Contrairement à ce que pensent les politicailleurs du ventre qui croient diriger la République démocratique du Congo par défi, la répression des chrétiens le 16 février 2012 et la profanation des lieux de culte ont prouvé à la face du monde que les Joséphistes ne craignent pas. Ils sont prêts à tout pour se maintenir au pouvoir par la force malgré leur hold-up électoral avéré. Sauf que le Congo appartient à tous les Congolais pas uniquement aux prédateurs, tricheurs et fraudeurs qui se gargarisent d'être au pouvoir. Et ce dernier mot appartient toujours au souverain primaire: Au peuple !