L'article qui dit que Kabila est de retour a Kinshasa apres isolement dans les provinces. "hum!!!!". Que cela veut dire? 1. On n'isole qu'un fou car il est dangereux. Un président normal ne doit pas etre isolé, ses déplacements sont officiels et annoncés a la nation. Il circula avec une presse qui communique officiellement la nation. 2. Même en vacances, nous avions vu les photos de Obama en vacance a Honolulu, nous avions vu les images et vidéos de Sarkozi en vacances aux USA apres son élection. Pourquoi cacher les images de Kanambe apres sa victoire? Il n'y a pas de fumée sans feu. Kabila abandi koyemba nzambo Bavon ayembaka : "Famille oyo motema mabe, bondoki ekoma mosala,, muana moke lokola nga, bokundeli nga maseke ya meme liboso ya palais de la nation, kanda ya nini ba congolais, po na trichaki na ba elections, bo buakeli nga maladi ya liboma po na lataka ba montres mibale, ..." http://www.facebook.com/photo.php?fbid=2594437823431&set=a.1642067694773.2078788.1329262720&type=3&theater |
Actualités politique, musicale, sportive et bien d'autres encore de la République démocratique du Congo en particulier et de l'Afrique/Moyen-Orient en général
vendredi 3 février 2012
L'article qui dit que Kabila est de retour a Kinshasa apres isolement
JETE A MAKALA SANS MOTIF VALABLE :
L'arrestation suivie de la détention de CHALUPA vient remettre sur la sellette la question de la nationalité congolaise qui a été l'un des prétextes du déclenchement de la guerre de l'AFDL en 1996. Un prétexte né du fameux rapport de la commission VANGU Mabweni qui avait fait croire aux populations congolaises d'origine rwandaise que leur nationalité leur avait été retirée par une lecture sélective de la loi sur la nationalité de 1981.
Au-delà de cela, l'affaire CHALUPA revient sans le savoir sur une crise qui avait éclaté tout au début de cette législature finissante avec le rejet de la candidature du député national du MLC, en l'occurrence Alex KANDE Mupompa sur la liste des candidats gouverneurs pour la province du Kasaï Occidental, au motif qu'il détenait la nationalité belge.
A l'issue d'une séance plénière fort houleuse dans l'hémicycle de la Commune de Lingwala, José MAKILA, député du MLC pour la circonscription de Gemena sortira de ses gongs pour déclarer du haut de la tribune de la salle des Congrès qu'il allait rendre publiques des listes de hautes personnalités politiques, militaires, judiciaires et autres détenant aussi des nationalités étrangères.
Ces déclarations provoquèrent un véritable Tsunami dans le microcosme politique et certains noms d'hommes politiques exerçant des hautes fonctions dans les institutions de la République commencèrent à circuler sous le manteau à travers la capta le. Le bureau de l'assemblée nationale présidée à l'époque par Vital KAMERHE suspendit les travaux de la session ordinaire convoqua une réunion spéciale à laquelle prirent part les présidents des groupes parlementaires fraîchement installés en vue de débattre sur cette affaire fort délicate. La solution trouvée fut de nature politique car elle aboutit à une formule alambiquée d'un moratoire sur la nationalité congolaise pour permettre à tous ceux qui détenaient des nationalités étrangères de se mettre en règle avec la loi congolaise sur la nationalité qui est proclamée une et exclusive. Le calme revint au Palais du Peuple mais ce moratoire court encore alors qu'il devait être limité, à trois mois.
Deux poids deux mesures
Tous ceux qui détenaient d'autres nationalités étrangères n'ont jamais été appréhendés ni jetés à la prison de Makala comme c'est le cas aujourd'hui de l'infortuné CHALUPA qui a été arrêté comme un malfrat par des éléments de la Police d'intervention Spéciale devant son bureau de travail à Kingabwa. Preuve s'il en faut une que cette affaire sent un chantage éhonté à caractère politique sur un homme à cause de ses couleurs politiques tout au long de cette campagne électorale. On sait à ce sujet qu'un des hauts responsables du Parquet Général près la Cour d'Appel de la Gombe avait été dénoncé de détenir la nationalité belge. Il prit la fuite via Brazzaville et retourna au pays après avoir renoncé à cette nationalité et cela sans en apporter la preuve. Il a repris sa place parmi les hauts magistrats du Parquet Général de la République et vient de se présenter aux élections législatives du 28 novembre dernier sans être inquiété le moins du mode. Des cas de ce genre sont légion car il en existe jusque dans d'autres institutions de la République et beaucoup d'entre eux n'ont jamais renoncé à leurs nationalités étrangères. Il y a deux an, un député membre du MLC avait été condamne par la justice du Rwanda pour abus des biens sociaux. Cette affaire provoqua un débat houleux à l'assemblée nationale qui se termina en eau de boudin lorsque les autorités rwandaises répondirent par voie officielle que cette personnalité détenait la nationalité rwandaise. Cet homme continue à croupir dans les geôles du Rwanda où il purge sa peine de six ans de prison ferme. Ses biens meubles et immeubles ont été confisqués par la justice de ce pays voisin de l'Est sans que la RDC ne lève le moindre petit doigt.
C'est l'accusation qui apporte la preuve de l'infraction.
Selon les avocats de l'infortuné CHALUPA, le Parquet Général de la République ne dispose d'aucune preuve de l'infraction de la détention frauduleuse de la nationalité à charge de l'incriminé. M. CHALUPA a déposé sa carte d'électeur et ses passeports diplomatique et ordinaire qui jusqu'à preuve du contraire constituent les seules preuves de la détention de la nationalité congolaise. Dans ces pièces, il est établi que l'infortuné est né en 1948 à Uvira dans le Sud-Kivu et conformément au principe du « jus solis » ou droit du sol, CHALUPA est congolais d'origine comme Joseph KABILA et Etienne TSHISEKEDI. Car la nationalité congolaise repose sur deux principes fondamentaux, à savoir le « jus solis » et le « jus sanguinis », ou le droit du sol et le droit du sang. C'est le cas particulièrement de NAZEM et STAVROS PAPAIANOU, deux hommes d'affaires célèbres nés au Katanga en RDC des parents étrangers et qui n'ont jamais été inquiétés. En clair, comme le dit le principe de droit commun, à savoir « auctor incumbit probatio » ou l'administration de la preuve incombe à l'accusateur, il revient au Parquet Général de la République d'apporter les preuves de ses accusations et non le contraire. Faute de quoi, l'organe de la loi doit remettre l'infortuné en liberté.
Toute honte bue et visiblement agissant sous la dictée d'une main noire tapie dans l'ombre, et sans en apporter la moindre preuve, le Parquet Général de la République s'acharne sur cet homme pour l'obliger à accepter qu'il est né à Bujumbura au Burundi, ont déclaré les avocats de CHALUPA. On n'est pas encore sorti de l'auberge des violations des lois de la République qui sont pourtant imposables et opposables à tous sans distinction.
F.M
RD CONGO: Oscar KASHALA LUKUMUENDA,
Candidat malheureux aux présidentielles de juillet 2006 et de novembre 2011, ne serait-il pas en réalité un escroc, très impliqué dans le trafic illicite des minérais/coltan du sang au Nord-Kivu?
TOUT PORTE À LE CROIRE! Avec la complicité active des certaines personnalités locales, de la MONUSCO et des autorités douanières kenyannes, cette hypothèse paraît de plus en plus plausible...
Depuis la première guerre d´invasion et de prédation d´octobre 1996 - ayant porté au pouvoir M´zee LD Kabila - contre le Zaïre du Maréchal MOBUTU Sese Seko, menée par les deux principaux Étas-voyous de la région des Grands Lacs africains que sont le Rwanda et l´Ouganda, soutenus à bras-le-corps par la Haute finance internationale et bon nombre de Gouvenements occidentaux; un vaste réseau de pillage et de trafic illicite des minerais congolais du sang a ainsi été mis en place. Et, il nous revient de Nairobi la capitale du Kenya qu´Oscar KASHALA LUKUMUENDA, président de l´UREC, et candidat malheureux à la dernière présidentielle de novembre 2011, en serait l´un des plus actifs membres/courtiers basés aux USA. Pour le compte de quel groupe d´intérêt roule-t-il en définitive?
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Il ne fait plus l´ombre d´un doute que les vrais objectifs des commenditaires des récurrentes guerres d´agression et de prédation qui ensanglantent le RD Congo depuis octobre 1996, étaient grande partie économiques. Il s´agissait donc là pour ceux-ci de trouver les moyens les plus approppriés, revêtus, pour les beaux yeux de l´opinion internationale, de la fallacieuse apparence d´une guerre civile, afin de faire main basse sur d´énormes richesses minières stratégiques et autres régorge ce pays martyr. Et ce, avec pour finalité: assurer à leurs industries (aéronautiques, aérospaciales et de défense) et à leur technologie de pointe, l´approvisionnement en matiéres premières nécessaires.
Quatre rapports de l´Organisation des Nations Unies - dont le tout premier et certainement aussi le mieux détaillé, dit Rapport Kassem, dressé en 2000 par un panel d´experts africains - rendus public au fil des ces 15 dernières étayent la justesse de ces propos qui sont loin être des accusations gratuites. On s´en souvient, il y fit clairement établi que dans le cadre du pillage systématique éhonté des ressources naturelles et économiques, consécutif aux guerres artificielles imposées de l´extérieur dont la RD Congo est depuis lors la proie : plus de 25 pays dont les cinq membres permanents du Conseil de sécurité de la même organisation, des compagnies transnationales occidentales, des officiels et des particuliers tant congolais qu´internartionaux y étaient, et y sont malheureusement encore aujourd´hui, très activement et directement impliqués.
Ainsi, au-delà de leurs publications avec fracas par l´ONU et dans les médias dominants, ces différents rapports qui n´ont en réalité été que des catalogues de bonnes intentions, et restés à ce jour lettre morte, la guerre dans les Kivu - soit à « l´Est du Congo » pour emprunter le vocabulaire de ceux qui en veulent au Congo - qui a pris une autre forme plus intelligible, c´est-à-dire en se muant en une guerre à basse intensité mais pourtant plus meurtrière, continue de sévir en douceur. En 15 ans, une véritable guerre d´extermination d´une extrême violence est menée contre le peuple congolais. Il paraît de plus en plus évident, ni exagéré que ce peuple serait devenu une espèce humaine menacée d´extinction. Au su et au vu de toute la Communauté dite internationale, cette guerre passe sous silence, en faisant au quotidien des milliers de femmes violées; des déplacés de guerre chassés de leurs terres ancêstrales et érrant dans la nature, parce que victimes d´épuration ethnique au profit des populations rwandaises; et des millions d´innocentes victimes sans que le monde ne s´en emeuve.
Et pourtant dans l´entre-temps, comme on dit: « Le malheur des uns fait le bonheur des autres », certains individus à l´esprit exceptionnellement mercantile, demeurés égaux à eux-mêmes, et par-dessus tout viscéralement attachés à leurs intérêts égoïstes, au mépris de toutes considérations d´ordre moral ou ethique, se bâtissent sur la marée de minérais du sang qu´ils provoquent : d´immenses fortunes voire des empires financiers. C´est ainsi qu´il nous revient des sources crédibles depuis Nairobi la capitale du Kenya que M. Oscar KASHALA LUKUMUENDA, président de l´Union pour la Reconstruction du Congo, UREC en sigle, et candidat aux élections présidentielles de juillet 2006 et de novembre 2011 en RD Congo, serait l´un de ces impitoyables prédateurs provenant de tous les horizons qui, au grand dam des populations locales et du peuple congolais tout entier paupérisés à outrance, pillent et se livrent au trafic illicite des minérais du sang.
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Il ne fait plus l´ombre d´un doute que les vrais objectifs des commenditaires des récurrentes guerres d´agression et de prédation qui ensanglantent le RD Congo depuis octobre 1996, étaient grande partie économiques. Il s´agissait donc là pour ceux-ci de trouver les moyens les plus approppriés, revêtus, pour les beaux yeux de l´opinion internationale, de la fallacieuse apparence d´une guerre civile, afin de faire main basse sur d´énormes richesses minières stratégiques et autres régorge ce pays martyr. Et ce, avec pour finalité: assurer à leurs industries (aéronautiques, aérospaciales et de défense) et à leur technologie de pointe, l´approvisionnement en matiéres premières nécessaires.
Quatre rapports de l´Organisation des Nations Unies - dont le tout premier et certainement aussi le mieux détaillé, dit Rapport Kassem, dressé en 2000 par un panel d´experts africains - rendus public au fil des ces 15 dernières étayent la justesse de ces propos qui sont loin être des accusations gratuites. On s´en souvient, il y fit clairement établi que dans le cadre du pillage systématique éhonté des ressources naturelles et économiques, consécutif aux guerres artificielles imposées de l´extérieur dont la RD Congo est depuis lors la proie : plus de 25 pays dont les cinq membres permanents du Conseil de sécurité de la même organisation, des compagnies transnationales occidentales, des officiels et des particuliers tant congolais qu´internartionaux y étaient, et y sont malheureusement encore aujourd´hui, très activement et directement impliqués.
Ainsi, au-delà de leurs publications avec fracas par l´ONU et dans les médias dominants, ces différents rapports qui n´ont en réalité été que des catalogues de bonnes intentions, et restés à ce jour lettre morte, la guerre dans les Kivu - soit à « l´Est du Congo » pour emprunter le vocabulaire de ceux qui en veulent au Congo - qui a pris une autre forme plus intelligible, c´est-à-dire en se muant en une guerre à basse intensité mais pourtant plus meurtrière, continue de sévir en douceur. En 15 ans, une véritable guerre d´extermination d´une extrême violence est menée contre le peuple congolais. Il paraît de plus en plus évident, ni exagéré que ce peuple serait devenu une espèce humaine menacée d´extinction. Au su et au vu de toute la Communauté dite internationale, cette guerre passe sous silence, en faisant au quotidien des milliers de femmes violées; des déplacés de guerre chassés de leurs terres ancêstrales et érrant dans la nature, parce que victimes d´épuration ethnique au profit des populations rwandaises; et des millions d´innocentes victimes sans que le monde ne s´en emeuve.
Et pourtant dans l´entre-temps, comme on dit: « Le malheur des uns fait le bonheur des autres », certains individus à l´esprit exceptionnellement mercantile, demeurés égaux à eux-mêmes, et par-dessus tout viscéralement attachés à leurs intérêts égoïstes, au mépris de toutes considérations d´ordre moral ou ethique, se bâtissent sur la marée de minérais du sang qu´ils provoquent : d´immenses fortunes voire des empires financiers. C´est ainsi qu´il nous revient des sources crédibles depuis Nairobi la capitale du Kenya que M. Oscar KASHALA LUKUMUENDA, président de l´Union pour la Reconstruction du Congo, UREC en sigle, et candidat aux élections présidentielles de juillet 2006 et de novembre 2011 en RD Congo, serait l´un de ces impitoyables prédateurs provenant de tous les horizons qui, au grand dam des populations locales et du peuple congolais tout entier paupérisés à outrance, pillent et se livrent au trafic illicite des minérais du sang.
Qu´est-ce que c´est le coltan et à quoi s´en sert-on ?
Sur la liste des minerais du sang des Congolais et de matières précieuses de la guerre qui font l´objet de ce trafic illicite au départ du Nord-Kivu ou « l´Est du Congo » pour diverses destinations à l´étranger - selon les acheteurs - dans lequel Oscar KASHALA serait très fortement impliqué : l´or, la cassitérite et le coltan figurent en bonne place. Dans ce cas précis, il est plutôt question du coltan dont les 60 à 80% des réserves mondiales sont détenues par la RD Congo essentiellement dans la région du Kivu.
Le coltan est une source importante pour la production du tantale et, plus accessoirement, du niobium. Le tantale est très prisé pour sa grande résistance à la corrosion. Considéré comme un métal stratégique, il est surtout utilisé dans la fabrication de condensateurs pour les équipements électroniques ( Portable, Téléviseurs Plasma-LCD, Playstation, Lap Top, Jeux vidéo, etc) mais entre également dans la composition d'alliages de cobalt et de nickel dans l'aéronautique et particulièrement la fabrication des réacteurs. On l'utilise aussi comme revêtement dans les échangeurs de chaleur et dans des alliages pour les outils de coupe ou de tournage (Voir Wikidépia).
Sur la liste des minerais du sang des Congolais et de matières précieuses de la guerre qui font l´objet de ce trafic illicite au départ du Nord-Kivu ou « l´Est du Congo » pour diverses destinations à l´étranger - selon les acheteurs - dans lequel Oscar KASHALA serait très fortement impliqué : l´or, la cassitérite et le coltan figurent en bonne place. Dans ce cas précis, il est plutôt question du coltan dont les 60 à 80% des réserves mondiales sont détenues par la RD Congo essentiellement dans la région du Kivu.
Le coltan est une source importante pour la production du tantale et, plus accessoirement, du niobium. Le tantale est très prisé pour sa grande résistance à la corrosion. Considéré comme un métal stratégique, il est surtout utilisé dans la fabrication de condensateurs pour les équipements électroniques ( Portable, Téléviseurs Plasma-LCD, Playstation, Lap Top, Jeux vidéo, etc) mais entre également dans la composition d'alliages de cobalt et de nickel dans l'aéronautique et particulièrement la fabrication des réacteurs. On l'utilise aussi comme revêtement dans les échangeurs de chaleur et dans des alliages pour les outils de coupe ou de tournage (Voir Wikidépia).
Des deux grands conteneurs bourrés de coltans d´une valeur marchande réelle de 20 millions d´euros à chacun, mais qu´Oscar KASHALA, après en avoir lui-même été victime, propose à 2 millions d´euros seulement aux acheteurs... Tiens donc !
Il s´agit donc ici comme vous l´aviez compris, d´Oscar KASHALA, qui est basé aux États-unis d´Amérique (USA), et de son état médecin cardiologue. Excellent praticien semble-t-il, ce qui permit à ce dernier de se faire un carnet d´adresses non négligeable dans son pays d´accueil dont il est d´ailleurs, signalons-le au passage, citoyen. Jouissant de cette position socio-professionnelle assez privilégiée, et dans la perspective dans se lancer - après s´être endetté jusqu´au cou auprès des banques américaines - dans le juteux trafic des minerais du sang dans la région du Nord-Kivu, il s´en est ainsi servi pour se constituer un réseau d´acheteurs. Toutefois, précisons qu´avant de se convertir à ce qui convient sans détour de qualifier maffia, et d´endosser son nouveau rôle de courtier dans ce vaste réseau ayant des larges ramifications partant du Kivu, en passant par le Nairobi au Kenya, plaque tournante par excellence de ce commerce illégal, les USA, jusqu´aux Pays-Bas ; le docteur Oscar KASHALA LUKUMUENDA s´était lui-même d´abord fait escroquer une dizaine de millions d´euros qu´il aurait versés à son fournisseur au Kivu pour l´acquisition de deux conteneurs de coltan du sang.
En effet, le rôle de courtier/vendeur que joue ce dernier consiste à approcher des gens d´affaires, c´est-a-dire d´éventuels preneurs (acheteurs) aux États-unis, à qui il propose le deal en les persuadant de se tourner vers le marché parallèle plus avantageux plutôt que la voie officielle beaucoup trop coûteuse. C´est ainsi qu´il leur fera croire qu´il serait propriétaire d´importantes quantités de coltan, qui ne sont en réalité que deux conteneurs d´une valeur marchande réelle de 20 millions d´euros à chacun, mais qu´il leur propose plutôt d´en acheter à vil prix (dérisoire): 2 millions d´euros seulement l´unité au lieu de 20 millions. Ciel! Quelle aubaine à ne pas louper, finissent par se dire les victimes !
Il s´agit donc ici comme vous l´aviez compris, d´Oscar KASHALA, qui est basé aux États-unis d´Amérique (USA), et de son état médecin cardiologue. Excellent praticien semble-t-il, ce qui permit à ce dernier de se faire un carnet d´adresses non négligeable dans son pays d´accueil dont il est d´ailleurs, signalons-le au passage, citoyen. Jouissant de cette position socio-professionnelle assez privilégiée, et dans la perspective dans se lancer - après s´être endetté jusqu´au cou auprès des banques américaines - dans le juteux trafic des minerais du sang dans la région du Nord-Kivu, il s´en est ainsi servi pour se constituer un réseau d´acheteurs. Toutefois, précisons qu´avant de se convertir à ce qui convient sans détour de qualifier maffia, et d´endosser son nouveau rôle de courtier dans ce vaste réseau ayant des larges ramifications partant du Kivu, en passant par le Nairobi au Kenya, plaque tournante par excellence de ce commerce illégal, les USA, jusqu´aux Pays-Bas ; le docteur Oscar KASHALA LUKUMUENDA s´était lui-même d´abord fait escroquer une dizaine de millions d´euros qu´il aurait versés à son fournisseur au Kivu pour l´acquisition de deux conteneurs de coltan du sang.
En effet, le rôle de courtier/vendeur que joue ce dernier consiste à approcher des gens d´affaires, c´est-a-dire d´éventuels preneurs (acheteurs) aux États-unis, à qui il propose le deal en les persuadant de se tourner vers le marché parallèle plus avantageux plutôt que la voie officielle beaucoup trop coûteuse. C´est ainsi qu´il leur fera croire qu´il serait propriétaire d´importantes quantités de coltan, qui ne sont en réalité que deux conteneurs d´une valeur marchande réelle de 20 millions d´euros à chacun, mais qu´il leur propose plutôt d´en acheter à vil prix (dérisoire): 2 millions d´euros seulement l´unité au lieu de 20 millions. Ciel! Quelle aubaine à ne pas louper, finissent par se dire les victimes !
D´où provient-il en fait ce coltan?
Ce fameux coltan du sang illégalement extrait du sol congolais, était jadis transporté en contrebande, en accord généralement avec des entrepreneurs occidentaux, les armées de l´Ouganda, du Rwanda, du Burundi, tous: partenaires stratégiques de l´Occident et de la RD Congo qui occupaient la Province orientale et les Kivu. Mais par les temps qui courent, ce rôle est désormais joué par des groupes rebelles et génocidaires tant « rwando-congolais » qu´étrangers qui se battent, terrorisent et massacrent des populations civiles congolaises qui vivent un véritable Enfers sur terre, pour s´approprier des ressources minières de coltan, aux bénéfices des investisseurs étrangers. Et selon l´ONU, l´armée rwandaise aurait annuellement tiré plus de 250 millions de dollars US de 1998 à 2000.
Ce fameux coltan du sang illégalement extrait du sol congolais, était jadis transporté en contrebande, en accord généralement avec des entrepreneurs occidentaux, les armées de l´Ouganda, du Rwanda, du Burundi, tous: partenaires stratégiques de l´Occident et de la RD Congo qui occupaient la Province orientale et les Kivu. Mais par les temps qui courent, ce rôle est désormais joué par des groupes rebelles et génocidaires tant « rwando-congolais » qu´étrangers qui se battent, terrorisent et massacrent des populations civiles congolaises qui vivent un véritable Enfers sur terre, pour s´approprier des ressources minières de coltan, aux bénéfices des investisseurs étrangers. Et selon l´ONU, l´armée rwandaise aurait annuellement tiré plus de 250 millions de dollars US de 1998 à 2000.
Comment le deal du coltan du sang entre Oscar KASHALA et ses acheteurs s´opère-t-il ? En voici donc le mécanisme!
Le mode opératoire de ce réseau qui mérite d´être qualifié de maffieux est aussi simple que cela. Après avoir d´abord empocher 50% de la valeur de la marchandise, et pour ainsi mettre en confiance l´acheteur ou les acheteurs qui, le plus souvent craint (craignent) de se risquer d´aller chercher la marchandise en question sur place au Kivu, réputé zone à haut risque du fait de la guerre qui n´y a jamais réellement pris fin, on propose à celui-ci (ceux-ci) d´aller plutôt la chercher au Kenya, au port de MOMBASA avec tous les documents nécessaires à la transaction à l´appui. Une fois arrivé sur le lieu au port d´embarquement de MOMBASA, le preneur trouve effectivement la marchandise lui vendue. A savoir: les deux fameux conteneurs bourrés de coltan, dont il pourrait d´ailleurs à l´occasion avoir le loisir d´en contrôler l´échantillon.
Le mode opératoire de ce réseau qui mérite d´être qualifié de maffieux est aussi simple que cela. Après avoir d´abord empocher 50% de la valeur de la marchandise, et pour ainsi mettre en confiance l´acheteur ou les acheteurs qui, le plus souvent craint (craignent) de se risquer d´aller chercher la marchandise en question sur place au Kivu, réputé zone à haut risque du fait de la guerre qui n´y a jamais réellement pris fin, on propose à celui-ci (ceux-ci) d´aller plutôt la chercher au Kenya, au port de MOMBASA avec tous les documents nécessaires à la transaction à l´appui. Une fois arrivé sur le lieu au port d´embarquement de MOMBASA, le preneur trouve effectivement la marchandise lui vendue. A savoir: les deux fameux conteneurs bourrés de coltan, dont il pourrait d´ailleurs à l´occasion avoir le loisir d´en contrôler l´échantillon.
Mais avant d´en arriver là, celui-ci est préalablement accueilli par une équipe de commissionnaires d´origine congolaise, spécialisés dans le trafic illégal des minerais congolais de la guerre. Tous, membres du même réseau, confortablement établis à Nairobi et devenus millionnaires en dollars américains que sont en l´occurrence: Joakim dit JOJO MANDIKI, propriétaire d´hôtels dans un certain nombre de villes frontalières dont KASUMBALESA au Katanga et GOMA au Nord-Kivu ; Jean-Claude dit J.C MUTINDO, JOHN LOPEZ et le Général DEFAO MATUMONA que l´on voit sur la photo ci-contre. Ce dernier est un « ancien » artiste chanteur ayant évolué dans différents ensembles orchestraux congolais les plus en vue des années 1980 et 1990 que sont notamment: Grand Zaïko Wawa, Choc Stars et enfin Big Stars comme tête d´affiche. Des sources proches de celui-ci confirment aussi, qu´il aurait même eu - pendant les plus belles années de sa carrière musicale - pour chaffeur de taxi attitré, lui assurant ses déplacements dans Dar Es-Salam la capitale tanzanienne lorsqu´il s´y rendait en tournée: un certain Hyppolite KANAMBE, actuellement à la tête de la RD Congo, sous le pseudonyme politique de Joseph KABILA.
Et en plus de la marchandise elle-même, il y trouve aussi tous les documents requis en bonne et due forme que sont entre autres : la licence d´exportation, les documents du comptoire d´achat (attestation), le délivré suivre, le BL délivré par le transporteur, les documents de l´Office Congolais de Contrôle (OCC) attestant l´authenticité de la marchandise, le certificat des services de la Douane du Kenya, spécifiant la qualité et la quantité de la marchandise, les documents de transport, etc. Bref, tout ce qu´il faut pour pour l´embarquement et une exportation régulière. Et l´affaire est donc conclue...
Et en plus de la marchandise elle-même, il y trouve aussi tous les documents requis en bonne et due forme que sont entre autres : la licence d´exportation, les documents du comptoire d´achat (attestation), le délivré suivre, le BL délivré par le transporteur, les documents de l´Office Congolais de Contrôle (OCC) attestant l´authenticité de la marchandise, le certificat des services de la Douane du Kenya, spécifiant la qualité et la quantité de la marchandise, les documents de transport, etc. Bref, tout ce qu´il faut pour pour l´embarquement et une exportation régulière. Et l´affaire est donc conclue...
Aussitôt après que le navire quitte son port d´attache de MOMBASA, c´est alors que la MONUSCO fait son entrée en jeu. Pire arnaque!
Après que tous les documents aient été dûment présentés à l´armateur, et que le navire ait pu enfin quitter son port d´attache de MOMBASA, en s´enfoncant heure après heure dans l´immensité de l´océan Indien, et faisant route pour sa destination finale – la Corée du sud, la Chine ou les Pays-bas -- selon le choix du client; qu´intervient par téléphone la Mission des Nations Unies pour la Stabilisation du Congo, en sigle la MONUSCO, héritière de l´ex-MONUC, auprès du capitaine du navire pour lui signaler la présence des marchandises illégales dans sa cargaison. Et que pour des raisons liées à l´enquête à laquelle elle procède, lui enjoint que ces marchandises doivent être immédiatement débarquées au tout prochain escale du navire. Et c´est au port international de Dubaï que cela a le plus souvent lieu. C´est ainsi que dans l´attente de la soi-disant enquête et pour cause de calendrier à respecter, le capitaine du navire, dans la presque totalité des cas, voit sa patience arriver à bout, si bien qu´il finit toujours par abandonner la fameuse marchandise sur le lieu, conformément aux ordres de la MONUSCO, pour continuer sa route. Laquelle marchandise débarquée, est aussitôt après rétrocédée à l´autorité douanière du Kenya, et ensuite à son virtuel propriétaire, dans la perspective d´une prochaine arnaque. Bref, ce coltan n´est en réalité qu´un appât du gain que l´on vend et revend à l´infini à différents acheteurs; et ne quittant presque jamais les entrepôts de la Douane du port international de MOMBASA (Kenya).
Après que tous les documents aient été dûment présentés à l´armateur, et que le navire ait pu enfin quitter son port d´attache de MOMBASA, en s´enfoncant heure après heure dans l´immensité de l´océan Indien, et faisant route pour sa destination finale – la Corée du sud, la Chine ou les Pays-bas -- selon le choix du client; qu´intervient par téléphone la Mission des Nations Unies pour la Stabilisation du Congo, en sigle la MONUSCO, héritière de l´ex-MONUC, auprès du capitaine du navire pour lui signaler la présence des marchandises illégales dans sa cargaison. Et que pour des raisons liées à l´enquête à laquelle elle procède, lui enjoint que ces marchandises doivent être immédiatement débarquées au tout prochain escale du navire. Et c´est au port international de Dubaï que cela a le plus souvent lieu. C´est ainsi que dans l´attente de la soi-disant enquête et pour cause de calendrier à respecter, le capitaine du navire, dans la presque totalité des cas, voit sa patience arriver à bout, si bien qu´il finit toujours par abandonner la fameuse marchandise sur le lieu, conformément aux ordres de la MONUSCO, pour continuer sa route. Laquelle marchandise débarquée, est aussitôt après rétrocédée à l´autorité douanière du Kenya, et ensuite à son virtuel propriétaire, dans la perspective d´une prochaine arnaque. Bref, ce coltan n´est en réalité qu´un appât du gain que l´on vend et revend à l´infini à différents acheteurs; et ne quittant presque jamais les entrepôts de la Douane du port international de MOMBASA (Kenya).
En 12 ans de présence militaire, la MONUSCO n´a été qu´une sorte de force d´occupation, passant les plus clairs de son temps à se livrer au trafic des minerais.
Il importe à cet effet de rappeler qu´en 12 ans de présence militaire sur le sol congolais, ladite MONUSCO qui, en dépit de ses quelques 20 000 Casques bleus présents sur le terrain, s´est curieusement averée inapte à pouvoir empêcher le pillage systématique des richesses minières de la RD Congo. Elle n´a par ailleurs pu y ramener une vraie paix, ni stabiliser grand-chose au plan sécuritaire, ni encore moins politique. Alors que le pays a depuis l´élection présidentielle du 28 novembre dernier, basculé dans une nouvelle crise politique; engendrée par le refus du président sortant alias Joseph KABILA de reconnaître sa défaite électorale selon la vérité des urnes, face au Président de la République et l´élu du peuple, Son Excellence Étienne TSHISEKEDI wa MULUMBA; en s´accrochant au pouvoir par la force des armes, et réprimant ainsi dans le sang les populations civiles: membres et partisans de l´Opposition. Par contre, la MONUSCO tout en restant pour ainsi dire physiquement au RD Congo, devient comme par enchantement capable d´intercepter des bateaux au beau milieu de la mer, à des milliers de kilomètres hors du territoire national congolais, en raison semble-t-il du transport de marchandises illégales y provenant. Qu´est-ce que c´est bizarre!
Ainsi, les Congolais du Kivu et de partout ont encore bien la mémoire, qu´il était autrefois de règle dans les milieux des soldats de la MONUC devenue MONUSCO, que l´on dise: << No Nkunda (batware), no job! >>. Allusion faite à l´officier et criminel de guerre rwandais de triste mémoire - aujourd´hui refugié dans son pays d´origine - qui y semait jusqu´en janvier 2009: la mort et la désolation à grande échelle. De toute évidence, la MONUSCO a tout intérêt, on le sait, à vouloir faire durer le plus longtemps possible le statu quo. En d´autres termes, cette situation de non Guerre et de non Paix qui prévaut depuis lors au Congo, et qui bien évidemment fait l´affaire de ses agents. Elle semble, peut-être pas la MONUSCO elle-même, mais certains de ses agents et Casques bleus qui se livrent à toutes sortes de partaiques, semblent plus être là en mission de maintien d´affaires, plutôt que maintien de paix ou de stabilisation. C´est bien cela la nette impression qui s´en dégage après analyse...
Il importe à cet effet de rappeler qu´en 12 ans de présence militaire sur le sol congolais, ladite MONUSCO qui, en dépit de ses quelques 20 000 Casques bleus présents sur le terrain, s´est curieusement averée inapte à pouvoir empêcher le pillage systématique des richesses minières de la RD Congo. Elle n´a par ailleurs pu y ramener une vraie paix, ni stabiliser grand-chose au plan sécuritaire, ni encore moins politique. Alors que le pays a depuis l´élection présidentielle du 28 novembre dernier, basculé dans une nouvelle crise politique; engendrée par le refus du président sortant alias Joseph KABILA de reconnaître sa défaite électorale selon la vérité des urnes, face au Président de la République et l´élu du peuple, Son Excellence Étienne TSHISEKEDI wa MULUMBA; en s´accrochant au pouvoir par la force des armes, et réprimant ainsi dans le sang les populations civiles: membres et partisans de l´Opposition. Par contre, la MONUSCO tout en restant pour ainsi dire physiquement au RD Congo, devient comme par enchantement capable d´intercepter des bateaux au beau milieu de la mer, à des milliers de kilomètres hors du territoire national congolais, en raison semble-t-il du transport de marchandises illégales y provenant. Qu´est-ce que c´est bizarre!
Ainsi, les Congolais du Kivu et de partout ont encore bien la mémoire, qu´il était autrefois de règle dans les milieux des soldats de la MONUC devenue MONUSCO, que l´on dise: << No Nkunda (batware), no job! >>. Allusion faite à l´officier et criminel de guerre rwandais de triste mémoire - aujourd´hui refugié dans son pays d´origine - qui y semait jusqu´en janvier 2009: la mort et la désolation à grande échelle. De toute évidence, la MONUSCO a tout intérêt, on le sait, à vouloir faire durer le plus longtemps possible le statu quo. En d´autres termes, cette situation de non Guerre et de non Paix qui prévaut depuis lors au Congo, et qui bien évidemment fait l´affaire de ses agents. Elle semble, peut-être pas la MONUSCO elle-même, mais certains de ses agents et Casques bleus qui se livrent à toutes sortes de partaiques, semblent plus être là en mission de maintien d´affaires, plutôt que maintien de paix ou de stabilisation. C´est bien cela la nette impression qui s´en dégage après analyse...
Comment et par quelle magie la MONUSCO est-elle au courant des mouvements des navires transportant le butin? Y a-t-il complicité de fait? Oui, répond-t-on par l´affirmative à Nairobi.
Ceci étant dit, il vous vient à l´esprit en tant que lecteur la question de savoir: comment et par quelle magie la MONUSCO est-elle courant des mouvements des navires signalés en question, transportant le butin? Ne vous y trompez pas et ne vous faites surtout pas d´illusions nous disent nos sources de Nairobi. Car, il y a indéniablement entre tous ces différents acteurs concourant en réalité pour le même but: une complicité de fait, soutiennent-elles. Sinon, pourquoi la MONUSCO qui, en déclarant la marchandise illégale, exigerait-elle par ailleurs au preneur après la saisie de « son coltan », le paiement d´une somme de 300 000 euros pour l´obtention de documents nécessaires qui semble-t-il manqueraient, afin de légaliser sa marchandise? En fait, ils agissent tous de connivence, et c´est cela qui est la vérité.
Une fois cette somme versée, si bien sûr, l´acheteur tient à tout prix à se réapproprier sa marchandise, l´argent lui extorqué puisqu´il le qualifier ainsi, est aussitôt équitablement partagé entre les membres cette « Cosa Nostra » tropicale des Grands Lacs africains. C´est-à-dire entre les fonctionnaires de la MONUSCO impliqués dans cette magouille, les autorités douanières kenyannes et les courtiers/commissionnaires situés à différents niveaux. Et si jamais ce premier obstacle est franchi avec succès par l´acheteur: quoi de plus naïf pour lui que de s´en rejouir si vite et de penser qu´il s´en est bien tiré? Car contre toute attente, l´implacable MONUSCO lui en mettra encore d´autres plus élevés, en placant la barre toujours plus haut. Et ce, dans le seul but de lui rendre la situation de plus en plus intenable, au point qu´au bout du compte, ce dernier en finira bien par jeter l´éponge en abandonnant l´affaire. Hourra! Arnaque consommée.
Ainsi, nombreux sont ces malheureux acheteurs aussi bien congolais qu´étrangers qui aujourd´hui, se mordent les doigts, après s´être fait piéger. Et parmi les victimes d´Oscar KASHALA LUKUMUENDA, que d´aucuns dans les milieux congolais du KENYA surnomment désormais et affectuesement de « Docteur COLTAN KASHALA » plutôt que d´OSCAR tel est son prénom, on comptera l´un des ses proches amis du nom de Charles KABEYA. Colonel dans l´armée congolaise, et autrefois proche collaborateur de M´zee Laurent-Désiré KABILA. Celui-ci, est aujourd´hui encore loin de se douter que son partenaire de docteur était bien conscient de ce qui allait être l´issue de ce q´il lui faisait faire. Eh bien ! Quel rapport entretiennent-ils en fait ces deux hommes? Et comment Charles KABEYA a-t-il pu passer de l´armée au trafic de minerais? Cadre d´un mouvement politico-militaire, ce dernier fut contacté par Oscar KASHALA afin qu´il lui apporte son soutien dans le cadre des élections présidentielles de 2006. Et c´est ainsi qu´il décida de le réjoindre dans son aventure politique. C´est fut là le départ leur amitié dans sa forme actuelle. Et comme conséquence de l´escroquerie dont il avait été victime, monsieur Charles KABEYA moralement abattu et financierèment ruiné, avait failli en finir physiquement avec la vie de sa femme qui l´aurait paraî-il, persuadé à se lancer dans ladite « Affaire du coltan du sang » d´Oscar KASHALA, nous a-t-on confié.
Et qui donc oserait dire que l´élite politique congolaise n´en est pour rien dans cette association de malfaiteurs ? C´est prendre les Congolais pour ce qu´ils ne sont. Des complicités, il en existe bel et bien au niveau des autorités locales congolaises qui sont loin d´être innoncentes dans ce trafic illicite. Il y en a sur place au Kivu, et vraisemblablement à Kinshasa aussi. C´est le cas d´un député national de la législature sortante originaire de Goma, dont le nom ne nous a malheureusement pas été révelé, qui se trouverait être l´un des maillons de ce réseau maffieux qui pille et s´abreuve des minerais du sang des Congolais.
Ceci étant dit, il vous vient à l´esprit en tant que lecteur la question de savoir: comment et par quelle magie la MONUSCO est-elle courant des mouvements des navires signalés en question, transportant le butin? Ne vous y trompez pas et ne vous faites surtout pas d´illusions nous disent nos sources de Nairobi. Car, il y a indéniablement entre tous ces différents acteurs concourant en réalité pour le même but: une complicité de fait, soutiennent-elles. Sinon, pourquoi la MONUSCO qui, en déclarant la marchandise illégale, exigerait-elle par ailleurs au preneur après la saisie de « son coltan », le paiement d´une somme de 300 000 euros pour l´obtention de documents nécessaires qui semble-t-il manqueraient, afin de légaliser sa marchandise? En fait, ils agissent tous de connivence, et c´est cela qui est la vérité.
Une fois cette somme versée, si bien sûr, l´acheteur tient à tout prix à se réapproprier sa marchandise, l´argent lui extorqué puisqu´il le qualifier ainsi, est aussitôt équitablement partagé entre les membres cette « Cosa Nostra » tropicale des Grands Lacs africains. C´est-à-dire entre les fonctionnaires de la MONUSCO impliqués dans cette magouille, les autorités douanières kenyannes et les courtiers/commissionnaires situés à différents niveaux. Et si jamais ce premier obstacle est franchi avec succès par l´acheteur: quoi de plus naïf pour lui que de s´en rejouir si vite et de penser qu´il s´en est bien tiré? Car contre toute attente, l´implacable MONUSCO lui en mettra encore d´autres plus élevés, en placant la barre toujours plus haut. Et ce, dans le seul but de lui rendre la situation de plus en plus intenable, au point qu´au bout du compte, ce dernier en finira bien par jeter l´éponge en abandonnant l´affaire. Hourra! Arnaque consommée.
Ainsi, nombreux sont ces malheureux acheteurs aussi bien congolais qu´étrangers qui aujourd´hui, se mordent les doigts, après s´être fait piéger. Et parmi les victimes d´Oscar KASHALA LUKUMUENDA, que d´aucuns dans les milieux congolais du KENYA surnomment désormais et affectuesement de « Docteur COLTAN KASHALA » plutôt que d´OSCAR tel est son prénom, on comptera l´un des ses proches amis du nom de Charles KABEYA. Colonel dans l´armée congolaise, et autrefois proche collaborateur de M´zee Laurent-Désiré KABILA. Celui-ci, est aujourd´hui encore loin de se douter que son partenaire de docteur était bien conscient de ce qui allait être l´issue de ce q´il lui faisait faire. Eh bien ! Quel rapport entretiennent-ils en fait ces deux hommes? Et comment Charles KABEYA a-t-il pu passer de l´armée au trafic de minerais? Cadre d´un mouvement politico-militaire, ce dernier fut contacté par Oscar KASHALA afin qu´il lui apporte son soutien dans le cadre des élections présidentielles de 2006. Et c´est ainsi qu´il décida de le réjoindre dans son aventure politique. C´est fut là le départ leur amitié dans sa forme actuelle. Et comme conséquence de l´escroquerie dont il avait été victime, monsieur Charles KABEYA moralement abattu et financierèment ruiné, avait failli en finir physiquement avec la vie de sa femme qui l´aurait paraî-il, persuadé à se lancer dans ladite « Affaire du coltan du sang » d´Oscar KASHALA, nous a-t-on confié.
Et qui donc oserait dire que l´élite politique congolaise n´en est pour rien dans cette association de malfaiteurs ? C´est prendre les Congolais pour ce qu´ils ne sont. Des complicités, il en existe bel et bien au niveau des autorités locales congolaises qui sont loin d´être innoncentes dans ce trafic illicite. Il y en a sur place au Kivu, et vraisemblablement à Kinshasa aussi. C´est le cas d´un député national de la législature sortante originaire de Goma, dont le nom ne nous a malheureusement pas été révelé, qui se trouverait être l´un des maillons de ce réseau maffieux qui pille et s´abreuve des minerais du sang des Congolais.
Oscar KASHALA alias Docteur COLTAN KASHALA n´est qu´un opportuniste politiquement nul. Voilà pourquoi celui-ci multiplie des fantaisistes déclarations de soutien à l´imposteur rwandais qui s´accroche au pouvoir à Kinshasa...
Pour ceux des Congolais qui étaient encore perplexes au sujet de la conduite opportuniste et anti-républicaine d´Oscar KASHALA, alias Docteur COLTAN KASHALA, président de l´UREC, et candidat malheureux à l´issue de la présidentielle du 28 novembre 2011 qui pourtant - sans scrupule - soutient un autre perdant comme lui, en l´occurrence alias Joseph KABILA, en lui faisant la fine bouche; disposent désormais de quelques éléments de réponse qui ne sont toutefois pas exhaustifs. Cet excellent médecin paraît-il, - qui aurait pu ne s´en tenir qu´à son noble métier - ne possédant de surcroît aucune base politique réelle en RD Congo, comme la dernière présidentielle l´a démontré; disparaît aussitôt qu´il apparaît tous les cinq ans comme un météore dans le firmament politique congolaise lors des présidentielles, croit qu´il ne peut la (RDC) servir autrement qu´en étant président de la République. Vidéo: http://www.youtube.com/watch?v=PnJ79WBJ6K4
Ses ambitions sont illogiques et excessives, et ce, en dépit du fait qu´il cumule simultanément ses nationalités congolaise d´origine et américaine par naturalisation, en contradiction et en violation totales des dispositions constitutionnelles sur la nationalité en vigueur dans ces deux pays : la RDC et les USA, consacrant son caractère unique. C´est-à-dire qu´elle ne peut être détenue concurremment avec une autre nationalité. Ce qui revient bien évidemment à faire délibérément le jeu de notre imposteur national rwandais. Pour quel groupe d´intérêt économique ou financier roule-t-il se demande-t-on en définitive?
Pour ceux des Congolais qui étaient encore perplexes au sujet de la conduite opportuniste et anti-républicaine d´Oscar KASHALA, alias Docteur COLTAN KASHALA, président de l´UREC, et candidat malheureux à l´issue de la présidentielle du 28 novembre 2011 qui pourtant - sans scrupule - soutient un autre perdant comme lui, en l´occurrence alias Joseph KABILA, en lui faisant la fine bouche; disposent désormais de quelques éléments de réponse qui ne sont toutefois pas exhaustifs. Cet excellent médecin paraît-il, - qui aurait pu ne s´en tenir qu´à son noble métier - ne possédant de surcroît aucune base politique réelle en RD Congo, comme la dernière présidentielle l´a démontré; disparaît aussitôt qu´il apparaît tous les cinq ans comme un météore dans le firmament politique congolaise lors des présidentielles, croit qu´il ne peut la (RDC) servir autrement qu´en étant président de la République. Vidéo: http://www.youtube.com/watch?v=PnJ79WBJ6K4
Ses ambitions sont illogiques et excessives, et ce, en dépit du fait qu´il cumule simultanément ses nationalités congolaise d´origine et américaine par naturalisation, en contradiction et en violation totales des dispositions constitutionnelles sur la nationalité en vigueur dans ces deux pays : la RDC et les USA, consacrant son caractère unique. C´est-à-dire qu´elle ne peut être détenue concurremment avec une autre nationalité. Ce qui revient bien évidemment à faire délibérément le jeu de notre imposteur national rwandais. Pour quel groupe d´intérêt économique ou financier roule-t-il se demande-t-on en définitive?
Qu´il ait fait le choix de reconnaître la défaite d´alias Joseph KABILA transformée en « victoire » par coup de baguette magique de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) de M. Ngoy MULUNDA à sa solde, au détriment du Président de la République et le démocratiquement élu candidat du peuple, Son Excellence Étienne TSHISEKEDI wa MULUMBA, a paru surprenant à plus d´un Congolais.
Qu´il ait également été le seul avec M. Léon KENGO wa DONDO, du président du Sénat sortant à rehausser de sa présence à la cérémonie d´investiture de celui-ci devant une Cours suprême lui inféodée et des blindés dans une ville de Kinshasa infestée de mercenaires étrangers, bien que se voulant d´une certaine oppostion, est également surprenant du moins en ce qui le concerne en tant que Congolais d´origine. Car, s´agissant de KENGO wa DONDO qui n´est qu´un oiseau de même plumage que son compatriote, sans aucune attache de sang avec le Congo : quoi de plus normal cela?
En effet, la vérité est que le « Docteur COLTAN KASHALA », visiblement très impliqué dans cette maffia politico-financière à grande échelle qui sevit en RD Congo, est un de ces éléments nuisibles baignant dans cette corruption à outrance gangrènant la société congolaise. Il est de ceux qui rédoutent et qui n´ont aucun intérêt à voir venir l´État de droit tant promis par le président TSHISEKEDI wa MULUMBA, et exigé par le peuple tout entier. Car, hanté par la crainte de se faire un jour rattraper par les griffes d´une Justice distributive; à l´idée que la vérité sur les actes que pose chaque Congolais ou chaque étranger, même secrètement, voire sous un couvert international, en cette sombre période de notre Histoire nationale, finira bien un jour par éclater au grand jour, en prenant le dessus sur le mensonge et des véreuses combines. Tout porte à croire que la politique n´est pour Oscar KASHALA qu´un tremplin, dont il se sert pour en venir à ses fins affairistes. Il est donc loin d´être cet immaculé << Monsieur Propre >> de la politique congolaise dont il s´est longtemps prévalu, et qu´il a fallacieusement réussi à mettre dans la tête de ses quelques partisans, dès lors qu´il se trouverait mêlé dans de telles magouilles anti-républicaines.
Tous ces profiteurs de guerre, Congolais comme étrangers, ou MONUSCO, veulent tout, sauf du Président de la République TSHISEKEDI wa MULUMBA au pouvoir. Etant donné qu´ils le considèrent comme un danger qui viendrait mettre à mal sinon un terme à leurs injustes intérêts auxquels ils s´accrochent. Ce n´est donc pas par un simple fait du hasard que le Président de la République demandait à la veille de la présidentielle, le départ du partial chef de la MONUSCO, à savoir M. Roger MEECE. En effet, il est bien l´arbre qui cache la forêt.
Ce n´est ni, comme d´aucuns pourraient peut-être se l´imaginer, pour cause de réflexes ou de sentiments tribalistes comme soubassement qu´éprouverait Oscar KASHALA, originaire du Kasaï occidental-Kananga, contrairement au Président TSHISEKEDI wa MULUMBA qui est du Kasaï oriental-Mbuji-Mayi. Il en est donc par conséquent rien du vieux << Conflit Luba-Lulua >> des années 60, créé de toutes pièces par l´ex-puissance coloniale belge; déjà ébranlé sous le poids de l´unité et la cohésion nationales, et définitivement enterré avec le départ précipité de ses artisans le 30 juin 1960. On rafraîchira au passage la mémoire du lecteur en rappelant que c´est bien au Kasaï occidental-Kananga d´où est Oscar KASHALA que: le Président TSHISEKEDI wa MULUMBA avait réalisé son meilleur score électoral frôlant les 80% de l´ensemble des suffrages exprimés sur toute l´étendue de la République, lors de la présidentielle du 28 novembre dernier. Ceux qui ont sous-estimé l´éveil de la conscience et la cohésion nationale du peuple de M´fumu KIMBANGU et de l´inégalable Héros national Patrice LUMUMBA, découvrent à leurs dépens que la dynamique de liberation qui s´est inexorablement mise en marche, ne pourra être arrêtée par ni le régime d´Occupation, ni par aucune autre puissance étrangère quelle qu´elle soit.
Qu´il ait également été le seul avec M. Léon KENGO wa DONDO, du président du Sénat sortant à rehausser de sa présence à la cérémonie d´investiture de celui-ci devant une Cours suprême lui inféodée et des blindés dans une ville de Kinshasa infestée de mercenaires étrangers, bien que se voulant d´une certaine oppostion, est également surprenant du moins en ce qui le concerne en tant que Congolais d´origine. Car, s´agissant de KENGO wa DONDO qui n´est qu´un oiseau de même plumage que son compatriote, sans aucune attache de sang avec le Congo : quoi de plus normal cela?
En effet, la vérité est que le « Docteur COLTAN KASHALA », visiblement très impliqué dans cette maffia politico-financière à grande échelle qui sevit en RD Congo, est un de ces éléments nuisibles baignant dans cette corruption à outrance gangrènant la société congolaise. Il est de ceux qui rédoutent et qui n´ont aucun intérêt à voir venir l´État de droit tant promis par le président TSHISEKEDI wa MULUMBA, et exigé par le peuple tout entier. Car, hanté par la crainte de se faire un jour rattraper par les griffes d´une Justice distributive; à l´idée que la vérité sur les actes que pose chaque Congolais ou chaque étranger, même secrètement, voire sous un couvert international, en cette sombre période de notre Histoire nationale, finira bien un jour par éclater au grand jour, en prenant le dessus sur le mensonge et des véreuses combines. Tout porte à croire que la politique n´est pour Oscar KASHALA qu´un tremplin, dont il se sert pour en venir à ses fins affairistes. Il est donc loin d´être cet immaculé << Monsieur Propre >> de la politique congolaise dont il s´est longtemps prévalu, et qu´il a fallacieusement réussi à mettre dans la tête de ses quelques partisans, dès lors qu´il se trouverait mêlé dans de telles magouilles anti-républicaines.
Tous ces profiteurs de guerre, Congolais comme étrangers, ou MONUSCO, veulent tout, sauf du Président de la République TSHISEKEDI wa MULUMBA au pouvoir. Etant donné qu´ils le considèrent comme un danger qui viendrait mettre à mal sinon un terme à leurs injustes intérêts auxquels ils s´accrochent. Ce n´est donc pas par un simple fait du hasard que le Président de la République demandait à la veille de la présidentielle, le départ du partial chef de la MONUSCO, à savoir M. Roger MEECE. En effet, il est bien l´arbre qui cache la forêt.
Ce n´est ni, comme d´aucuns pourraient peut-être se l´imaginer, pour cause de réflexes ou de sentiments tribalistes comme soubassement qu´éprouverait Oscar KASHALA, originaire du Kasaï occidental-Kananga, contrairement au Président TSHISEKEDI wa MULUMBA qui est du Kasaï oriental-Mbuji-Mayi. Il en est donc par conséquent rien du vieux << Conflit Luba-Lulua >> des années 60, créé de toutes pièces par l´ex-puissance coloniale belge; déjà ébranlé sous le poids de l´unité et la cohésion nationales, et définitivement enterré avec le départ précipité de ses artisans le 30 juin 1960. On rafraîchira au passage la mémoire du lecteur en rappelant que c´est bien au Kasaï occidental-Kananga d´où est Oscar KASHALA que: le Président TSHISEKEDI wa MULUMBA avait réalisé son meilleur score électoral frôlant les 80% de l´ensemble des suffrages exprimés sur toute l´étendue de la République, lors de la présidentielle du 28 novembre dernier. Ceux qui ont sous-estimé l´éveil de la conscience et la cohésion nationale du peuple de M´fumu KIMBANGU et de l´inégalable Héros national Patrice LUMUMBA, découvrent à leurs dépens que la dynamique de liberation qui s´est inexorablement mise en marche, ne pourra être arrêtée par ni le régime d´Occupation, ni par aucune autre puissance étrangère quelle qu´elle soit.
En fait, ce que l´opinion congolaise dans sa grande majorité ignore, est qu´Oscar KASHALA qui n´est plus en odeur de sainteté auprès de tous les combattants tant à l´intérieur du pays que dans la diaspora, a de son côté beaucoup de compromissions vis-à-vis du régime d´Occupation. C´est ainsi qu´il ne peut se permettre le luxe de lui faire un affront qui ne pourra qu´être lourd de conséquences fâcheuses pour lui. D´où, son choix de s´abriter sous l´imposture étrangère et la Collaboration tant celui qui en est l´incarnation demeurera au pouvoir. J´ai cité alias Joseph KABILA. Détrompez-vous, ce n´est donc nullement par « fair play » comme bon perdant ou par un quelconque esprit d´ouverture démocratique, qu´il ait opté pour celui qu´il sait pertinemment bien n´être qu´un criminel d´État étranger, qui n´a jamais remporté la moindre élection. Mais plutôt imposé successivement au sommet de la RD Congo en janvier 2001, en septembre 2006, ainsi que à travers leur dernière tentative de novembre 2011, que le peuple est en train petit à petit de mettre en échec, malgré la repression et l´oppression dont il est victime. Car, vous vous en doutez certainement en vous disant: Y aurait-il plus légaliste sur la scène politique congolaise que le Président de la République démocratiquement élu, Son Excellence Étienne TSHISEKEDI wa MULUMBA? Lequel a par-dessus tout le mérite d´être le premier docteur en droit de l´Histoire de ce beau et grand pays qu´est la RDC.
De ce qui précède, il y a suffisamment de quoi se faire une idée de l´énormité du complot dont la RD Congo est victime, ainsi que les raisons pour lesquelles la guerre et l´instabilité perdurent. C´est voulu!
STOCKHOLM, le 28 janvier 2012
Pépin LULENDO
Oscar Kashala, le candidat venu des Amériques b...
De ce qui précède, il y a suffisamment de quoi se faire une idée de l´énormité du complot dont la RD Congo est victime, ainsi que les raisons pour lesquelles la guerre et l´instabilité perdurent. C´est voulu!
STOCKHOLM, le 28 janvier 2012
Pépin LULENDO
Oscar Kashala, le candidat venu des Amériques b...
Par etngandu| 1 vidéo
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