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SACREBOPOL

jeudi 11 février 2016

Zoe Kabila ordonne le passage à tabac du député Ntenda Ntenda, son collègue de la majorité



10-Feb-2016
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PATRICK MUKENDI
Une scène horrible signée Zoe Kabila, jeune frère du président sortant, s'est produite  au début d'après-midi, du mercredi 10 février, dans la commune de la Gombe aux croisements des avenues Likasi et des plaines.

Tenez, Zoe Kabila dont le frère président de la République est fin mandat a ordonné le passage à tabac en public du député de la majorité présidentielle, Martin Ntenda Ntenda. Le pêché du député, c'est le fait d'avoi...

Le procès Hissein Habré reprend à Dakar

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Le procès Hissein Habré reprend à Dakar

Justice africaine - Après deux mois de suspension et les auditions de plus de 90 témoins en décembre dernier, le procès de Hissein Habré, ancien président du Tchad, a repris ce lundi devant les Chambres africaines extraordinaires (CAE) à Dakar au Sénégal.
Il s'agit d'un procès historique et inédit puisque c'est la première fois au plan international qu'une juridiction d’un autre pays va statuer sur le sort d'un ancien chef d’État accusé de violations présumées des droits de l’Homme.
Les plaidoiries des parties civiles et de la défense ainsi que le réquisitoire du parquet constitueront la deuxième phase de ce procès.
Les plaidoiries de la partie civile qui devront durer environ deux jours seront précédées par l'audition de nombreux témoins qui se succéderont devant la cour du lundi au vendredi.
Pour rappel, l'ex président Tchadien Hissein Habré âgé de 73 ans avait été arrêté le 30 juin 2013 et jugé depuis le 20 juillet 2015 devant les Chambres africaines extraordinaires (CAE) pour crimes contre l’humanité, actes de torture et enlèvements pendant qu’il était au pouvoir de 1982 à 1980.
Une autre suspension du procès est programmée après les différentes plaidoiries et ce jusqu'au mois de mai 2016, date prévue pour le prononcé du verdict.
AfriqueJet



Grands Lacs : l’administration Obama durcit sa position contre la révision des Constitutions






























En marge du dernier sommet de l’Union africaine, l’administration américaine rappelle sa position, en mettant en garde les dirigeants africains qui utilisent des changements constitutionnels non démocratiques et des vides juridiques pour s’accrocher au pouvoir.

La Sous-secrétaire d’Etat américain aux Affaires africaines, Linda ThomasGreenl9eld et l’Administrateur adjointe de l’USAID pour l’Afrique, Linda Etim, ont animé, mercredi 10 février 2016, une conférence de presse en ligne.

A partir de Washington, les deux officiels ont répondu aux questions des journalistes africains sur les résultats du Sommet de l’Union africaine qui s’est tenu récemment à Addis-Abeba, en Ethiopie. Elles ont également parlé de la diplomatie et du développement en Afrique.

En ce qui concerne la politique américaine dans la région des Grands-Lacs, les oratrices ont rappelé, sans ambages, la position toujours tranchante de l’administration Obama sur le respect de la Constitution et des mandats constitutionnels.

Pour la République démocratique du Congo, un eurodéputé a proposé récemment des sanctions ciblées contre ceux qui se prononcent pour le 3ème mandat de Kabila. A ce propos, le point de vue de l’administration américaine est le même.
« Nous ne croyons pas que les dirigeants devraient rester longtemps au pouvoir, en changeant la Constitution », a déclaré Mme Thomas-Greenfield. « Le fait pour certains présidents de changer la Constitution est; extrêmement inadmissible », e-telle renchéri.

DE LA PAROLE AUX SANCTIONS
S’agissant de cas du Burundi, La Sous-secrétaire d’Etat américain aux Affaires africaines a indiqué que des sanctions sont prises sur les membres du régime Nkurunzinza.
Dans l’ensemble, les oratrices ont indiqué que l’Amérique ne changera -pas sa politique africaine, même après l’administration Obama. « L’Afrique a toujours occupé une place importante pour nous », a souligné Linda Thomas-Greenfield.
La même position a été martelée par le Secrétaire général de l’Onu. S’exprimant lors du Sommet de l’Union africaine (UA) à Addis-Abeba (Ethiopie), Ban Ki-mon a appelé samedi 30 janvier 2016 les dirigeants africains à ne « jamais utiliser des changements constitutionnels non démocratiques pour s’accrocher au pouvoir ».

«Les dirigeants ne devraient jamais utiliser des changements constitutionnels non démocratiques et des vides juridiques pour s’accrocher au pouvoir. Nous avons tous vu les conséquences tragiques quand ils le font», a-t-il déclaré.
Saluant les dirigeants qui se sont engagés à quitter le pouvoir et à respecter les limites constitutionnelles de leur mandat, il a appelé « tout le monde à suivre leur exemple ».
Le chef de l’ONU a également rappelé que 17 pays africains al laient organiser des élections en 2016.
Par RICH NGAPI
http://7sur7.cd/new/grands-lacs-ladministration-obama-durcit-sa-position-contre-la-revision-des-constitutions/


Ida Sawyer de « Human Rigths Watch/RDC » alerte : Washington appelé à agir à temps en RDC

Bien dit, eloko nini esilaka te même mandat ya l’état pe esilaka eyemba Reddy Amisi. Tika peuple Kongolais kimia tolingi alternance

Reply
Merci beaucoup Ida Sawyer pour la proposition consistant à geler les biens de nos Politiques qui ont tendance à créer des desordres pour se refugier en europe ou en amerique par aprés. Kabila doit savoir que ce n’est pas l’effet de donner des jeeps aux joueurs ni visiter les stades municipaux qui feront qu’on l’accord encore la gestion de cette nation. Nous le savons trés bien que Kabila a connus plus de bavours telles que des tueries, les ventes illicites des minerais……. et cela n’honore nullement les congolais, il a muscellé la presse, acharnement sur les opposants et journalistes……………., cela ne pas tolerant. Donc il doit quitter le pouvoir au cas contraire et d’ailleurs la meilleure solution serait de geler ses avoirs et de tous son entourage et les interdire de quitter le pays.
A part ceci, que les Etats unis nous envoie une force americaines et européennes qui viendront en aide à la MONUSCO pour proteger la population vulnerables contre la boulimie du pouvoir de Kabila et des autres. Soyez deja les bienvenus en RDC





























Le gouvernement américain invité à mettre en pratique ses engagements contre les auteurs du blocage de la démocratie avec des sanctions ciblées.

En marge d’une audience hie mercredi à la Commission des Affaires étrangères du Sénat américain sur la ”bonne gouvernance “ en Afrique centrale, Ida Sawyer, chercheuse Senior à Human Rigths Watch/RDC a écrit une tribune pour plaider le cas de la RDC.

La Commission des Affaires étrangères du Sénat américain doit tenir aujourd’hui une audience sur la “ bonne gouvernance “ en Afrique centrale, ce dont cette région agitée a désespérément besoin. Le moment ne pourrait s’avérer plus crucial.

Rien ne laisse clairement entrevoir la fin de la crise au Burundi, où des centaines de personnes ont été tuées depuis que des manifestations ont éclaté contre la décision controversée du Président Pierre Nkurunziza de briguer un troisième mandat en 2015. Tant les forces de sécurité que les groupes d’opposition armés ont attaqué leurs adversaires respectifs avec une brutalité sans cesse croissante.
La crise qui se profile en République démocratique du Congo pourrait pourtant reléguer au second plan diplomatique les troubles au Burundi. Ici aussi, le président, Joseph Kabila, semble résolu à se cramponner au pouvoir malgré une limite constitutionnelle de deux mandats consécutifs, dont le deuxième échoit en décembre. Le gouvernement se livre à une violente répression contre des opposants politiques, des jeunes activistes et d’autres personnes qui réclament la tenue, dans les délais requis, d’élections crédibles en RD Congo.

Mais il est encore temps d’enrayer la violence et le gouvernement américain a un rôle primordial à jouer. Il a fait preuve d’un solide leadership en ce qui concerne la RD Congo, appelant à plusieurs reprises le Président Kabila à organiser des élections crédibles et à se retirer à l’issue de son mandat. Le Président Barack Obama s’est entretenu au téléphone avec Kabila en mars 2015, le Secrétaire d’État John Kerry s’est rendu dans la capitale, Kinshasa, en mai 2014, et les envoyés spéciaux des États- Unis clans la région des Grands Lacs, tout d’abord Russ Feingold et aujourd’hui Tom Perriello, ont effectué des dizaines de visites pour délivrer ce message.

À ce jour, Kabila et ses partisans ont toutefois ignoré ces appels. Le gouvernement américain doit maintenant traduire ses paroles en actes. Des sanctions ciblées visant les responsables de la répression, telles que des interdictions de voyager et le gel de leurs avoirs, constitueraient une mesure importante, à appliquer idéalement en coordination avec l’Union européenne. Ces sanctions enverraient un message puissant à Kabila et à son proche entourage, leur faisant comprendre que leur répression brutale entraîne des conséquences.

Cette mesure pourrait aussi contribuer à dissuader les forces de sécurité de commettre de futures exactions, notamment lors d’une nouvelle série d’actions citoyennes qui devraient commencer à travers le pays la semaine prochaine.

La RD Congo se trouve aujourd’hui à un tournant historique. L’évolution de la situation déterminera si le peuple congolais pourra davantage nourrir l’espoir de vivre dans un pays qui respecte les droits humains et les institutions démocratiques ou s’il continuera à être exposé aux exactions.

http://7sur7.cd/new/ida-sawyer-de-human-rigths-watchrdc-alerte-washington-appele-a-agir-a-temps-en-rdc/

Kinshasa : l’avocat d’une dame tuée par la police réclame 8 800 USD pour les funérailles

































L’avocat conseil de la famille de Marie-Jeanne Ashingo réclame à la Police nationale congolaise (PNC), une assistance financière de 8 800 dollars américains, pour organiser les funérailles de cette dame, tuée par un policier à Masina (Kinshasa), le 24 décembre 2015.
Depuis sa mort, son cadavre est conservé à la morgue de l’Hôpital général de référence de Kinshasa.
Sa famille dit ne pas disposer de moyens pour organiser les obsèques.
« Jusqu’au jour d’aujourd’hui, les démarches que nous avons menées auprès des autorités de la police et du ministère de l’Intérieur n’ont pas abouti. Le corps de la victime traine encore à la morgue de l’hôpital général de Kinshasa », a déclaré mardi à Radio Okapi, Me Antoine Stany Dikomo.
Selon lui, Mme Marie-Jeanne Ashingo a été tuée par un célèbre policier du nom de Bamungwabi.
De son côté, le commissaire provincial de la PNC pour la ville de Kinshasa, le général Célestin Kanyama, demande à l’avocat conseil de la victime « de suivre la procédure requise en la matière ».​


RDC: appel à une grève générale d’avertissement au président Kabila le 16 février


RDC: appel à une grève générale d’avertissement au président 

Kabila le 16 février

























Une coalition d’opposants au président congolais Joseph Kabila a appelé mercredi à une grève générale le 16 février dans toute la République démocratique du Congo pour adresser un « avertissement » au chef de l’État, qu’ils accusent de vouloir violer la Constitution pour se maintenir au pouvoir. Ce jour-là, « chacun de nous est appelé à se mobiliser pour lancer un sérieux avertissement à Monsieur Joseph Kabila et à tous ceux qui sont tentés par la violation de notre Constitution pour rester au pouvoir à vie », peut-on lire dans l’« appel au peuple » publié par ces opposants.
« Nous sommes appelés à rester à la maison, à ne pas aller au travail et à ne pas envoyer nos enfants à l’école », ajoute ce texte signé par les représentants de la Dynamique de l’opposition, regroupement de dizaines de partis et d’organisations de la société civile autour de deux des principales formations de l’opposition au Parlement, et du Groupe des 7 (G7), coalition de partis ayant quitté la majorité en septembre.
http://7sur7.cd/new/rdc-appel-a-une-greve-generale-davertissement-au-president-kabila-le-16-fevrier/