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SACREBOPOL

dimanche 5 janvier 2014

Mende lave les mains de Kabila, trempées dans la boue dans l’affaire Mamadou.

Vidéo. 

Mende lave les mains de Kabila, trempées dans la boue dans l’affaire Mamadou.






Pour des raisons complexes j’ai toujours évité de parler de la personnalité de Mende ici mais là trop c’est trop !

En effet j’ai sans doute un peu honte de moi-même (j’eûs à le rencontrer chez lui obligé, dans ce cadre à la limite de la légalité, encore que dans le contexte, il m’était plutôt légitime de "coopérer" comme d’autres pour obtenir un (mon) dû  …) et surtout j'ai pitié de lui et de notre pays à parler donc de Mende...
Peu de gens de mon âge participent activement, je suppose, à ce forum sinon il y’en aurait qui auraient dû pratiquer bien tôt au moins une fois dans leur vie Mende au début des années 80 lorsqu’il était le (l’un des ? ) factotum du Ministre Djelo, mutetela comme lui (à propos, qu’est-il devenu depuis ?) autour des services officieux et mafieux que s’octroyaient à l’époque les dignitaires du régime mobutiste ( dites donc : l’octroi des bourses à l’étranger par exemple… !)…
Depuis Mende a fait son chemin et s’est illustré (en catimini ?) dans le marivaudage et le mercenariat politiques les plus dégradants (Ngbanda qui en connait un bon bout a commencé à les dévoiler…)

Alors lorsque je l’entends traiter les "combattants" de "sous-hommes", j’ai envie de gerber car cela sort de la bouche d’un homme qui vendrait père et mère pour de l’argent, un homme qui dans sa vie n’a fait preuve d’aucune conviction en se laissant acheter par le plus offrant, en vendant ceux de ses "frères opposants" dont il prétendait alors partager le combat… La preuve, écoutez-le avouer entre les phrases  sa vraie nature de mercenaire né : ramenant les comportements des autres aux siens, il ne peut admettre que quelqu’un revendique par conviction patriotique mais toujours comme il l’a, lui, toujours pratiqué, pour sa poche, pour un poste…
Quel exemple de sous-homme Mende représente-il lui-même alors, un homme sans conviction, un mercenaire prêt à courir tous les râteliers pour ses vils intérêts !!!

Ça me fait bizarre de l’affirmer un dimanche matin, le "Jour du Seigneur" pour une très large partie des croyants chez-nous, les chrétiens et pense je ne sais pourquoi à l’honnête Mamadu Mustafa Ndala, le musulman patriote intègre et déterminé à défendre sa Patrie jusqu’à son sacrifice ; s’il l’a pu le faire parce que aussi musulman çàd différent de ces chrétiens croyants de surface dont regorge aujourd’hui notre pays ? Passons…

(Correspondance particulière, Paris/France)


Goma et Kinshasa se disputent le droit d’organiser les funérailles du colonel Mamadou.

Goma et Kinshasa se disputent le droit d’organiser les funérailles du colonel Mamadou.



Mais ce samedi, plusieurs centaines de jeunes ont manifesté à Goma pour réclamer son inhumation dans la capitale du Nord-Kivu. La marche a été dispersée au gaz lacrymogène par la police. Si la population de Goma revendique l’organisation des obsèques, rien ne dit que les autorités accepteront.


Le corps du colonel Mamadou Ndala, tué dans une embuscade jeudi 2 janvier dans l’est de la RDC, a été rapatrié à Kinshasa. Mais ce samedi, plusieurs centaines de jeunes ont manifesté à Goma pour réclamer son inhumation dans la capitale du Nord-Kivu. La marche a été dispersée au gaz lacrymogène par la police. Si la population de Goma revendique l’organisation des obsèques, rien ne dit que les autorités accepteront.

















Où donc sera enterré le héros de la guerre contre le M23 ? Le gouvernement, la hiérarchie militaire et la famille du défunt colonel Mamadou Moustapha Ndala sont en pourparlers. Le Nord-Kivu revendique le droit d’organiser les funérailles de cet officier, qui avait redonné l’espoir aux populations de l’Est. C’est en effet sous commandement que les troupes gouvernementales ont mis en déroute les éléments du M23.
Il sera en tout cas difficile de décider du choix du lieu de l’inhumation du colonel. La RDC ne dispose pas d’un cimetière où doivent reposer les héros ou ceux qui ont marqué l’histoire du pays. Certains n’ont même pas de sépulture. Les autres sont dispersés dans tout le pays, voire à l’étranger.


La population du Nord-Kivu pense donc honorer la mémoire de son héros en se dotant d’un lieu de pèlerinage où d’autres combattants viendraient s’inspirer de l’exemple de bravoure et de patriotisme.













Assassinat de M. Ndala :

CONCLUSIONS :

Le Colonel a été abattu avant la propagation de ce feu. Sinon la cabine serait défoncée et ouverte en cas de tir de la roquette. 
Le feu intense dans la cabine était mis pour brûler le corps des passagers en vue d'effacer certaines traces. 
Le moteur et le capot non ouverts trahissent l'action de l'assassin. Le fait que le véhicule soit bien garée en lieu et 
place de se renverser prouve que le feu n'est pas la cause mortelle de cette scène, par conséquent pas la roquette. 
Le colonel a été assassiné. C'est donc un ASSASSINAT.

Complicité des gardes du corps, bien les interroger avec détecteur de mensonges, en présence d'un spécialiste en " Body Language". 

Les experts militaires


Ndlr: Des explications claires, nettes et précises qui ne peuvent laisser personne sans réaction. Mais un problème sérieux se pose: qui va ordonner cette enquête? Est-ce le commanditaire? 



 Coup monté et non embuscade, tranchent les experts militaires.


Le DESC est une équipe de cinq experts (en criminologie, explosifs, balistique, techniciens d’état-major pour l’analyse de la manœuvre utilisée) dirigé par Jean-Jacques Wondo, diplômé de l'Ecole Royale Militaire de Belgique. Le DESC a visionné pendant plus de quatre heures les différentes images et photos de l’attaque du véhicule du Col Ndala et a confronté les thèses des uns et des autres pour aboutir au scénario décrit ci-dessous. Une autre analyse, presque similaire est parvenue à Télé Tshangu par un expert résidant à Bukavu. Les deux analyses excluent la piste ADF-NALU et aboutissent à un assassinat dont les auteurs se trouvent dans l'armée congolaise. 



Analyses de DESC

La piste du coup fourré est notre thèse explicative de la mort du Colonel Ndala

Lorsque l’on analyse l’image vidéo relative à la mort de Ndala qui circule sur le net et la manière professionnelle de sa présentation, cela ressemblerait à un reportage bien calibré et préparé à l’avance, surtout qu’il s’agit des images des troupes en opération. La piste du crime parfait semble la thèse criminologique qui tarauderait les esprits analytiques des experts de la DESC dont nous vous livrons ici, la lecture de l’analyse technique qu’ils ont menée. 

Nous avons dans un premier temps recueilli deux observations de deux spécialistes des médias : 

Fabien Ambingson Kusuanika (http://www.teletshangu.com) : « Je ne sais pas si c’est un montage monsieur Jean-Jacques Wondo . Mais c’est vrai que je me suis posé beaucoup de questions sur l’attitude des militaires. Ils regardaient le véhicule se consumer, alors que la réaction normale même pour nous civils auraient été de secourir la personne en danger. Dites moi un peu, les militaires au front n’ont des extincteurs dans leurs véhicules? Pourquoi aucun militaire n’y a vraiment pensé? L’autre question qui me taraude : comment les tireurs ont-ils pu cibler exactement le véhicule de Mamadou? Comment savaient-ils qu’il était dedans? D’accord avec vous que l’attitude des soldats est étrange à part quelques uns qui étaient réellement choqués... » (http://www.teletshangu.com/Exclusif-Le-film-video-de-l-assassinat-du-Colonel-M-Ndala_a616.html

Henri Kamande Nzuzi (http://www.mbote.info) : « Je suis sceptique au sujet des images car elles ne sont pas datées. Une source m’informe que le corps de Mamadou serait criblé de balles et qu’il aurait été abattu de dos…La thèse de l’assassinat n’est pas à exclure. » 

Image d'un véhicule touché par une roquette
En visionnant les images du véhicule dans lequel le colonel a trouvé la mort…On ne voit pas d’impact visible d’un obus de roquette. Selon Jean-Marie Ndambi, diplômé de l’Ecole Royale Militaire (ERM) belge, docteur ingénieur en sciences appliquées, expert en explosif et membre de la DESC[1],

« un obus de roquette contient une charge explosive de forme creuse qui s »enclenche au contact avec sa cible. Dans le cas présent, on ne voit aucun indice d’une explosion (dégâts importants au véhicule, éparpillement des débris pour un véhicule qui était en mouvement, présence d’un cratère au col, …). rien ne montre que ce véhicule a été touché par un obus d’une roquette antichar… Or il a pris feu comme un véhicule incendié. Si la roquette a été tirée à bout portant, le côté opposé du véhicule  aurait dû, également, subir de dégâts importants et être soufflé par le souffle de l’explosion et le véhicule aurait dû également être projeté un peu plus loin. Cependant, ces éléments caractéristiques de la balistique sont absents sur les images qui circulent. »
 
Par ailleurs, tenant compte du relief du lieu de l’embuscade, nous basant sur les allégations selon lesquelles le véhicule a été touché par un obus de roquette, la position du tireur allait se trouver sur le flanc droit côté passager ou sur la butte, et la trajectoire de l’obus aurait dû être oblique. Vu la puissance et la trajectoire, l’impact aurait été visible sur le sol d’autant que la camionnette n’était pas blindée. Ce qui n’est pas le cas. La cabine du véhicule, l’endroit où devrait se trouver les passagers (Colonel Ndala, la passagère, et le chauffeur), semble être intacte. Ce qui exclue la thèse d’un tir d’obus. »

Une autre incohérence est que le véhicule est resté en ligne droite, comme s’il se dirigeait pour s’arrêter ou se garer suite à une interpellation (ou un geste de stop) d’une personne faisant partie des connaissances du colonel ou d’un des passagers.
Normalement, s’il s’agissait d’une embuscade, le chauffeur aurait eu le réflexe d‘accélérer afin d’échapper au piège de l’embuscade, étant donné que la route est droite et que le véhicule n’a pas l’air de subir des dégâts importants.

En plus, compte tenu de la configuration de la route et de l’insécurité qui règne dans la zone, le véhicule devrait rouler à vive allure. À grande vitesse, il faudrait être un excellent tireur pour atteindre une cible en mouvement.

Selon les théories militaires classiques de la tactique de l’embuscade, l’heure d’attaque [vers midi donc forte visibilité alors qu’une bonne embuscade se mène dans les conditions éphémérides d’obscurité (nuit), de faible visibilité (brouillard)] et l’emplacement choisi ne sont pas adaptés pour mener une embuscade de façon optimale. De plus, la route est en ligne droite permettant une évacuation rapide (alors qu’une embuscade est propice sur un virage ou une route sinueuse favorisant le ralentissement de la cible, ce qui n’est pas le cas)… Autre critère défavorable à une embuscade que nous avons constaté, la route est large et en bon état, aucun obstacle naturel, un véhicule isolé, la configuration du lieu et les données liées aux éphémérides (météo, visibilité,…) ne permettent pas un effet surprise qui est la condition sine qua non pour la réussite d’une telle opération d’embuscade.

La thèse de la présence des éléments de la GR semble confirmée car sur les images, certains militaires portaient des gilets pare-balles. Or, nous savons que seuls les éléments de la GR sont dotés de cet équipement. Les gilets et les casques ne font pas partie des dotations des autres unités FARDC. Cela est d’ailleurs vérifiable dans les photos de l’intervention de la GR à la RTNC le 30 décembre : ils portaient tous des gilets pare-balles.

Pour l’Ir. Guy Ngongo, diplômé de l’ERM et spécialiste en balistique : « Personnellement, je trouve cela bizarre qu’il n’y ait aucun dégât apparent autour du véhicule. A partir de quelle distance est-ce que le tir de roquette a eu lieu? Je suis en plus surpris par la précision???? pour que seul le véhicule du Colonel soit touché? Ma première analyse me pousse à dire avec modestie que ce tir aurait été effectué à courte distance. Y’a-t-il eu infiltration par une petite unité qui aurait par la suite pris la fuite juste après la réussite de leur coup?  Combien de tirs de roquettes y’a-t-il eu au total ?  Un seul??? Bizarre pour être sûr d’atteindre son objectif avec une telle précision surtout si le tir vient de loin. » 

L’hypothèse de l’Ir. Ngongo des gens qui aurait tiré à courte distance puis pris la fuite rencontre à la fois l’analyse du Dr Ir Ndambi et la déclaration du témoin ayant aperçu deux personnes prenant la fuite et parlant Kinyarwanda et lingala. Ce qui écarte la thèse de l’attaque des ADF-Nalu et oriente vers une piste rwando- congolaise qui mettrait en cause les éléments du CNDP, M23 ou de la GR.

Selon les experts de DESC, après analyse et confrontations, le scénario de cette attaque se serait déroulé comme suit: une personne que le Colonel Ndala connait aurait fait signe (de détresse ou de stop?) pour que le véhicule s’immobilise, les personnes ont surgi l’ont identifié et en ce moment là qu’ils l’ont abattu ensuite ils ont mis le feu au véhicule. D’ailleurs, on remarque que la camionnette brûle à partir d’en bas.

Comme indiqué ci dessus, une roquette est destinée à faire exploser une cible, notamment, des chars ou des véhicules blindés. On voit, manifestement, que Le véhicule a été aspergé des matières inflammables, afin de masquer, les traces des balles sur le corps.

Analyses de l'expert de Bukavu

AUTOPSIE D'UN CAS (Colonel Mamadou Ndala)

1. La scène: Land cruiser Pick up adapté pour transporter une Section de 10 Personnes regardant vers l'exterieur à gauche et à droite.
2. La Land Cruiser est bien garée: les 4 pneus en place et 1pneu de réserve en feu, le long de la route.
3. Aile avant droite deformée, enfoncée, la Cabine en feu, portières intactes.
4. RPG7 impliquée
5. Route asphaltée sur un tronçon rectiligne dans la forêt.
6. Village entouré d'une forêt.

ANALYSES

On nous dit qu'un RPG 7 ( Lance roquette #7) a été tirée sur la Land Cruiser. Sur une telle route en zone opérationnelle, on ne peut rouler en moins de 80 Km/Heure. Avec l'impact de la roquette, la Land Cruiser doit se renverser ou chavirer. Le moteur devrait présenter des signes d'impact. Le capot devait s'ouvrir et le moteur en feu. On ne voit que l'aile avant droite déformée et enfoncée, pas d'une façon normale, alors qu'elle devait se desintégrer totalement.

Les 4 pneus en feu à en croire le bon état du capot et du moteur me pousse à dire que le feu a été intentionel et attisé à l'aide d'un combustible autre que le mazout. Pourquoi le pneu de reserve est il en feu alors que la ridelle de la Toyota est intacte et avec sa couleur blanche?

Le fanion de l'Unité est intact. Pourquoi y a-t-il de feu dans la cabine, alors que les portières sont fermées? Et le feu est plus intense que celui des pneus?

EMBUSCADE: Dissimuler une troupe en un endroit propice pour attaquer une cible mouvante ou un ennemi. Le choix de l'endroit est très important.

Généralement l'autre côté de la route est un versant accidenté pour empêcher l’ennemi de s'enfuir. Le tronçon choisi est généralement en boucle et en terrain difficile. Dans ce cas d'espèce, ce terrain est tout à fait le contraire des principes classiques.

La route est rectiligne et la vitesse du véhicule peut faire échouer la mission. A quelle vitesse roulait ce véhicule en zone dangereuse?????

HYPOTHESES

Les passagers auraient ils été abattus et placés dans la cabine????
Il faut pousser des enquêtes: impacts des balles, étranglement, étudier leur poumons pour voir s'ils étaient suffoqués et déceler la quantité de fumée inhalée.

Complicité des gardes du corps, bien les interroger avec détecteur de mensonges, en présence d'un spécialiste en " Body Language".

CONCLUSIONS

Le Colonel a été abattu avant la propagation de ce feu. Sinon la cabine serait défoncée et ouverte en cas de tir de la roquette.
Le feu intense dans la cabine était mis pour brûler le corps des passagers en vue d'effacer certaines traces.
Le moteur et le capot non ouverts trahissent l'action de l'assassin. Le fait que le véhicule soit bien garée en lieu et
place de se renverser prouve que le feu n'est pas la cause mortelle de cette scène, par conséquent pas la roquette.
Le colonel a été assassiné. C'est donc un

ASSASSINAT.