CONGOLAIS MECHANT
MECHANT....
Actualités politique, musicale, sportive et bien d'autres encore de la République démocratique du Congo en particulier et de l'Afrique/Moyen-Orient en général
lundi 3 décembre 2012
CONGOLAIS MECHANT MECHANT.... À LONDRES
« le M23 veut bénéficier de la légitimité de l’opposition »
Arthur Zaïdi Ngoma : « le M23 veut bénéficier de la légitimité de l’opposition »
L’ancien vice-président de la République pour le compte de l’opposition à l’époque de la formule 1+4, Arthur Zaidi Ngoma, accuse la rébellion du M23 de vouloir bénéficier de la légitimité et de l’aura de l’opposition pour se faire entendre.
Il regrette également que la RDC soit aujourd’hui humiliée, selon lui. L’ancien vice-président répond aux questions d’Innocent Olenga.
Le M23 exige des négociations dans les 24 heures
Le M23 exige des négociations dans les 24
heures
Le M23 a achevé de se retirer de Goma samedi, selon un accord convenu à Kampala, la capitale ougandaise, la semaine dernière.
http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20121202.FAP7375/rdc-le-m23-exige-des-negociations-dans-les-24-heures.html
Le Rwanda aurait facilité la prise de Goma par le M23 selon des experts de l'ONU
Un bataillon entier des FDR, soit entre huit cent et mille soldats, aurait été déployé dès la fin octobre sur les positions rebelles de Bukima et Tshengerero. Sept compagnies des FDR auraient par ailleurs appuyé les rebelles lors de la deuxième offensive sur Kibumba le 17 novembre.
http://www.rfi.fr/afrique/20121203-rdc-le-rwanda-aurait-facilite-prise-goma-le-m23-selon-experts-onu
Le M23 a achevé de se retirer de Goma samedi, selon un accord convenu à Kampala, la capitale ougandaise, la semaine dernière.
Les rebelles n'ont pas été
informés sur la date d'ouverture des négociations, a déclaré dimanche Bertrand
Bisimwa, porte-parole de la branche politique du M23. "Si les
négociations ne commencent pas demain à 14h, soit 48 heures après le retrait, et
que des attaques surviennent contre des civils à Goma, nous allons reprendre la
ville", a-t-il averti. "Nous savons que le président (Joseph) Kabila
n'est pas fiable, mais nous voulons donner une chance à nos amis."
Le Rwanda aurait facilité la prise de Goma par le M23 selon des experts de l'ONU
Un bataillon entier des FDR, soit entre huit cent et mille soldats, aurait été déployé dès la fin octobre sur les positions rebelles de Bukima et Tshengerero. Sept compagnies des FDR auraient par ailleurs appuyé les rebelles lors de la deuxième offensive sur Kibumba le 17 novembre.
Le M23 selon des photos publiées en annexe, aurait reçu des uniformes au camouflage et aux couleurs similaires à ceux des FDR, afin de permettre aux soldats rwandais d'être moins repérables, notamment lors de la prise de Goma. Le rapport fait aussi état de tirs d'artillerie, à partir du Rwanda, sur les positions des FARDC afin d'appuyer la progression du M23.
http://www.rfi.fr/afrique/20121203-rdc-le-rwanda-aurait-facilite-prise-goma-le-m23-selon-experts-onu
«Joseph Kabila» et ses féaux n’ont rien compris
«Joseph Kabila» et ses féaux n’ont rien compris
Le PPRD Aubin Minaku, président de l’Assemblée nationale
Les Congolais vivant au pays autant que ceux de l’étranger ont suivi avec consternation la rebuffade essuyée par un député de l’opposition de la part de ses collègues appartenant à la mouvance kabiliste dite «majorité présidentielle». Ceux-ci se sont opposés à l’initiative d’entendre, dans le cadre d’une interpellation, le Premier ministre Augustin Matata Ponyo sur l’évolution de la situation dans la Province du Nord Kivu. Une manière de permettre à l’opinion nationale de s’informer pleinement sur les véritables enjeux qui handicapent le retour de la «normalité» dans cette partie du Congo.
Fidèle à son image de chef d’Etat qui s’appuie sur un groupe de Congolais contre d’autres, «Joseph Kabila» a rencontré, jeudi 29 novembre, les députés nationaux appartenant aux groupes parlementaires de la «majorité présidentielle». Au centre des conversations, un seul sujet : l’évolution de la situation sécuritaire et humanitaire dans la ville de Goma et ses environs. En guise de "contribution", le président de chaque Groupe a formulé quelques «conseils». Etrange. La situation qui prévaut au Nord Kivu ne mérite-t-elle pas de faire l’objet d’une communication solennelle devant les deux Chambres du Parlement réunies en Congrès ?
«Joseph Kabila» et ses affidés n’ont donc rien compris. Ils n’ont pas compris que l’heure est grave. L’heure n’est plus aux petits conciliabules au sein de la majorité présidentielle ou dans le cadre de la «réunion inter institutionnelle». «Joseph Kabila» et ses fidèles se comportent comme si rien ne s’est passé dans ce pays. Alors que la crise qui secoue depuis le mois d’avril dernier la province du Kivu - avec comme couronnement, la prise de la ville de Goma par les rebelles du M23 - ménace l’unité physique du territoire national. Il y a donc urgence d’organiser d’un grand débat public. Les affaires publiques se traitent au grand jour.
Il s’agit désormais de déterminer les responsabilités en répondant à deux questions essentielles : Qui devait faire quoi ? Qui n’a pas fait ce qu’il devait faire ? Il s’agit d’en tirer les conséquences en sanctionnant sévèrement les responsables politiques et militaires qui ont failli à leur mission et contribué à l’humiliation de la nation toute entière.
Les auditeurs de la RTBF-radio ayant suivi, mercredi 28 novembre, le ministre congolais de la Communication, Lambert Mende Omalanga, ont retrouvé le même homme dont les propos provoquent l’urticaire du fait de l’arrogance autant que de la betîse qui s’en dégagent. Mende semble n’avoir pas compris qu’il fait partie d’un gouvernement défaillant, inapte à assumer les missions régaliennes de l’Etat. A savoir : la défense du territoire national et le maintien de l’ordre. Mende a tenté, sans convaincre, de justifier ce fiasco en invoquant une prétendue «jeunesse» de l’Etat congolais. Pour lui, c’est encore cette «jeunesse» qui explique l’incapacité des gouvernants à rencontrer les attentes de la population en termes d’amélioration de la qualité de vie, de démocratie et de respect des droits humains. «Ce sont des critiques que nous recevons chaque jour, a dit Mende. Nous ne sommes pas parfaits. Nous sommes un pays jeune». C’est trop facile. Peut-on décemment parler de "pays jeune" après 52 années d’existence en tant qu’Etat ?
Depuis le 20 décembre 2011, date à laquelle «Joseph Kabila» a inauguré son mandat actuel – un mandat risqué - à la suite d’un scrutin souillé par la tricherie et la fraude, tous les signes montrent que l’homme a amorcé une sorte de descente aux enfers. Vomi par une population déçue par des promesses mensongères, «Joseph» bat de records d’impopularité. La défaite des candidats, étiquetés «majorité présidentielle», lors de l’élection du gouverneur de province au Bas-Congo et dans la Province Orientale en témoigne. Les postulants ont été soutenus personnellement par «Joseph Kabila» qui a fait le déplacement à Matadi et à Kisangani. Après la prise de la ville de Goma par les rebelles du M23, des protestataires à Kisangani et à Bunia se sont attaqués aux symboles du pouvoir. C’est le cas notamment du siège du parti présidentiel «PPRD». Par ailleurs, des partis et des personnalités politiques ne cessent d’appeler à la démission de
«Joseph Kabila». Ce sont des signes du temps.
Au lendemain de la fin de la première «Guerre du Shaba» en 1977, le président Mobutu Sese Seko avait pris une série de mesures pour «libéraliser» son régime. Il avait instauré notamment le poste de Premier commissaire d’Etat et mis fin à l’endossement des candidatures des commissaires du peuple (députés) par le parti-Etat. Le naturel revenant au galop, le «Grand Léopard» n’a pas trouvé mieux que de verrouiller les espaces de liberté en interdisant les interpellations des membres du gouvernement et autres responsables politico-administratifs. L’objectif était clair : étouffer les voix dissonantes au sein de ce qui s’appelait à l’époque le «Conseil législatif». Cette erreur politique constitue sans aucun doute le ferment qui a permis l’éclosion d’une «opposition radicale» au régime. Une opposition qui va s’illustrer par deux faits majeurs : la rédaction en novembre 1980 de la célèbre « Lettre ouverte des 13 députés » et par la création, en 1982, de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS). Les mêmes causes produisent les mêmes effets.
Comparaison n’est certes pas raison. Reste que «Joseph Kabila» et ses partisans seraient très mal inspirés de considérer le coup de semonce venu de Goma comme un simple feu de paille. Un épiphénomène. Le retrait des rebelles du M23 du chef-lieu du Nord Kivu ne signifie nullement le retour de la normalité. Rien n’est réglé. A preuve, les insurgés contrôlent encore plusieurs localités du Nord Kivu.
Le Congo-Kinshasa a besoin d’un véritablement traitement de choc pour «guérir» les Citoyens d’une «maladie» qui tient en quatre mots : la crise de confiance. Un mur de méfiance s’est érigé entre la population et les gouvernants. Cette situation va perdurer aussi longtemps que les véritables responsables de la débâcle des Forces armées congolaises à Goma ne seront identifiés et sanctionnés...
Fidèle à son image de chef d’Etat qui s’appuie sur un groupe de Congolais contre d’autres, «Joseph Kabila» a rencontré, jeudi 29 novembre, les députés nationaux appartenant aux groupes parlementaires de la «majorité présidentielle». Au centre des conversations, un seul sujet : l’évolution de la situation sécuritaire et humanitaire dans la ville de Goma et ses environs. En guise de "contribution", le président de chaque Groupe a formulé quelques «conseils». Etrange. La situation qui prévaut au Nord Kivu ne mérite-t-elle pas de faire l’objet d’une communication solennelle devant les deux Chambres du Parlement réunies en Congrès ?
«Joseph Kabila» et ses affidés n’ont donc rien compris. Ils n’ont pas compris que l’heure est grave. L’heure n’est plus aux petits conciliabules au sein de la majorité présidentielle ou dans le cadre de la «réunion inter institutionnelle». «Joseph Kabila» et ses fidèles se comportent comme si rien ne s’est passé dans ce pays. Alors que la crise qui secoue depuis le mois d’avril dernier la province du Kivu - avec comme couronnement, la prise de la ville de Goma par les rebelles du M23 - ménace l’unité physique du territoire national. Il y a donc urgence d’organiser d’un grand débat public. Les affaires publiques se traitent au grand jour.
Il s’agit désormais de déterminer les responsabilités en répondant à deux questions essentielles : Qui devait faire quoi ? Qui n’a pas fait ce qu’il devait faire ? Il s’agit d’en tirer les conséquences en sanctionnant sévèrement les responsables politiques et militaires qui ont failli à leur mission et contribué à l’humiliation de la nation toute entière.
Les auditeurs de la RTBF-radio ayant suivi, mercredi 28 novembre, le ministre congolais de la Communication, Lambert Mende Omalanga, ont retrouvé le même homme dont les propos provoquent l’urticaire du fait de l’arrogance autant que de la betîse qui s’en dégagent. Mende semble n’avoir pas compris qu’il fait partie d’un gouvernement défaillant, inapte à assumer les missions régaliennes de l’Etat. A savoir : la défense du territoire national et le maintien de l’ordre. Mende a tenté, sans convaincre, de justifier ce fiasco en invoquant une prétendue «jeunesse» de l’Etat congolais. Pour lui, c’est encore cette «jeunesse» qui explique l’incapacité des gouvernants à rencontrer les attentes de la population en termes d’amélioration de la qualité de vie, de démocratie et de respect des droits humains. «Ce sont des critiques que nous recevons chaque jour, a dit Mende. Nous ne sommes pas parfaits. Nous sommes un pays jeune». C’est trop facile. Peut-on décemment parler de "pays jeune" après 52 années d’existence en tant qu’Etat ?
Depuis le 20 décembre 2011, date à laquelle «Joseph Kabila» a inauguré son mandat actuel – un mandat risqué - à la suite d’un scrutin souillé par la tricherie et la fraude, tous les signes montrent que l’homme a amorcé une sorte de descente aux enfers. Vomi par une population déçue par des promesses mensongères, «Joseph» bat de records d’impopularité. La défaite des candidats, étiquetés «majorité présidentielle», lors de l’élection du gouverneur de province au Bas-Congo et dans la Province Orientale en témoigne. Les postulants ont été soutenus personnellement par «Joseph Kabila» qui a fait le déplacement à Matadi et à Kisangani. Après la prise de la ville de Goma par les rebelles du M23, des protestataires à Kisangani et à Bunia se sont attaqués aux symboles du pouvoir. C’est le cas notamment du siège du parti présidentiel «PPRD». Par ailleurs, des partis et des personnalités politiques ne cessent d’appeler à la démission de
«Joseph Kabila». Ce sont des signes du temps.
Au lendemain de la fin de la première «Guerre du Shaba» en 1977, le président Mobutu Sese Seko avait pris une série de mesures pour «libéraliser» son régime. Il avait instauré notamment le poste de Premier commissaire d’Etat et mis fin à l’endossement des candidatures des commissaires du peuple (députés) par le parti-Etat. Le naturel revenant au galop, le «Grand Léopard» n’a pas trouvé mieux que de verrouiller les espaces de liberté en interdisant les interpellations des membres du gouvernement et autres responsables politico-administratifs. L’objectif était clair : étouffer les voix dissonantes au sein de ce qui s’appelait à l’époque le «Conseil législatif». Cette erreur politique constitue sans aucun doute le ferment qui a permis l’éclosion d’une «opposition radicale» au régime. Une opposition qui va s’illustrer par deux faits majeurs : la rédaction en novembre 1980 de la célèbre « Lettre ouverte des 13 députés » et par la création, en 1982, de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS). Les mêmes causes produisent les mêmes effets.
Comparaison n’est certes pas raison. Reste que «Joseph Kabila» et ses partisans seraient très mal inspirés de considérer le coup de semonce venu de Goma comme un simple feu de paille. Un épiphénomène. Le retrait des rebelles du M23 du chef-lieu du Nord Kivu ne signifie nullement le retour de la normalité. Rien n’est réglé. A preuve, les insurgés contrôlent encore plusieurs localités du Nord Kivu.
Le Congo-Kinshasa a besoin d’un véritablement traitement de choc pour «guérir» les Citoyens d’une «maladie» qui tient en quatre mots : la crise de confiance. Un mur de méfiance s’est érigé entre la population et les gouvernants. Cette situation va perdurer aussi longtemps que les véritables responsables de la débâcle des Forces armées congolaises à Goma ne seront identifiés et sanctionnés...
Baudouin Amba Wetshi
© Congoindépendant 2003-2012
l'armée régulière congolaise de retour à Goma
L'armée de République démocratique du Congo (RDC) est revenue lundi à Goma, principale ville de l'est du pays, deux jours après un repli des rebelles du M23 qui attendent désormais l'ouverture de négociations avec le régime de Kinshasa.
Un bataillon de l'armée régulière (FARDC) est entré dans la capitale de la riche province minière du Nord-Kivu en milieu d'après-midi, a constaté une journaliste de l'AFP. Il s'est immédiatement dirigé vers le camp militaire de Katindo, un quartier de la ville.
Depuis dimanche, ces FARDC attendaient à une trentaine de km, dans la ville de Sake, un feu vert pour se redéployer à Goma. Les autorités congolaises ont expliqué le temps mis à concrétiser les choses par la lourdeur logistique d'un tel retour.
Lundi, le flou régnait en revanche toujours sur les délicates négociations prévues entre Kinshasa et les rebelles, promises en échange du repli du M23 : aucune date n'était encore donnée pour leur lancement.
L'incertitude planait aussi sur les personnes qui y participeront, même si la présence directe du président de RDC Joseph Kabila, affaibli par cette crise, semblait à ce stade exclue.
Présent lundi à Goma, le ministre congolais de l'Intérieur, Richard Muyej Mangez, a indiqué à l'AFP que les discussions pourraient commencer, a priori dans la capitale ougandaise Kampala, "dans les prochains jours". "L'équipe de dialogue est déjà constituée," a-t-il assuré, sans en donner la composition.
Le ministre a cependant souligné qu'il fallait que le M23 respecte lui-même pleinement son engagement de se retirer à au moins 20 km de Goma, ce qui n'est pas encore le cas.
Lundi encore, des combattants rebelles patrouillaient sur la route au nord de Goma, et d'autres gardaient des positions sur une colline stratégique surplombant une base militaire de la Mission des Nations unies au Congo (Monusco), à trois kilomètres de l'aéroport de la ville.
"Vous ne pouvez vous retirer que par étapes, c'est ainsi que les choses se font", a fait valoir un commandant rebelle, Antoine Manzi.
"Nous sommes totalement satisfaits de la mise en oeuvre de l'accord à ce jour", a estimé pour sa part le chef d'état major ougandais, Aronda Nyakairima, à l'issue d'une réunion avec ses homologues de RDC et du Rwanda à Goma.
M23 "infiltrés"
Les autorités administratives, qui avaient aussi fui l'avancée des rebelles, commençaient elles aussi à revenir, notamment le maire de Goma et le gouverneur du Nord-Kivu.
Mais malgré le retour ces derniers jours de centaines de policiers, et des patrouilles régulières de la Monusco, la sécurité reste précaire à Goma, de l'aveu du maire, Naason Kubuya.
Les accusations de pillages se sont multipliées récemmment contre les rebelles du M23 à Goma. Bâtiments et biens publics auraient été en particulier visés.
Mais l'armée régulière est elle-même régulièrement accusée de vols et autres exactions contre la population du Nord-Kivu. Lundi, le porte-parole du gouvernement de RDC, Lambert Mende, a lui-même expliqué que le retour des soldats loyalistes avait pris du temps parce qu'il fallait "préparer" leur arrivée pour "qu'ils n'aillent pas chaparder à gauche, à droite."
Le maire a également accusé des éléments du M23 d'être restés à Goma, qu'ils "infiltrent" selon lui avec pour mission de la déstabiliser et "montrer que le gouvernement n'est pas efficace pour restaurer la sécurité".
La vie reprenait cependant son cours à Goma. Ecoles, commerces et administrations ont redémarré. Seules les banques étaient encore fermées, perpétuant la crise de liquidité qui frappe les habitant depuis presque deux semaines.
Les rebelles du M23 combattent l'armée régulière de RDC depuis environ huit mois dans le Nord-Kivu. Ils avaient pris Goma le 20 novembre et, dans la foulée, ses environs.
Le M23 est composé d'ex-rebelles qui avaient intégré l'armée de RDC après la signature d'un accord de paix avec Kinshasa le 23 mars 2009. Ses hommes se sont mutinés il y a environ huit mois, estimant que les autorités congolaises n'avaient jamais pleinement respecté leurs engagements.
Les mutins, essentiellement des Tutsi congolais, refusent notamment toute mutation hors de leur région du Kivu afin, disent-ils, de protéger leurs familles et les membres de leur communauté qu'ils estiment en danger.
Leurs revendications sont aussi politiques, les rebelles allant jusqu'à remettre en question la légitimité du président Kabila. L'ONU et Kinshasa accusent le Rwanda et dans une moindre mesure l'Ouganda de soutenir le M23, ce que ces deux pays démentent.
GRÈVE DE LA FAIM
Une avant-première en Europe !
Encourageons et soutenons nos frères et soeurs
qui ont entamé une grève de la faim qui devait se dérouler devant l'assemblée
nationale ce Samedi 1er Décembre 2012,qui malgré les autorisations en règles y
ont été délogés surement par peur des responsabilités qui peuvent découler d'un
tel acte...chacun d'entre nous peut passer quelques minutes par jour qui d'un
mot de réconfort,qui par solidarité dés que nous saurons exactement le lieu où
continuera cette action !
Nous connaissons l'hypocrisie occidentale et ne sommes absolument pas dupes quant aux intérêts faramineux qui poussent les occidentaux à se désintéresser du mal congolais,mais après tout,qui ne tente rien n'a rien n'est-ce pas?
Seulement notre message doit être un message de fermeté,nous ne mendions pas,nous ne demandons pas assistance,nous dénonçons et exigeons le respect des droits des congolais ainsi que la reconnaissance de notre souveraineté! Ingetaaaaaaaaaaaa YYMM
SVP SOUTENONS NOS FRERES !!!!!!!!
La seconde nuit de la grève de la faim pour le Congo... Nous sommes toujours dirigé par la volonté de dénoncer le silence de la communauté internationale face au drame que connait la RDC. dehors dans le froid mais nous sommes portés par votre soutien, vos prières, le sang de nos martyrs et l'esprit de notre terre sacrée.
Ba ndeko na ngai, to ndima que libération ya Congo eza na maboko na biso bana na yé.
3 décembre, 1 heure du matin Les grévistes viennent d'être honorés de la visite de CADDY ADZUBA élue femme de l'année 2012 en Italie. Elle a tenu à réserver sa première sortie au sacré-coeur pour réconforter personnellement les combattants qui font grève de la faim afin que justice soit faite aux victimes et aux 6.000.000 de morts officiellement confirmés par le rapport mapping des Nations-unies.
Nous connaissons l'hypocrisie occidentale et ne sommes absolument pas dupes quant aux intérêts faramineux qui poussent les occidentaux à se désintéresser du mal congolais,mais après tout,qui ne tente rien n'a rien n'est-ce pas?
Seulement notre message doit être un message de fermeté,nous ne mendions pas,nous ne demandons pas assistance,nous dénonçons et exigeons le respect des droits des congolais ainsi que la reconnaissance de notre souveraineté! Ingetaaaaaaaaaaaa YYMM
SVP SOUTENONS NOS FRERES !!!!!!!!
La seconde nuit de la grève de la faim pour le Congo... Nous sommes toujours dirigé par la volonté de dénoncer le silence de la communauté internationale face au drame que connait la RDC. dehors dans le froid mais nous sommes portés par votre soutien, vos prières, le sang de nos martyrs et l'esprit de notre terre sacrée.
Ba ndeko na ngai, to ndima que libération ya Congo eza na maboko na biso bana na yé.
3 décembre, 1 heure du matin Les grévistes viennent d'être honorés de la visite de CADDY ADZUBA élue femme de l'année 2012 en Italie. Elle a tenu à réserver sa première sortie au sacré-coeur pour réconforter personnellement les combattants qui font grève de la faim afin que justice soit faite aux victimes et aux 6.000.000 de morts officiellement confirmés par le rapport mapping des Nations-unies.
Les combattants “grévistes de la faim” chassés par la police
Nous vous avions annoncé dernièrement que les combattants congolais avaient décidé à compter de ce samedi 1er décembre d’entamer une grève de la faim devant l’assemblée nationale française. Malheureusement cette tentative de grève de la faim n’a pas eu lieu. En effet, les policiers français ont chassé les grévistes devant le parvis de l’assemblée nationale en les accompagnant jusqu’au quai du métro pour s’assurer de leur départ de ce lieu symbolique de l’état français.
Selon nos dernières informations, ces combattants qui ont volontairement choisi par amour patriotique de faire grève de la faim se sont réfugiés à l’église Saint Bernard dans le 18ème arrondissement de Paris.
Nous vous proposons de suivre les images amateurs qui nous ont été envoyées par l’un des combattants qui était sur place sur le lieu prévu pour cette grève de la faim de ce samedi 1er décembre à Paris.
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