LE PASSÉ POUR MIEUX COMPRENDRE LE PRÉSENT ET BIEN PRÉPARER L'AVENIR
LES RÉVÉLATIONS DE JAMES KABEREBE
À 01.45 : Écoutez ce que Museveni dit:
«La première chose qui m'a frappé est que le stade ne soit pas rempli. Kinshasa est une ville d'environ 7.000.000 d'habitants et le stade peut contenir 80.000 spectateurs, mais il était au tiers vide. Parce qu'il y avait des gens dehors qui manifestaient contre Kabila, contre nous. La manifestation était organisée par l'UDPS. C'est ce qui m'a étonné le plus»
Et voici le plus grand fourbe de Président de la République qui nomme de très hauts fonctionnaires notamment James Kabarebe au poste de Chef ETMG des armées et Karaha Bizima comme Ministre d'État aux AE sans une enquête sérieuse. Selon lui, il apprendra que ces deux individus ne sont pas congolais au retrait de l'armée rwandaise au Congo. C'est alors et alors seulement qu'il découvrit que ces gens étaient dirigé par Kagamé pour que des tutshis prennent la tête du pays.
À 04.55, James Kabarebe dit ceci à Joseph, le fils de Kabila (Pourquoi le souligner? D'ailleurs, c'est à dessein qu'il le fait, Ndlr): «Ces gens qui manifestent le font parce qu'ils ont été longtemps brimés. Si tu ne leur apportes rien, tu auras aussi des problèmes avec eux.»
Étonnement et même grand étonnement. Comment en 1998, James Kabarebe savait-il que Joseph, le fils de Kabila serait quelques années plus tard, le Président de la RDC très contesté? Dites-moi le nom de cette coïncidence si ce n'est pas l'implication rwandaise et que Joseph, le fils de Kabila ne serait qu'un pantin rwandais.
À 09.02 Deo Bugera dit avoir vu descendre d'une jeep deux personnes. L'un était Kabila. En sandales, un vieux qui semblait boiter, tête rasée. (Ceci voudrait-il dire qu'à l'époque Laurent Kabila n'était pas capable à s'acheter une paire de souliers car on ne va pas à une grande réunion, surtout avec un Chef d'État, en sandales. Ndlr).
Il est clair que Kagamé, Museveni et l'armée rwandaise ont aidé l'AFDL à prendre le pouvoir à Kinshasa et que en 1998 déjà, le Rwanda savait que Joseph, le fils de Kabila serait président de la RDC. Voyez la suite
«La première chose qui m'a frappé est que le stade ne soit pas rempli. Kinshasa est une ville d'environ 7.000.000 d'habitants et le stade peut contenir 80.000 spectateurs, mais il était au tiers vide. Parce qu'il y avait des gens dehors qui manifestaient contre Kabila, contre nous. La manifestation était organisée par l'UDPS. C'est ce qui m'a étonné le plus»
Et voici le plus grand fourbe de Président de la République qui nomme de très hauts fonctionnaires notamment James Kabarebe au poste de Chef ETMG des armées et Karaha Bizima comme Ministre d'État aux AE sans une enquête sérieuse. Selon lui, il apprendra que ces deux individus ne sont pas congolais au retrait de l'armée rwandaise au Congo. C'est alors et alors seulement qu'il découvrit que ces gens étaient dirigé par Kagamé pour que des tutshis prennent la tête du pays.
À 04.55, James Kabarebe dit ceci à Joseph, le fils de Kabila (Pourquoi le souligner? D'ailleurs, c'est à dessein qu'il le fait, Ndlr): «Ces gens qui manifestent le font parce qu'ils ont été longtemps brimés. Si tu ne leur apportes rien, tu auras aussi des problèmes avec eux.»
Étonnement et même grand étonnement. Comment en 1998, James Kabarebe savait-il que Joseph, le fils de Kabila serait quelques années plus tard, le Président de la RDC très contesté? Dites-moi le nom de cette coïncidence si ce n'est pas l'implication rwandaise et que Joseph, le fils de Kabila ne serait qu'un pantin rwandais.
À 09.02 Deo Bugera dit avoir vu descendre d'une jeep deux personnes. L'un était Kabila. En sandales, un vieux qui semblait boiter, tête rasée. (Ceci voudrait-il dire qu'à l'époque Laurent Kabila n'était pas capable à s'acheter une paire de souliers car on ne va pas à une grande réunion, surtout avec un Chef d'État, en sandales. Ndlr).
Il est clair que Kagamé, Museveni et l'armée rwandaise ont aidé l'AFDL à prendre le pouvoir à Kinshasa et que en 1998 déjà, le Rwanda savait que Joseph, le fils de Kabila serait président de la RDC. Voyez la suite
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