Powered By Blogger

Pages vues le mois dernier

Translate

SACREBOPOL

jeudi 11 février 2016

Ida Sawyer de « Human Rigths Watch/RDC » alerte : Washington appelé à agir à temps en RDC

Bien dit, eloko nini esilaka te même mandat ya l’état pe esilaka eyemba Reddy Amisi. Tika peuple Kongolais kimia tolingi alternance

Reply
Merci beaucoup Ida Sawyer pour la proposition consistant à geler les biens de nos Politiques qui ont tendance à créer des desordres pour se refugier en europe ou en amerique par aprés. Kabila doit savoir que ce n’est pas l’effet de donner des jeeps aux joueurs ni visiter les stades municipaux qui feront qu’on l’accord encore la gestion de cette nation. Nous le savons trés bien que Kabila a connus plus de bavours telles que des tueries, les ventes illicites des minerais……. et cela n’honore nullement les congolais, il a muscellé la presse, acharnement sur les opposants et journalistes……………., cela ne pas tolerant. Donc il doit quitter le pouvoir au cas contraire et d’ailleurs la meilleure solution serait de geler ses avoirs et de tous son entourage et les interdire de quitter le pays.
A part ceci, que les Etats unis nous envoie une force americaines et européennes qui viendront en aide à la MONUSCO pour proteger la population vulnerables contre la boulimie du pouvoir de Kabila et des autres. Soyez deja les bienvenus en RDC





























Le gouvernement américain invité à mettre en pratique ses engagements contre les auteurs du blocage de la démocratie avec des sanctions ciblées.

En marge d’une audience hie mercredi à la Commission des Affaires étrangères du Sénat américain sur la ”bonne gouvernance “ en Afrique centrale, Ida Sawyer, chercheuse Senior à Human Rigths Watch/RDC a écrit une tribune pour plaider le cas de la RDC.

La Commission des Affaires étrangères du Sénat américain doit tenir aujourd’hui une audience sur la “ bonne gouvernance “ en Afrique centrale, ce dont cette région agitée a désespérément besoin. Le moment ne pourrait s’avérer plus crucial.

Rien ne laisse clairement entrevoir la fin de la crise au Burundi, où des centaines de personnes ont été tuées depuis que des manifestations ont éclaté contre la décision controversée du Président Pierre Nkurunziza de briguer un troisième mandat en 2015. Tant les forces de sécurité que les groupes d’opposition armés ont attaqué leurs adversaires respectifs avec une brutalité sans cesse croissante.
La crise qui se profile en République démocratique du Congo pourrait pourtant reléguer au second plan diplomatique les troubles au Burundi. Ici aussi, le président, Joseph Kabila, semble résolu à se cramponner au pouvoir malgré une limite constitutionnelle de deux mandats consécutifs, dont le deuxième échoit en décembre. Le gouvernement se livre à une violente répression contre des opposants politiques, des jeunes activistes et d’autres personnes qui réclament la tenue, dans les délais requis, d’élections crédibles en RD Congo.

Mais il est encore temps d’enrayer la violence et le gouvernement américain a un rôle primordial à jouer. Il a fait preuve d’un solide leadership en ce qui concerne la RD Congo, appelant à plusieurs reprises le Président Kabila à organiser des élections crédibles et à se retirer à l’issue de son mandat. Le Président Barack Obama s’est entretenu au téléphone avec Kabila en mars 2015, le Secrétaire d’État John Kerry s’est rendu dans la capitale, Kinshasa, en mai 2014, et les envoyés spéciaux des États- Unis clans la région des Grands Lacs, tout d’abord Russ Feingold et aujourd’hui Tom Perriello, ont effectué des dizaines de visites pour délivrer ce message.

À ce jour, Kabila et ses partisans ont toutefois ignoré ces appels. Le gouvernement américain doit maintenant traduire ses paroles en actes. Des sanctions ciblées visant les responsables de la répression, telles que des interdictions de voyager et le gel de leurs avoirs, constitueraient une mesure importante, à appliquer idéalement en coordination avec l’Union européenne. Ces sanctions enverraient un message puissant à Kabila et à son proche entourage, leur faisant comprendre que leur répression brutale entraîne des conséquences.

Cette mesure pourrait aussi contribuer à dissuader les forces de sécurité de commettre de futures exactions, notamment lors d’une nouvelle série d’actions citoyennes qui devraient commencer à travers le pays la semaine prochaine.

La RD Congo se trouve aujourd’hui à un tournant historique. L’évolution de la situation déterminera si le peuple congolais pourra davantage nourrir l’espoir de vivre dans un pays qui respecte les droits humains et les institutions démocratiques ou s’il continuera à être exposé aux exactions.

http://7sur7.cd/new/ida-sawyer-de-human-rigths-watchrdc-alerte-washington-appele-a-agir-a-temps-en-rdc/

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire