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SACREBOPOL

dimanche 10 avril 2016

‪#‎Kinshasa‬ ‪#‎RDC‬...La maison communale de Kalamu vendue à un privé. Les employés déguerpis par la police.

‪#‎Kinshasa‬ ‪#‎RDC‬...La maison communale de Kalamu vendue à un privé. Les employés déguerpis par la police.

Un jour, nous apprendrons que le bâtiment intelligent a été vendu.





Mes amis et mes amies, comme moi, vous avez aussi appris ce dossier rocambolesque du siège de la maison municipale de la commune de Kalamu qui a été vendu depuis les années 1980 à un particulier par un commissaire de zone (bourgmestre), Aujourd'hui, les agents de la commune sont déguerpis par une décision de justice. Pourtant, ce bâtiment a été construit depuis le Congo-Belge sur base d'un arrêté royal. Je suis déboussolé et ne comprends riens. Comment un agent de l'Etat peut-il vendre un patrimoine de l'Etat à un tiers? Nos magistrats disent-ils bien le droit? Comment ont-ils donné raison à cet homme sans scrupules qui a acheté un bien du peuple congolais. Ne nous étonnons donc pas si nous entendons demain qu'abusant de leurs pouvoirs, certains hommes forts ont vendu le Palais de la Nation, le Palais du peuple, le Batiment administratif, la Primature ou le stade des Martyrs. C'est trop drôle pour un pays. Et quand je pense que Claude BuseBotowamungu KalomeThierry Kyalumba Kabonga,Susie BakajikaPatient LigodiJacques KiniLarissa DiakanuaInnocent Olenga LumbaheeJean-Marie Nkambua, Amiral Tatu Jean Pierre, Laurent BuadiFranck Baku qui étaient au courant n'en ont jamais parlé. C'est le même problème avec le siège de la commune de Limete construit avec les contributions de notables sur conseil d'une femme chef de quartier. Aujourd'hui, la dame a gagné le procès en soutenant que cette parcelle et le bâtiment lui appartiennent. Nos magistrats viennent encore de lui donner raison. Ceux qui y travaillent au nom de l'Etat doivent être délogés. Je dirais comme Didi Mitovelli: "Ce pays n'a pas de chance...". La corruption a encore de beaux jours devant elle au pays de Kimpa Vita, de Lumumba et de Gizenga...


Donatien Ngandu Mupompa Le mal est profond et tout le système est gangréné. Ceux de ma génération comme Botowamungu KalomeJonas Eugène KotaBienvenu-Marie BakumanyaBruno KasongaGervais Tshim,Laurent Buadi et Franck Baku peuvent vous affirmer que même le monde de la presse n'est pas épargné. Tout le premier niveau de l'immeuble Moanda a été donné à la presse congolaise par le président Mobutu. Il y avait tout dans cette "Maison de la presse, un restaurant, un bar, une bibliothèque, une salle de réunions et des beaux bureaux. Les journalistes congolais et expatriés s'y rencontraient pour échanger et partager un pot. Curieusement, un certain comité directeur de l'UPC (Union de la presse congolaise) l'a vendu pour se retrouver au deuxième niveau dans des locaux exigus. Il y avait aussi un vaste terrain octroyé à la presse du côté de FUNA, et un comité directeur de l'UPC l'a vendu. Avec l'actuelle UNPC, certains se souviennent peut-être du cas de Kabeya Pindi Pasi qui a été démis de ses fonctions pour avoir détourné l'argent de la corporation. Je pense que les jeunes Patient LigodiJean Pierre KayembeInnocent Olenga LumbaheeJean-Marie NkambuaJean-Luc Mualu,Tchèques BukasaLarissa DiakanuaGratien Kitambala en ont eu vent.


Claude Buse Ces histoires de quelqu'un qui aurait vendu le Palais de marbre à un sénégalais ou de Nozy Mwamba qui aurait vendu un immeuble de l'état nous les racontions pour rire à l'époque. Ce régime a rendu cela possible. Le régime est trop faible





Donatien Ngandu Mupompa Mes Chers Thierry Kyalumba Kabonga,Jean Jean Samba, Larissa DiakanuaSamantha EkilaClaude BuseBienvenu-Marie BakumanyaSusie BakajikaEugenie Lifesse, la liste est trop longue sur la spoliation des biens de l'Etat en République démocratique du Congo. Vous comprenez maintenant pourquoi on tient au Dialogue pour retoucher la Constitution en vue d'arracher un troisième mandat ou arracher le glissement. Savez-vous que même l'Hôtel de Ville de Kinshasa, construit par les Belges à l'époque coloniale, appartiendrait à un individu qui l'avait acheté on sait chez qui. Mais lorsqu'un journaliste congolais aborde ces sujets, ce sujets, ce sont les droits de réponse ou la prison. Quand il est inattaquable en justice, on peut l'éliminer physiquement, lui qui vit dans la pauvreté. En passant, je vous signale que lorsque j'avais enquêté sur le Ciné Palladium, propriété de l'Etat spoliée au profit d'un particulier, j'ai été menacé. C'est un Grec qui avait manigancé avec certains hommes du pouvoir actuel pour antidater des documents d'achat. Aujourd'hui, c'est, c'est le banquier Kinduelo qui y érige un immeuble. En bref, nous avons des magistrats cupides et des avocats malhonnêtes dans notre pays. Je laisse Didi Mitovelli poursuivre les investigations, lui qui a collaboré à l'enquête de Panama Papers pourra lancer RDC Papers avec la collaboration de Ange Kasongo Adihe qui enquête déjà sur l'Hôpital du Cinquantenaire. La RDC possède ses journalistes d'investigation, mais qui ne sont pas libres pour mener à bon port leurs enquêtes. En plus, il leur manque la logistique et les moyens financiers qu'a la presse occidentale

Samantha Ekila Totala dossier ya hôpital ya 50tenaire malamu malamu... Ba teka yango epayi ya ba Indo-pakistanais te? Po mayi ya Kalamu ekoma ya ba Chinois...

Donatien Ngandu Mupompa Une précision à l'intention de Samantha Ekila, l'Hôpital du Cinquantenaire a été vendu aux Indiens, non aux Chinois.

Tiré de Faebook

La Belgique annule le titre de Docteur Honoris Causa proposé à Kabila










La Belgique annule le titre de 

Docteur Honoris Causa 

proposé à Kabila

Bruxelles- Belgique (PANA) -- Le ministre belge de la Défense, André Flahaut a reconnu "avoir commis une erreur politique", en proposant qu’un diplôme de Docteur Honoris causa soit décerné au président Joseph Kabila de la RD Congo, par l’Ecole royale militaire belge.
Dans une interview exclusive dans l'édition de mercredi du journal "La Libre Belgique", André Flahaut explique qu’il avait fait la proposition après concertation avec le Premier ministre, Guy Verhofstadt.
Selon le programme prévu, au cours de la cérémonie de remise du titre à Bruxelles, le président Joseph Kabila devait donner un cours aux étudiants de la prestigieuse académie royale militaire belge, "en qualité de professeur invité".
La nouvelle a provoqué l'ire des professeurs qui ont estimé que le président congolais ne mérite pas ce titre.
Certains membre du gouvernement parmi lesquels le ministre des Affaires étrangères, Karel de Gucht, ont montré leur irritation et ont fait pression sur le Premier ministre qui, en fin de compte, a demandé à son ministre de la Défense d’annuler le projet.
Dans l’interview à "La Libre Belgique", André Flahaut explique qu’il voulait remettre le titre au président Kabila en guise "de reconnaissance pour le chemin parcouru par le Congo depuis 2003".
Cette affaire a éclaté après l’annulation du projet d’une visite officielle du roi Albert II en RD Congo, au cours de laquelle, le souverain belge aurait dû présenter ses félicitations au président Kabila pour son élection à la magistrature suprême.
L’annulation de la visite royale a provoqué une grande déception du côté congolais.
Le gouvernement belge a décidé d’annuler la visite du roi Albert II en RD Congo, après les événements du 31 janvier et 1er février au Bas-Congo, où près de 140 fidèles d’un mouvement politico-religieux ont été tués par les forces de l’ordre, suite à une manifestation pour contester l’élection du gouverneur de cette province. 
14 mars 2007 16:50:00

Tom Perriello (USA): Le principal obstacle à la tenue des élections dans le délai, c’est le gouvernement



Tom Perriello (USA): Le principal obstacle à la tenue des élections dans le délai, c’est le gouvernement
























Alors qu’il vient de rencontrer Etienne Tshisekedi à Bruxelles, l’envoyé spécial des Etats-Unis dans les Grands Lacs, a pointé du doigt la responsabilité du gouvernement de la RDC dans le non-respect du délai constitutionnel. Il l’a dit au cours d’une interview accordée à RFI ce vendredi 8 avril 2016.
Constitutionnellement le mandat du président Kabila termine le 19 décembre 2016. S’il n’y a pas d’élection ou une façon de sortir de la situation actuelle, il s’agira d’une très grave crise constitutionnelle. Nous savons par ce que s’est passé au Burundi notamment que cela peut emmener à une grande instabilité. Nous sommes portés à croire que nous sommes face à une crise montée de toutes pièces parce que le pays s’est attelé à la tâche depuis deux ans et a jeté les bases de la démocratie. Il s’est également doté d’une constitution. Rien n’empêche la RDC de tenir ce qui peut être une transition pacifique et historique. Le principal obstacle est le gouvernement qui se refuse à faire le nécessaire pour aller dans ce sens. Tout porte à croire que ce glissement n’est pas fortuit, mais un choix délibéré, une stratégie à très haut risque dans un pays qui a pourtant déjà beaucoup fait au passé grâce aux efforts du président Kabila : de la guerre civile la plus sanglante de l’ère moderne à la stabilité. Tout cela pourrait être mis en péril pour des raisons tout à fait artificielles.
Il compare la situation de la RDC à celle du Burundi
Ce qu’on a vu dans le cas du Président Nkuruziza que lorsque d’un individu peu importe sa popularité enfreint la loi pour rester au pouvoir  il met en péril la stabilité et le progrès de son pays, auquel à mon avis il tient profondément. Nous devrions déjà être en train de parler du Burundi comme un exemple de réconciliation post-conflit. Nous devrions être parlés d’investissement et pas de sanction. Il en tenait qu’aux dirigeants d’écrire un nouveau chapitre de l’histoire du Burundi. C’est la même chose en RDC. Nous pourrions être en train de parler d’une étape historique pour un pays qui a enduré des graves souffrances, parmi les plus graves de notre époque. Le Président Kabila a entre ses mains plus que quiconque le pouvoir de faire de cette transition une réalité.
http://www.politico.cd/actualite/la-une/2016/04/09/tom-perriello-usa-principal-obstacle-a-tenue-elections-delai-cest-gouvernement.html 

« Créateur et créatures », le G7 répond à Mende


« Créateur et créatures », le G7 répond à Mende


















Au cours d’une conférence de presse tenue le samedi 9 avril 16, le G7 a réagi aux propos de Lambert Mende, ministre de la Communication et des médias, qui affirmait le weekend dernier que « le créateur ne peut pas avoir peur de ses créatures ». « Certaines personnes ont été créées par le Président de la République » avait-il dit au cours de l’émission Top Presse de la Radio Top Congo FM.
« Permettez que nous terminions sur un sujet plusieurs fois évoqué dans ce pays quant à l’existence d’un papa créateur face à ses créatures. De prime abord, reconnaissons que tous les êtres humains ont été créés par Dieu et par Lui seul. En ce qui concerne le G7, nous pensions que l’époque des créateurs et des créatures étaient depuis le 24 avril 1990 révolue en RD Congo. Et que chacun d’entre nous l’avait appris et compris. Il semble que non ! Dans tous les cas, s’il y en a qui continuent à croire qu’ils sont créatures de quelqu’un, et qu’ils le resteront toujours, au G7 nous ne sommes créatures de personne. Et nous ne souhaitons à ce sujet aucune polémique car nous en connaissons tous l’issue. »
http://www.politico.cd/actualite/la-une/2016/04/10/createur-creatures-g7-repond-a-mende.html