&ie=UTF-8#hl=fr&q=Info+RFI%3A+Le+capitaine+Mo%C3%AFse+Banza%2C+l%E2%80%99aide+de+camp+du+colonel+Mamadou+Ndala
- Lire le contenu de la page supprimé par la RFI :
 http://www.hot243.com/news/rdc-le-capitaine-banza-aide/
- Interview de Monsieur Honoré Ngbanda :
http://www.apareco-rdc.com/index.php/a-la-une/le-fil-de-linfo/1551-les-premiers-resultats-d-enquete-menee-par-l-apareco-sur-l-assassinat-du-general-mamadou-ndala-moustapha.html
- Sabotage de l’enquête sur l’assassinat du Colonel Ndala, Joseph Kabila pointé du doigt !
http://aprodec.blog4ever.com/sabotage-de-lenquete-sur-lassassinat-du-colonel-ndala-joseph-kabila-pointe-du-doigt

* L’Association a pour but principal de défendre les intérêts et les droits de la République Démocratique du Congo, des citoyens Congolais et des personnes d’origine Congolaise. Elle pourra notamment lutter et agir en justice contre toute forme de violation des droits, de la souveraineté et de l'intégrité du territoire de la République Démocratique du Congo ; contre le pillage de ses ressources naturelles, en ce compris la signature des contrats léonins ; ainsi que les violations graves des droits de l’homme et du droit international humanitaire, qu’elles soient le fait de personnes physiques ou morales, d’un Etat, quelle que soit leur nationalité, sans limitation dans le temps, ni dans l’espace.
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