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SACREBOPOL

lundi 4 mai 2015

Guerre de leadership à l’opposition républicaine entre Kengo, Kamanda et Idambituo





















Depuis la déclaration politique faite à Kinshasa le lundi 19 avril courant par Jean Baudouin Idambituo Bakaato et Me Gérard Kamanda wa Kamanda, au nom de l’opposition républicaine (OR), exigeant de la vérité sur la fosse commune de Maluku, cette plate forme politique est secouée par une guerre de leadership entre Léon Kengo, Me Kamanda et Jean Baudouin Idambituo.
Dans une déclaration faite au nom de l’OR, Michel Bongongo fustige la position prise par Kamanda wa Kamanda et Idambituo sur le charnier de Maluku. Ces deux personnalités estiment qu’elles n’ont pas de compte à rendre à Kengo, surtout que ce dernier n’est pas investi de pouvoir pour parler au nom de l’opposition républicaine.
« Malgré tout le respect dû à sa personne, nous ne dépendons pas de Monsieur Léon Kengo. Il n’est investit d’aucun pouvoir qui lui permette de parler au nom de la plate-forme opposition républicaine, il n’a aucune autorité sur celle-ci », signalent les deux hommes.
Après la mise sur pied du gouvernement dit de « cohésion nationale », les partis politiques sociétaires de l’OR avaient pris leurs distances avec Kengo, l’accusant de privilégier ses proches nommés membres de l’équipe Matata II.
Pour Kamanda et Idambituo, ceux qui sont dans l’équipe Matata comme Michel Bongongo, Matadi Nenga, Mpeti… ne représentent pas l’opposition républicaine, mais plutôt l’ordre républicain, dont Kengo est l’autorité morale.
Le groupe de Gérard Kamanda et Jean Baudouin Idambituo se demande pourquoi Léon Kengo fustige leur déclaration exigeant la mise sur pied d’une commission d’enquête indépendante et crédible pour faire la lumière sur la fosse commune de Maluku.
« En quoi parler de la fosse commune gène-t- il Léon Kengo ? En quoi proposer une enquête neutre sur la fosse commune de Maluku embarrasse-t-il Monsieur Kengo ? », s’interrogent Kamanda et Idambituo.
A travers leur document transmis à la presse, Kamanda et Idambituo mettent fin à la confusion entre l’ordre républicain, dont les membres sont au gouvernement et la plate-forme opposition républicaine, qui elle entend mener une opposition responsable.
Par Godé Kalonji Mukendi
http://7sur7.cd/new/guerre-de-leadership-a-lopposition-republicaine-entre-kengo-kamanda-et-idambituo/

Communiqué de presse de la VSV : Démocratie en Afrique :


Le comportement du président du Nigeria, un bel exemple à suivre pour la consolidation de la démocratie et l’avènement de l’Etat de droit.


Muhammadu Buhari, le nouveau président nigerian

La Voix des Sans Voix pour les Droits de l’Homme (VSV) salue le déroulement apaisé des élections au Nigéria en général et en particulier le comportement du Président sortant, monsieur Goodluck Jonathan qui vient de donner l’exemple de l’élégance démocratique en acceptant sportivement non seulement sa défaite à l’élection présidentielle, mais également et surtout d’avoir pris l’initiative d’appeler et de féliciter le Président élu , monsieur Muhammadu Buhari pour sa victoire à l’élection présidentielle organisée samedi 28 et dimanche 29 mars 2015.

Au-delà de tout ce que d’aucuns reprochent au Président Goodluck Jonathan dans la gouvernance du Nigéria et notamment son incapacité à faire face aux troupes de Boko Haram qui tuent, massacrent , enlèvent des personnes dont plus de deux cents filles élèves adolescentes en avril 2014, incendient des villages et des maisons,… l’acceptation rapide et élégante de sa défaite à l’élection présidentielle ne constitue pas moins une avancée importante visant à contribuer à la consolidation de la démocratie en Afrique. En effet, par son geste, le Président Goodluck Jonathan a épargné les Nigérians des violations massives des droits humains résultant souvent, en Afrique, des contestations des résultats électoraux parfois non fondées, mais motivées par les intérêts personnels et égoïstes des dirigeants au pouvoir.

Point n’est besoin de rappeler que dans de nombreux pays africains, des milliers de personnes ont perdu leurs vies à la suite des violences consécutives à la mauvaise organisation des élections et à la volonté des dirigeants accrochés mordicus au pouvoir de ne pas accepter l’alternance politique, pourtant un principe cardinal en démocratie.

En RDCongo par exemple, les élections chaotiques de novembre 2011 ont été à la base des violations massives des droits humains dont les auteurs demeurent impunis jusqu’à ce jour. Des dizaines de personnes ont été tuées à balles réelles, des centaines d’autres personnes ont fait l’objet d’arrestations arbitraires, de détentions illégales, d’enlèvements, de torture, etc.

Au Nigéria, les contestations électorales en 2011 ont été à la base des centaines de morts et bien d’autres atteintes et violations massives des droits humains.

Le comportement on ne peut plus démocratique du Président Goodluck Jonathan prouve à suffisance qu’il y a effectivement une vie après le palais (présidentiel) et qu’on n’organise pas les élections pour les gagner coûte que coûte mais en ayant présent à l’esprit qu’on peut aussi les perdre, au cours des scrutins libres, démocratiques et transparents.

En définitive, la VSV en appelle à tous les dirigeants africains en général et aux Chefs d’Etat en particulier, à tirer les bonnes leçons de l’élection présidentielle au Nigéria et à comprendre la nécessité et l’importance de ne pas s’accrocher au pouvoir en cherchant contre vents et marrais à multiplier le nombre de mandats, même quand ils sont conscients de ne plus jouir de la légitimité auprès de la population, l’incontournable souverain primaire.

Fait à Kinshasa, le 01 avril 2015.
LA VOIX DES SANS VOIX POUR LES DROITS DE L’HOMME (VSV)
© Congoindépendant 2003-2015

http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=9821

RDC-Provinciales: Henri Lokondo invite la Ceni «à l’écoute des autres»

RDC-Provinciales: Henri Lokondo invite la Ceni «à l’écoute des autres»
 
 
L’opération de dépôt des candidatures pour les provinciales a été prolongée jusqu’au 25 mai sur toute l’étendue de la République démocratique du Congo (RDC). Elle devrait prendre fin le mardi 5 mai. À en croire la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), cette dérogation n’aura aucune incidence majeure sur le chronogramme global des élections. Intervenant dimanche 3 mai sur Radio Okapi, le député de la Majorité présidentielle, Henri-Thomas Lokondo pense que la Ceni tire là les conséquences de sa conviction d’évoluer en vase clos. Il invite cette institution citoyenne à l’écoute des autres. De son côté, le député Clément Kanku de l’opposition estime que ce calendrier devrait tenir compte des contre-propositions en vue d’avoir « de meilleures élections au pays».

«Le report du dépôt de candidature par la Ceni est justement le commencement de la vérité sur certains aspects irréalistes de ce calendrier global», a affirmé Henri-Thomas Lokondo. Pourtant, a-t-il rappelé, «il n’y a pas trois semaines, le président de la Ceni, l’abbé Apollinaire Malumalu, avait dit que rien ne changera de façon péremptoire, qu’on n’allait même pas bouger une virgule de ce calendrier global».
Selon Henri-Thomas Lokondo, les acteurs de la Ceni « considèrent que ce n’est pas réaliste d’avoir des dates aussi trop serrées comme ça ».
Il a dit se réjouir de ce «qu’ils reviennent à la raison », soulignant que «le peuple reste source d’inspiration et objet de réalisation».
Pour le député de la MP, la Ceni doit être perméable aux conseils des structures, des partis politiques, de la société civile et des institutions de l’Etat.




«Et ça ce n’est qu’un début ! Mais, nous allons arriver à des blocages, comme nous ne cessons de le dire, face aux problèmes financiers graves que le gouvernement aura beaucoup de difficultés pour réaliser », a-t-il conclu.

Tenir compte des contre-propositions

Du côté de l’opposition, ce report de l’opération de dépôt des candidatures pour les provinciales prouvent que la Ceni devrait finalement « jeter un coup d’œil dans [la] proposition de calendrier [faite par les opposants]», a déclaré le député Clément Kanku.
Selon lui, la finalité est d’avoir de meilleures élections en RDC.
«La Ceni ferait vraiment œuvre utile de tenir compte des contre-propositions faites par l’opposition. Nous avons rappelé à la Ceni que le calendrier, tel que proposé, est un calendrier qui était sujet à une très forte compression et que cela pouvait nous amener malheureusement à un glissement », a affirmé Clément Kanku.
Il estime que la Ceni semble dire maintenant qu’elle tient compte des observations des uns et des autres.
«Je pense qu’il n’est pas tard pour bien faire. La Ceni aujourd’hui peut se remettre en cause et dire que bon ! voilà, Des propositions [ont été faites] par certaines formations politiques, par la société civile et pourquoi pas aller voir s’il y a du bon à prendre là-dedans pour favoriser un processus électoral qui pourrait rassurer tout le monde », a déclaré le député de l’opposition, qui reste convaincu que pareille démarche serait dans «l’intérêt de tous»."

PAR SON ENVOYE INTERPOSE


KABILA CONSULTE L’UDPS, L’UNC, LE MLC ...


 



Serions-nous au seuil de grandes manœuvres politiques ? En ce début mai, la question vaut son pesant d’or. Tant la ville haute charrie des nouvelles faisant état des contacts politiques souterrains. Samedi dernier, le missi dominici du Raïs, Kalev Mutond, a été signalé à Limete au siège de l’UDPS d’Etienne Tshisekedi. Ce même émissaire a été annoncé à l’UNC de Vital Kamerhe et au MLC de Jean-Pierre Bemba.

Bien que très peu de chose ait fuité de ces contacts, toutes les sources concordantes avancent que ces concertations rentrent dans le cadre de la décrispation eu égard à la période que traverse le pays. Il n’aura échappé à personne que d’un point de vue parlementaire comme d’un point de vue représentativité sur le terrain, l’UDPS d’Etienne Tshisekedi est une force que personne ne peut ignorer.

Qu’on l’aime ou qu’on ne l’aime pas, Etienne Tshisekedi reste le plus grand leader de l’Opposition. Il en est de même pour son parti Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS). Les dernières élections du 28 novembre 2011 le confirment si bien. Candidat à la présidentielle, Etienne Tshisekedi a été proclamé deuxième sur un total de onze candidats en lice. L’homme pèse des millions des voix. Et donc on ne peut pas feindre de l’ignorer. Pas moins meilleur que son Udps qui, à l’issue des législatives, a aligné plus de quarante députés nationaux. A ce titre, le parti d’Etienne Tshisekedi est donc la première formation politique de l’Opposition ayant le plus grand nombre d’élus. Et, de manière générale, l’Udps occupe une position confortable de 2ème place, après le parti présidentiel, Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD). 

Maintenant que la République Démocratique du Congo négocie un virage important de son histoire avec les élections qui pointent à l’horizon, les concertations entre forces sociales et politiques ne sont pas inutiles. Outre l’UDPS, l’Union pour la nation congolaise (UNC) de Vital Kamerhe et le Mouvement de libération du Congo (MLC) de Jean-Pierre Bemba sont également consultés. 

L’UNC de Vital Kamerhe n’est pas une quantité négligeable sur la politique congolaise. Aux dernières élections de 2011, Kamerhe s’est hissé à la troisième place, juste derrière Etienne Tshisekedi. Au parlement, l’Union pour la nation congolaise compte une bonne dizaine d’élus. C’est dire qu’il faut compter avec ce parti dans le paysage politique congolais. 


Malgré le départ du parti de plusieurs cadres, le MLC de Jean-Pierre Bemba Gombo ne reste pas moins une force sur la scène politique congolaise. C’est une formation politique capable de mobiliser. La silhouette de l’Envoyé spécial du chef de l’Etat est un signe que ce parti peut toujours avoir son mot dans les affaires du pays. Bien que détenu à la CPI, Jean-Pierre Bemba a toujours des millions de Congolais qui croient en lui. Aux élections de 2006, il était arrivé deuxième avec plus de 40%. Pas étonnant que son parti soit dans le gotha que le missi dominici du Raïs consulte.


Que vont donner ces concertations ? Sur quoi ça va déboucher ? C’est encore trop tôt de le dire. Une chose est cependant sûre, si cette dynamique se consolidait, le paysage politique congolais devrait changer. Il n’est pas exclu que ces échanges balisent la voie à des rencontres Kabila-Tshisekedi, Kabila-Kamerhe pour in fine déboucher sur le dialogue."


Le dialogue, pour quelle finalité ?



Le dialogue, pour quelle finalité ?


(Le Potentiel Online 04/05/15)


L’idée d’un dialogue politique émerge dans différents états-majors. Dans les rangs du pouvoir, des contacts ont été engagés avec certains poids lourds de la scène politique congolaise. Pour les dissuader, sans doute, à adhérer à cette initiative. Des partis tels que l’UDPS d’Etienne Tshisekedi, le MLC de Jean-Pierre Bemba et l’UNC de Vital Kamerhe ont été approchés en haut lieu. Si le décor se met en place pour un probable dialogue politique, son opportunité fait débat de part et d’autre. Quel en est sera donc la finalité ? La question est sur toutes les lèvres.

Le processus électoral avance à petits pas. Les élections provinciales sont déjà programmées pour le mois d’octobre 2015. Même si l’on observe un faible engouement dans les différents Bureaux de réception des candidatures déployées par la CENI (Commission électorale nationale indépendante) sur l’ensemble du territoire national, les provinciales restent néanmoins incontournables. Hélas ! Ce n'est cependant pas le cas pour certains acteurs politiques qui continuent de rêver d’un probable report.

Aussi, sont-ils nombreux, ceux qui s’accrochent à l’idée d’un dialogue politique en vue de baliser la voie pour un processus électoral apaisé. Finalement, le pouvoir en place semble avoir mordu à l’hameçon. Des sources concordantes font état de contacts très avancés entre le pouvoir et différends poids lourds de la scène politique congolaise.

Des contacts, confirme-t-on, ont été déjà engagés avec, notamment l’UDPS d’Etienne Tshisekedi, le MLC de Jean-Pierre Bemba et l’UNC de Vital Kamerhe.
Sans doute, d’autres partis politiques devaient allonger cette liste.

Si l’idée d’un dialogue politique prend de plus en plus de l’ampleur, l’on s’interroge cependant sur son opportunité. Dans le contexte actuel de la RDC, où tous les regards sont tournés vers les élections, quelle finalité pourrait avoir un dialogue politique ? La question alimente la chronique dans différents cercles politiques.

Il faut cependant rappeler que le processus électoral a connu son paroxysme avec la publication, le 12 février 2015, du calendrier électoral global. Jugé trop chargé par une frange importante de l’Opposition, ce calendrier électoral s’est finalement imposé comme le seul cadre de référence à l’organisation, de prochaines élections. Le découpage territorial, lancé concomitamment par le gouvernement, s’est ajouté au lot d’incertitudes qui entourent le processus électoral.

La mise en place de nouvelles provinces et entités territoriales décentralisées ayant pris du retard, la limitation des circonscriptions pour une certaine catégorie d’élections prévues par la CENI pourraient éventuellement subir un coup – sans compter les 23 contraintes reprises par la CENI en vue de garantir l’organisation de tous les scrutins projetés entre 2015 et 2016. On est en face d’un cocktail qui réserve bien des surprises.

C’est dans ce contexte qu’émerge le projet d’un dialogue pour dégager un consensus autour, notamment, du calendrier électoral. Les défenseurs de cette thèse s’inspirent de l’accord-cadre d’Addis-Abeba qui a prévu un dialogue politique, sous l’égide de la communauté internationale, pour d’un côté, garantir la sérénité du processus électoral, et de l’autre, asseoir les bases pour une paix durable aussi bien en RDC que dans la région des Grands Lacs.

En RDC, des contacts sont très avancés dans ce sens. L’UDPS d’Etienne Tshisekedi en a d’ailleurs fait l’une de ses priorités. En effet, depuis un temps, l’UDPS ne jure que par un dialogue politique en vue, se défend-elle, de désamorcer la bombe qui risque de faire chavirer le processus électoral. Dans son entendement – et c’est le point de vue que partagent nombre d’acteurs politiques – ce dialogue politique devait permettre de revisiter le calendrier électoral global du 12 février 2015.

UN SAUT DANS LE VIDE

Quoiqu’ indispensable d’une certaine manière, ce probable dialogue politique soulève des interrogations, et non des moindres. Dans le contexte politique actuel de la RDC, l’idée d’un dialogue politique rimerait, notamment avec la suspension du processus électoral actuel, en attendant de se mettre d’accord sur un nouveau format. En corollaire, un tel dialogue amènerait sûrement à une nouvelle transition suivant les nouvelles règles de jeu, convenues préalablement au dialogue. Voilà une belle manière de surcharger davantage le processus électoral. Est-ce que la RDC a besoin de prendre ce détour périlleux? C’est la question qu’il faut se poser.

Le dialogue inclusif suppose aussi une refonte de la Constitution. Ce qui ramène à la surface le projet d’une 4ème République. De ce point de vue, le dialogue pourrait mettre en place une constituante pour fixer les règles de fonctionnement de la nouvelle République.

C’est dire que le dialogue politique autour d’un consensus qui se dégagerait au sein de la classe politique est, tout compte fait, un couteau à double tranchant. C’est un piège dans lequel risque de s’enfermer durablement la RDC. Car un dialogue suppose un coup d'arrêt du processus électoral, ce qui n’est pas loin du glissement électoral tant redouté.
Le dialogue politique en soi n’est pas mauvais. Mais il comporte de nombreuses incertitudes qui risquent d’être fatales pour la jeune démocratie congolaise.

Le découpage territorial tel que conçu par le gouvernement ayant montré clairement ses limites, la réflexion devait être orientée vers le réaménagement du calendrier électoral et non un dialogue politique qui compliquerait davantage la donne.

La classe politique, la CENI et toutes les parties impliquées dans le processus doivent se retrouver autour d’une table pour juger une relecture du calendrier électoral global. C’est cela le dialogue tant attendu. Tout autre format que celui-là ne ferait que replonger la RDC dans une crise dont elle aura du mal à se défaire.

Au-delà de toutes ces considérations, il y a une donne à ne pas marginaliser. C’est le poids du peuple et de la communauté internationale, dont principalement les Etats-Unis, dans le problème congolais. Tout calcul qui est fait au détriment de ces deux pôles a toutes les chances d’échouer. Malheureusement, le dialogue politique tant convoité s’inscrit dans cette démarche."

http://fr.africatime.com/republique_democratique_du_congo/articles/le-dialogue-pour-quelle-finalite