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SACREBOPOL

mercredi 14 décembre 2011

Belgique-RD Congo: Entretiens entre ministres des Affaires étrangères


Cérémonie d'investiture du président Joseph Kabila prévue le 20 décembre à Kinshasa
 - Le ministre des Affaires étrangères de la RDC s'entretient à Bruxelles avec son homologue belge - Le ministre des Affaires étrangères de la RD Congo (RDC), Alexis Thambwe, s'est entretenu mardi à Bruxelles avec son homologue belge, Didier Reynders,  à qui il a transmis une invitation adressée au gouvernement de son pays pour la cérémonie d'investiture du président Joseph Kabila prévue le 20 décembre à Kinshasa, annonce un communiqué publié mardi à Bruxelles.

M. Reynders a estimé que les éventuels recours doivent être traités 'de manière équitable, impartiale et transparente',  exprimant l'espoir que toutes les forces politiques congolaises adopteront 'un comportement responsable'.

Selon le communiqué, la Belgique prend les autorités congolaises pour responsables de la sécurité de la population.

'Les forces de l'ordre doivent éviter tout abus en faisant recours à la force', prévient le gouvernement belge.

Pana 14/12/2011

Position OFFICIELLE des Etats-Unis concernant les pseudo-élections en R.D.C.




December 8, 2011

Dear Friend:




Thank you for sharing your thoughts with me. Many Americans have written to me about human rights around the world, and I appreciate your perspective.




The United States was founded on the principles of freedom and equality, and our history is marked with triumphs and struggles in fulfilling these timeless ideals. Our task is never finished, and protecting these core values is a shared obligation and a priority for my Administration. No nation should be silent in the fight against human rights violations. When innocents in places like Sudan, Kyrgyzstan, and the Democratic Republic of Congo are raped or murdered, it is a stain on our collective conscience. I am committed to reinvigorating America's leadership on a range of international human rights issues.



As the struggle for human rights continues around the world, we have witnessed an extraordinary change in the Middle East and North Africa. Country by country, people have risen up across this region to demand their basic human rights; too often, these calls for change have been answered by violence. The United States opposes the use of violence and repression against these men and women. Rather, we support a set of universal rights, including free speech, the freedom of peaceful assembly, freedom of religion, equality for men and women under the rule of law, and the right of people to choose their own leaders. We also support political and economic reform in the Middle East and North Africa that can meet the legitimate aspirations of ordinary people throughout the region. While change may not come easily, America will stand squarely on the side of those who are reaching for their rights, knowing their success will bring about a world that is more peaceful, more stable, and more just. 



As you may know, the United States has joined the United Nations Human Rights Council (HRC) and is working to make this body as effective as possible. My Administration will also advocate for human rights in other international settings. In our relations with other countries, the issue of human rights will continue to be raised as clearly, persistently, and effectively as possible. Among other things, we will continue to promote accountability for mass atrocities, respect for the rights of minorities and women, freedom of association and speech, and the freedom for people to live as they choose and love whom they chose. 



Our commitment to human rights is an essential element of American foreign policy and one of our best national security assets. Through it, we will help to shut down torture chambers, replace tyranny with good governance, and enlist free nations in the common cause of liberty. To learn more about my Administration's human rights agenda, please visitwww.HumanRights.gov or www.WhiteHouse.gov/CPo. Thank you, again, for writing.


Sincerely,

Barack Obama







REPONSE DU PRESIDENT BARCAK OBAMA AU MEMO DE LA COMMUNAUTE CONGOLAISE DES ETATS-UINS (C/O DR. GEORGE ALULA) (TRADUCTION BRUTE DE GOOGLE TRANSLATE - NON CORRIGE, MERCI) THE WHITE HOUSE - LA MAISON BLANCHE WASHINGTON 8 décembre 2011



Cher ami,




Merci de partager vos pensées avec moi. Beaucoup d'Américains m'ont écrit au sujet des droits humains dans le monde, et je comprends votre point de vue.



Les Etats-Unis ont été fondée sur les principes de liberté et d'égalité, et de notre histoire est marquée par des triomphes et des luttes dans l'accomplissement de ces idéaux intemporels. Notre tâche n'est jamais terminée, et de protéger ces valeurs fondamentales est une obligation commune et une priorité pour mon administration. Aucune nation ne doit se taire dans la lutte contre les violations des droits humains. Lorsque des innocents dans des endroits comme le Soudan, le Kirghizistan et la République démocratique du Congo sont violées ou assassinées, il est une tache sur notre conscience collective. Je suis déterminé à revigorer le leadership de l'Amérique sur une gamme de questions internationales relatives aux droits humains.



Comme la lutte pour les droits de l'homme continue à travers le monde, nous avons assisté à un changement extraordinaire dans le Moyen-Orient et Afrique du Nord. Pays par pays, les gens se sont levés dans cette région pour revendiquer leurs droits humains fondamentaux, trop souvent, ces appels au changement ont été répondu par la violence. Les Etats-Unis s'oppose à l'usage de la violence et de répression contre ces hommes et ces femmes. Au contraire, nous soutenons un ensemble de droits universels, y compris la liberté d'expression, la liberté de réunion pacifique, la liberté de religion, l'égalité des hommes et des femmes sous la règle de droit, et le droit des peuples à choisir leurs propres dirigeants. Nous soutenons également la réforme politique et économique au Moyen-Orient et Afrique du Nord qui peuvent répondre aux aspirations légitimes des gens ordinaires dans toute la région. Alors que le changement peut ne pas venir facilement, l'Amérique se tiendra carrément sur le côté de ceux qui arrivent pour leurs droits, sachant que leur réussite sera de créer un monde plus pacifique, plus stable et plus juste.



Comme vous le savez peut-être, les Etats-Unis a rejoint les Nations Unies Conseil des droits humains (CDH) et travaille à rendre ce corps aussi efficace que possible. Mon administration sera également plaider pour les droits humains dans d'autres contextes internationaux. Dans nos relations avec d'autres pays, la question des droits de l'homme continuent d'être soulevées aussi clairement, persistante, et aussi efficacement que possible. Entre autres choses, nous allons continuer à promouvoir la responsabilité pour les atrocités de masse, le respect des droits des minorités et des femmes, la liberté d'association et d'expression et la liberté aux gens de vivre comme ils le souhaitent et l'amour qu'ils ont choisi.



Notre engagement envers les droits humains est un élément essentiel de la politique étrangère américaine et l'un de nos meilleurs atouts de la sécurité nationale. Grâce à elle, nous allons aider à fermer les chambres de torture, de remplacer la tyrannie avec la bonne gouvernance, et de mobiliser les nations libres à la cause commune de la liberté. Pour en savoir plus sur mon humaines Administration agenda des droits, s'il vous plaît visitez www.HumanRights.gov ouwww.WhiteHouse.gov/CPO. Merci, encore une fois, pour votre correspondance.



Cordialement,


Barack Obama










Position OFFICIELLE des Etats-Unis concernant les pseudo-élections en R.D.C. 



The United States continues to follow closely the ongoing electoral process in the Democratic Republic of the Congo (DRC). We have taken note of recent statements issued by international and local observation missions that cite serious irregularities in the electoral process.

Based on the observations of the teams fielded by our Embassy in Kinshasa, the views shared with us by other diplomatic missions, and organizations such as The Carter Center, we believe that the management and technical execution of these elections were seriously flawed, lacked transparency and did not measure up to the democratic gains we have seen in recent African elections. It is not clear, however, whether the irregularities were sufficient to change the outcome of the election.

We encourage the relevant Congolese authorities to closely review these cited irregularities and proceed with maximum openness and transparency.

The United States continues to advocate that all Congolese political leaders and their supporters act responsibly, renounce violence, and resolve any disagreements through peaceful constructive dialogue and existing legal remedies. We believe that a rapid technical review of the electoral process by the Congolese authorities may determine ways to provide more credible results, shed light on whether irregularities were caused by lack of organization or fraud, and provide guidance for future elections. The United States stands ready to provide technical assistance for such a review.

The Government of the DRC remains responsible for providing security for the people of the Congo. Any persons who use violence or incite imminent violence to derail the democratic process must be held accountable.

The United States continues to stand with the Congolese people in their quest to advance peace and democracy in their country.

http://www.state.gov/r/pa/prs/ps/2011/12/178853.htm?mid=5531



Mundele azo talela nde bana ya kin. Soki ba telemi, ils lâcheront Kabila, sinon il sera maintenu.
Il suffit de 2 jours de manif po Kabila akende

CONFERENCE DE PRESSE UDPS


CONFERENCE DE PRESSE UDPS ...


UN JEUNE S'IMMOLE

                FLORIBERT CHEBEYA

et
                                            ARMAND TUNGULU

seront vengés. Ils ne sont pas morts pour rien.


La révolution tunisienne avait commencé par Mohamed Bouaziz, 26 ans, un vendeur ambulant qui s’etait immolé par le feu pour protester contre l’ injustice. 

Le nom du jeune congolais Erick restera surement dans les livres d’ histoire du Congo. Le jeune Erick s’ est immolé le vendredi à l’ annonce de la victoire de Kabila aux élections, résultats que beaucoup des jeunes contestent, car ne corresponds pas aux résultats sur les bureaux de vote. 

La colère du peuple congolais est devenue semblable à celui du peuple arabe, ceci doit un être un message clair aux occidentaux qui doivent essayer de faire respecter la vérité des urnes avant que les choses ne dégénèrent. 

Une cotisation spéciale a été lancé pour sauver la vie de ce jeune patriote, qui a fait preuve d’ un courage inimaginable. Pour envoyer vos cotisation vous pouvez utiliser la procédure de collecte de fonds congomikili au dessus ou encore la procédure de l’ UDPS par western union à ces 2 noms :
 Le S.G de l’ UDPS NOM: LOKOO SHABANI , tél :             00243998175386      ou 
la trésorière de l’ UDPS NOM: ANNIE MABOYA , tél :             00243815185788      .



Une polémique stérile



«Où va la République démocratique du Congo ? Va-t-on priver le Congolais de son droit constitutionnel à la liberté d’expression pour des considérations d’ordre sentimental ?», serait-on tenté de s’interroger à l’analyse des propos entendus sur la place publique. En effet, rien ne saurait justifier le refus de reconnaître à autrui le droit à la liberté d’expression. «Ce droit implique la liberté d’exprimer ses opinions ou ses convictions, notamment par la parole, l’écrit et l’image, sous réserve du respect de la loi, de l’ordre public et des bonnes mœurs», dispose l’article 23 de la Constitution. Bien plus, souligne l’article 22, «toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion». 

Dès lors, plus que la polémique, c’est sur le fond que devrait porter la réflexion de toutes les parties au processus électoral en cours (pouvoir organisateur des élections, acteurs politiques et Société civile). 

 S’agissant du «nombre de jours de vote», la Commission électorale nationale indépendante (CENI) avait affirmé le 10 novembre 2011 que «les élections se dérouleront le 28 novembre 2011, tel qu’arrêté par le calendrier de la CENI rendu public. Les bureaux seront ouverts à 6 heures pour être fermés à 17 heures». Plus précis, son président Daniel Ngoy Mulunda avait assuré le 24 novembre qu’«on va dépouiller et afficher les résultats là même, le soir. On va donner une copie aux témoins des partis. Tous les résultats, pour chaque bureau de vote, seront connus le soir des élections». Sur le terrain, des électeurs votaient encore le 1er décembre. 

Sur la question des «colis introuvables», les Congolais attendent de la CENI des explications plausibles, notamment au rapport de la CENI/Lubumbashi ayant signalé le 7 décembre que les résultats de 51 bureaux de vote sont «introuvables». La même situation est déplorée à Mbuji-Mayi, où sont également «introuvables» les procès verbaux comportant les résultats des élections de 130 bureaux de vote. «Ce chiffre représente 16% des bureaux de vote que compte la ville», a indiqué à Radio Okapi le secrétaire exécutif de la CENI/Mbuji-Mayi. 

 A propos des accusations de fraude, les deux camps politiques s’accordent. D’un côté, l’Opposition politique estime que la CENI s’est «disqualifiée» pour avoir violé la loi électorale (prolongation des élections du 28 novembre au-delà de la date prévue, non respect des procédures de la publication des résultats, non protection des matériels sensibles comme les bulletins de vote). De l’autre, la Majorité présidentielle, par la voix de ses candidats députés (PPRD, ADH, F.C, UNADEF), l’accuse d’avoir «favorisé la fraude» à Ubundu (Province Orientale) où, selon Radiookapi.net, «le chef de centre de vote d’Ongoka a été trouvé à 30 km du lieu de vote en train d’ouvrir les colis contenant des bulletins de vote». 

 Moralité. Les Congolais ont plus besoin de réponses précises aux questions posées qu’à une polémique stérile.

Pourquoi manifestent-ils à Matonge?


Entretien : T.Bo.
Mis en ligne le 13/12/2011
VIDEO L'avis de Jeannot Kabuya, porte-parole des “combattants”, militant blogueur sur le blog banamikili.
Jeannot Kabuya, pourquoi manifestez-vous si violemment dans le quartier d’Ixelles dit Matonge contre des résultats d’élections qui ont lieu au Congo ?
Parce que si Kabila est maintenu au pouvoir au Congo, c’est grâce au soutien de la communauté internationale. La Belgique y a une influence importante : c’est elle qui a mis le Congo à l’agenda européen et qui décide, officieusement, qui doit diriger le Congo. Aujourd’hui, elle soutient le pouvoir en place. Marie Arena qui déclare que les élections se sont correctement déroulées en est un exemple. La violence ? Toutes nos manifestations précédentes étaient calmes. Mais des provocations policières ont amené les débordements des jeunes ces derniers jours. Depuis, l’appel de Bea Diallo au dialogue a porté ses fruits. Maintenant allez voir les images sur mon blog, ce mouvement de contestation est devenu international et la diaspora congolaise manifeste aussi en Australie, en Afrique du Sud, au Danemark, aux Pays-Bas, au Canada, aux Etats-Unis
Est-ce l’UDPS, le parti de Tshisekedi, qui est derrière ?
Non, ce n’est pas la voix des pro-Tshisekedi, nous ne sommes pas membres de l’UDPS, nous nous appelons les "combattants". Classes sociales et tendances politiques mélangées, nous sommes la voix de tous les Congolais d’origine qui ne supportent plus de voir l’état dans lequel est le Congo aujourd’hui. Les élections étaient notre espoir. Mais les tricheries les ont transformées en un vrai hold-up électoral, dénoncé d’ailleurs par le Centre Carter sur place.
Que reprochez-vous au président Kabila ?
Il a trahi le peuple et les intérêts congolais. De nombreux étrangers dirigent (service de renseignements, police ) et pillent le pays alors que les Congolais sont maltraités à coup de menaces, vols, viols et assassinats. Les bénéfices des contrats industriels et de l’exploitation des ressources profitent aux étrangers et les habitants du Congo ne survivent que grâce à l’argent envoyé par la diaspora. Voilà pourquoi nous, qui sommes leur porte-voix, essayons de sensibiliser l’opinion publique occidentale trompée par les dirigeants belges et français qui veulent maintenir Kabila.
Pourquoi certains manifestants s’en prennent-ils aux médias occidentaux ?
Depuis l’assassinat à Kinshasa le 2 octobre 2010 du Bruxellois Armand Tungulu qui avait caillassé la voiture du président Kabila, les Congolais manifestent ici et dénoncent régulièrement les violations des droits de l’homme et la mauvaise gouvernance au Congo. Mais la presse belge s’en moque sauf s’il y a de la casse. Quand je dis la presse, c’est surtout les télés et radios francophones et particulièrement la RTBF, très complaisante avec le pouvoir Kabila. Heureusement qu’il y a les médias flamands pour enquêter au Congo et dénoncer les tueries.
Croyez-vous qu’à l’instar de la Tunisie, le peuple congolais va se soulever contre le pouvoir en place ?
Oui, c’est une question de jours. Tous les Congolais, du pays ou de la diaspora, veulent un changement. Aujourd’hui, il est incarné par Tshisekedi. C’est notre seule chance. Toutefois, à la différence de la Tunisie ou de la Libye, la communauté internationale continue à soutenir Kabila malgré les crimes contre son peuple. Aucun reproche ne lui est fait alors que l’armée occupe les villes après les élections. Selon mes informations, des mercenaires venus d’Angola, du Rwanda et d’Ouganda sont arrivés à Kinshasa. Qui va réagir ?
Tshisekedi a appelé au calme. En Belgique aussi ?
La diaspora congolaise se sent bafouée. Un peu à l’image des Palestiniens, elle pourrait commettre des actes désespérés pour se faire entendre et interpeller la communauté internationale.