Powered By Blogger

Pages vues le mois dernier

Translate

SACREBOPOL

dimanche 29 décembre 2013

LIBÉREZ DIOMI




Les anciens sages et pratiques scientifiques disaient : "Primum non nocere, (deinde curare)" = "D'abord ne pas nuire, (ensuite soigner)."
Plus philosophes, ils apostrophaient : "Primum vivere, deinde philosophari " = "D'abord vivre, après (et seulement après) philosopher"...
Tout malade souffrant d'AVC ou d'une "banale" céphalée nécessite de soins sinon c'est un délit pouvant aller jusqu'au crime (et plus d'"homicide involontaire" au moins) de "non-assistance à personne en danger" !

Depuis quand la prison est-elle devenue le lieu adapté pour soigner les malades (physiques et mentaux) ?
Quel risque y'a-t-il pour les autorités pénitentiaires et judiciaires de laisser subir des investigations et des soins à un inculpé dans un hôpital par ailleurs bien gardé par des sbires armés jusqu'aux dents ?
Alors il faut que le pouvoir nous dise clairement ce qu'il veut à Diomi : le laisser mourir en prison ?



Eliezer Ntambwe:
Malgre l intervention d Albert Moleka... 




... Martin Fayulu et de Pierre-Jacques Chalupa,


Eugène Diomi Dongala a été ramené en prison hier à 21h39 dans l état critique.

La rumeur selon laquelle Tshisekedi devrait parler hier était fausse.

La nomination du Général Kanyama au poste de commandant ville est aussi parmi l'actualité sans oublier l'incursion de l'Armée Ougandaise sur le sol congolais, situation qui préoccupe tout vrai congolais...


LE PASSÉ POUR MIEUX COMPRENDRE LE PRÉSENT ET BIEN PRÉPARER L'AVENIR

LE PASSÉ POUR MIEUX COMPRENDRE LE PRÉSENT ET BIEN PRÉPARER L'AVENIR

LES RÉVÉLATIONS DE JAMES KABEREBE


À 01.45 : Écoutez ce que Museveni dit:
«La première chose qui m'a frappé est que le stade ne soit pas rempli. Kinshasa est une ville d'environ 7.000.000 d'habitants et le stade peut contenir 80.000 spectateurs, mais il était au tiers vide. Parce qu'il y avait des gens dehors qui manifestaient contre Kabila, contre nous. La manifestation était organisée par l'UDPS. C'est ce qui m'a étonné le plus»

Et voici le plus grand fourbe de Président de la République qui nomme de très hauts fonctionnaires notamment James Kabarebe au poste de Chef ETMG des armées et Karaha Bizima comme Ministre d'État aux AE sans une enquête sérieuse. Selon lui, il apprendra que ces deux individus ne sont pas congolais au retrait de l'armée rwandaise au Congo. C'est alors et alors seulement qu'il découvrit que ces gens étaient dirigé par Kagamé pour que des tutshis prennent la tête du pays.

À 04.55, James Kabarebe dit ceci à Joseph, le fils de Kabila (Pourquoi le souligner? D'ailleurs, c'est à dessein qu'il le fait, Ndlr): «Ces gens qui manifestent le font parce qu'ils ont été longtemps brimés. Si tu ne leur apportes rien, tu auras aussi des problèmes avec eux.»
Étonnement et même grand étonnement. Comment en 1998, James Kabarebe savait-il que Joseph, le fils de Kabila serait quelques années plus tard, le Président de la RDC très contesté? Dites-moi le nom de cette coïncidence si ce n'est pas l'implication rwandaise et que Joseph, le fils de Kabila ne serait qu'un pantin rwandais.

À 09.02 Deo Bugera dit avoir vu descendre d'une jeep deux personnes. L'un était Kabila. En sandales, un vieux qui semblait boiter, tête rasée. (Ceci voudrait-il dire qu'à l'époque Laurent Kabila n'était pas capable à s'acheter une paire de souliers car on ne va pas à une grande réunion, surtout avec un Chef d'État, en sandales. Ndlr).

Il est clair que Kagamé, Museveni et l'armée rwandaise ont aidé l'AFDL à prendre le pouvoir à Kinshasa et que en 1998 déjà, le Rwanda savait que Joseph, le fils de Kabila serait président de la RDC. Voyez la suite

Joseph Kabila nomme de nouveaux responsables de la police

Joseph Kabila nomme de nouveaux 


responsables de la police


Le commissaire général de la PNC, le général Charles Bisengimana le 22/11/2011 à Kinshasa, lors de la présentation de six bataillons de la Légion nationale d’intervention formés par la Monusco. Radio Okapi/ Ph. John Bompengo
Le chef de l’Etat congolais, Joseph Kabila, a nommé le samedi 28 décembre de nouveaux responsables de la police. Charles Bisengimana est le nouveau commissaire général de la police nationale. Il assurait l’intérim à ce poste depuis 2010 et la suspension du général John Numbi, mis en cause dans l’assassinat de Floribert Chebeya et Fidèle Bazana. Le général Bisengimana sera notamment secondé par le général Raüs Chalwe, nouveau responsable de l’administration et de la sécurité publique.
Avant cette nomination, le général Raüs Chalwe dirigeait la police dans la province du Bas-Congo. Il est remplacé à ce poste par Patience Mushidi Yav.
Le général Célestin Kanyama est le nouveau chef de la police de Kinshasa. Il remplace le général Oleko nommé inspecteur général. Le commissaire divisionnaire adjoint Issia Bolofe est nommé inspecteur général adjoint chargé d’audit, enquête et évaluation.
Bandombele Yenga reste le chef de la police du Katanga. Au Nord-Kivu, le commissaire divisionnaire adjoint Vital Awashango est également reconduit dans ses fonctions.
Le commissaire divisionnaire adjoint Séguin Ngoyi garde ses fonctions de commandant de la légion nationale d’intervention.