Powered By Blogger

Pages vues le mois dernier

Translate

SACREBOPOL

jeudi 7 avril 2016

Congo indépendant : Blanchiment d’argent sale :"Panama Papers" : Et si Jaynet "Kabila" n’était qu’un prête-nom?





Congo indépendant : Blanchiment d’argent sale :"Panama Papers" : Et si Jaynet "Kabila" n’était qu’un prête-nom?

































Selon des médias occidentaux dont le quotidien français "Le Monde" daté du 4 avril, Jaynet "Kabila" et un certain Feruzi Kalume Nyembwe avaient, dès le mois de juin 2001, créé une société off shore dénommée "Keratsu Holding Limited". Inconnue du public congolais jusqu’aux obsèques de LD Kabila, "Jaynet", promue présidente de la Fondation LD Kabila, avait l’habitude d’organiser des soirées de gala de "collecte de dons en faveur des victimes de la guerre à l’Est". La Fondation est gérée dans une totale opacité. Femme d’affaires boulimique, elle n’a pas peu contribué au bradage du patrimoine minier de la Gecamines.
Dans une tribune publiée in tempore non suspecto dans le magazine "Forbes" daté du 30 juin 2014, le journaliste américain Richard Miniter, se fondant sur des sources françaises et allemandes, affirmait que "Joseph Kabila" a pu amasser une fortune estimée à 15 milliards USD au cours de la décennie précédente. "Cette masse d’argent se trouverait dans des banques situées dans les îles britanniques et ailleurs", ajoutait-il.
Les révélations contenues dans "Panama Papers" donnent un nouveau relief à l’article précité. Toutes les sources crédibles confirment l’authenticité des documents ayant servi de base pour la rédaction des conclusions des investigations qui mettent en cause douze chefs d’Etat - dont six en fonction - et leurs proches.
En Afrique noire, plusieurs personnes sont épinglées: Khulubuze Zuma, Denis Christel Sassou Nguesso et Jaynet "Kabila". Les noms du fils de Kofi Annan et de John Kufuor, l’ex-président ghanéen (2011-2009) sont également cités. C’est le cas également d’un général rwandais non autrement identifié.
C’est au mois de juin 2001, soit à peine cinq mois après le décès du président LD Kabila que "Jaynet" et un certain Feruzi Kalume Nyembwe mettaient sur pied la société off shore "Keratsu Holding Limited". Les enregistrements nécessaires ont été effectués auprès du cabinet d’avocats Mossack Fonseca basé au Panama. Sieur Feruzi, un sujet tanzanien, serait le fils de Didier Kazadi Nyembwe.
Dans son édition datée du 4 avril, le quotidien français "Le Monde" rapporte que Keratsu Holding Ltd a détenu 19,6 % des parts du consortium" Congolese Wireless Network" (CWN) "qui a contrôlé 49 % des parts de l’opérateur téléphonique Vodacom Congo".
Qui est Jaynet "Kabila"?
Le public congolais a découvert la soeur jumelle de leur nouveau Président au lendemain des obsèques du président LD Kabila. Bombardée présidente de la Fondation Mzee LD Kabila fin janvier 2001, elle devint incontournable. Aucun investisseur ne foule le sol congolais sans aller lui présenter les "civilités". En 2005, Ban Ki-moon, alors ministre sud coréen des Affaires étrangères, lui attribue le grade de consul honoraire de la Corée du Sud à Kinshasa.
Comme son frère "Joseph", "Jaynet" est née le 4 juin 1971 à "Hewa Bora". Le problème? Cette localité n’a jamais existé au plan légal. C’était la dénomination donnée au "maquis" de Laurent-Désiré Kabila.
Dans l’ouvrage "Les femmes dans l’espace décisionnel congolais", publié par J.R. Mazanza Kindulu Ndungu, chez l’Harmattan, la localité de Mpiki est citée comme lieu de naissance. On y apprend que "Jaynet"serait titulaire d’une licence en journalisme de l’université de Makerere, en Ouganda.
En février 2002, Célestin Kabuya-Lumuna Sando publiait son livre intitulé "Histoire du Congo - Les Quatre premiers Présidents". Dans le chapitre consacré à Laurent-Désiré Kabila, l’auteur rapporte les "confidences" d’un certain Bienvenu Mwilambwe qui était l’ancien secrétaire particulier de LD Kabila durant les années d’exil en Tanzanie. A la page 186, on peut lire : "Le 8/1/1979, nous sommes allés accompagner les enfants du camarade président à l’école française". "(...). Les enfants dont question étaient Jenny Kyungu Mtwale et Hyppolite Kabange Mtwale, les jumeaux de Laurent-Désiré Kabila".
Dans une interview accordée au "Soir" de Bruxelles daté du 2 juin 2006, Mama Sifa Mahanya déclare que LD Kabila "avait tenu à inscrire Jaynet et Joseph à l’école française de Dar es Salaam". Cette information est reprise d’ailleurs par le journaliste François Soudan à la page 37 de la Revue de l’Intelligence, édition n°3 juillet/août 2006 avec sur la couverture le titre : "Portrait: Le vrai Kabila". "Joseph et Jaynet qui n’ont jusque là connu que l’école de brousse du parti, note-t-il, sont inscrits sous des noms d’emprunt (Kabange, puis Kanambe) dans un collège francophone de Dar es-salaam".
Selon un document officiel - daté du mois de septembre 2011- que l’auteur de ces lignes a pu consulter, la nommée "Jaynet" Désirée Hildegonde Kyungu "Kabila", alors candidate aux législatives, n’a jamais passé un seul jour de sa vie au Lycée français de la capitale tanzanienne. Elle n’a pas non plus accompli ses études primaires dans le maquis de Hewa Bora mais au "Green Valley Primary School" en Ouganda. Elle aurait obtenu son certificat de six ans primaires en septembre 1984 avant de terminer ses études secondaires en mai 1992 à Irambo Secondary School en Tanzanie. Le parcours de "Jaynet" autant que celui de son frère Joseph constituent les secrets les mieux gardés du Congo démocratique. Zoé, mêmement.
La montée en puissance
Selon des sources gouvernementales, le trésor public congolais verserait chaque année un montant de trois millions USD à la Fondation Mzee Laurent Désiré Kabila. "Depuis 2001, cette association n’a jamais présenté ses comptes annuels", assurent ces sources.
Présidente de la Fondation LD Kabila, "Jaynet avait l’habitude d’organiser des soirées de gala de "collecte de dons en faveur des victimes de la guerre à l’Est". Elle seule connaît la destination donnée aux biens reçus notamment de certains chefs d’Etat. C’est le cas de l’ancien président libyen Moammar Kadhafi.
L’appétit venant en mangeant, en 2006, la sœur du « raïs », a commencé à lorgner sur la mine d’uranium de Shinkolobwe, au Katanga. Son associé d’alors n’est autre que le Zimbabwéen Billy Rautenbach, patron de la société CAMEC (Central African Mining & Exploration Company). La Présidence de la République avait donné le « feu vert ». Au grand dam du ministre des Mines de l’époque, Ingele Ifoto, qui avait mis son veto. Au motif que la mine dont question était fermée. L’histoire ne dit pas qui a a pu avoir gain de cause.
Dans son édition datée du 17 août 2006, l’hebdomadaire belge «Trends tendances» titrait : «Le Congo livre-t-il de l’uranium à Téhéran ?» Citant le journal «Sunday Times» - lequel se référait à des documents des services tanzaniens de douanes -, mais aussi à des sources congolaises et divers documents, le magazine belge faisait état de «douze livraisons». « Selon ces mêmes documents, un dénommé John Kahozi, qui serait un homme de confiance du président congolais, voyageait entre Téhéran, Dubaï et Harare afin de régler le volet financier de la transaction via les banques iraniennes Melly Bank, Refah Kargavan et Bank Mellat», pouvait-on lire.
Dans le domaine minier, des anecdotes ne manquent pas. On apprend ainsi que la Gécamines avait conclu, en 2013, un contrat de "joint venture" avec un groupe australien sur la mine de "Deziwa", appelée également Kulumaziba. Après des travaux de prospection financés par la partie australienne, la mine s’est révélée riche en minerais. En février 2014, "Jaynet" atterrit à Lubumbashi. "Je veux cette mine", clama-t-elle devant le PCA (président du conseil d’administration) Albert Yumba Mulimbi et Ahmed Kalej Nkand, alors administrateur délégué général. Jaynet a fini par demander aux Australiens de vendre leurs parts. Montant : 187 millions $ US. Le montant aurait été réglé par un certain "Dan". Jaynet aurait exigé une "commission" de 15% aux Australiens. En mars 2014, sur décision de "Jaynet", la mine querellée fut attribuée à des "investisseurs" libanais dont un certain Monsieur Aza.
Le tout-Kinshasa parle d’un grand centre commercial que Jaynet a construit sur l’avenue du 24 novembre. Doté de plusieurs étages, l’immeuble est évalué à une dizaine de millions USD.
La fortune de "Joseph Kabila" et blanchiment
"Ils sont arrivés sans un sou avec aux pieds des bottes en caoutchouc, aujourd’hui ils roulent carrosse", aiment ironiser les Kinois au passage du cortège de "Joseph Kabila".
Arrivé au Zaïre en janvier 1997 avant de fouler le sol kinois quatre mois plus tard, "Joseph Kabila" trône, depuis 2001, sur une immense fortune. Ses biens immobiliers les plus connus sont les fermes de Kingakati (Kinshasa), de Kungelungu et de Kashamata dans le Haut Katanga. Il posséderait une autre ferme dans l’île de Mateba dans le Kongo central.
En mai 2009, par une simple lettre signée par son directeur de cabinet, "Joseph Kabila" arracha au Premier ministre de l’époque, Adolphe Muzito, la prérogative constitutionnelle d’ordonnancer les dépenses publiques. Tout paiement était soumis, à l’avenir, à son "autorisation préalable" alors même qu’il est politiquement irresponsable.
Lors de l’élection présidentielle et des législatives organisées en novembre 2011, l’Etat congolais a pu débourser 750 millions USD pour financer le processus électoral. Ce montant n’était pas inscrit au budget.
Dans son rapport 2014, la Cour de compte indique que 190 projets non prévus dans le budget de cet exercice ont été financés pour un montant de plus ou moins un milliard USD.
Dans l’édition du magazine américain Forbes (www.forbes.com) datée du 30 juin 2014, le journaliste américain Richard Miniter avait créé l’événement en révélant que l’actuel chef de l’Etat congolais possédait une fortune évaluée à 15 milliards USD. Miniter assurait, in tempore non suspecto, que cet argent est planqué dans des paradis fiscaux.
Sans absoudre "Jaynet", on peut se demander si celle-ci n’agirait pas, en définitive, comme un prête-nom pour le compte de son Président de frère. Dans un cas comme dans l’autre, on se trouve dans la logique du "blanchiment de l’argent sale". D’où provient l’argent litigieux?
Baudouin Amba Wetshi 
© Congoindépendant 2003-2016
















mercredi 6 avril 2016

RDC: Les liens financiers cachés de Jaynet Kabila chez Vodacom




RDC: Les liens financiers cachés de Jaynet Kabila chez Vodacom






















Jaynet Kabila détient une participation indirecte par l’intermédiaire des sociétés de portefeuille. La participation indirecte de Jaynet Kabila représente 4,8% du capital.


Jaynet Kabila, la soeur jumelle du president Kabila, a une participation indirecte dans les opérations de Vodacom Group Ltd dans le pays, les documents montrent, mettant en lumière sur la richesse accumulée. Jaynet Kabila détient la moitié de Keratsu Holding SA, une société avec une participation indirecte de 9,6 pour cent en Vodacom Congo Sprl, selon les documents de constitution en date du Décembre 2011 et obtenus par Bloomberg à une entreprises de l’Etat du Pacifique Sud de Niue. Deux personnes ayant une connaissance de Vodacom Congo a confirmé sa participation, refusant d’être identifié

La participation indirecte de Jaynet Kabila dans le plus grand opérateur de téléphonie mobile du pays fournit un indice du réseau des intérêts économiques que les politiciens de la famille présidentielle ont accumulé depuis que son père a pris le pouvoir en 1997. Le président Joseph Kabila, qui a succédé à son père après son assassinat en 2001 , est interdit par la constitution de briguer un troisième mandat. L’opposition disent qu’il retarde les élections prévues en Novembre pour se maintenir au pouvoir. «Les membres de la famille de Kabila ont accumulé des richesses énormes, y compris des participations dans des sociétés dans des paradis fiscaux à l’étranger,” Le député Martin Fayulu a déclaré par téléphone à partir de Kinshasa, la capitale. «Nous avons besoin d’une enquête urgente et nous devons exiger le rapatriement de ces sommes vers la RD Congo.” Panama Papers Jaynet Kabila était pas disponible à son bureau à Kinshasa lorsque Bloomberg a sollicité les commentaires pendant les heures ouvrables. Le porte-parole du gouvernement congolais Lambert Mende dit que la question était une affaire privée sans lien avec le gouvernement, lorsqu’on lui a demandé des commentaires. Steve Shepperson-Smith, un porte-parole de Vodafone Plc, qui détient 65 pour cent de Vodacom Group, a refusé de commenter. Vodacom Congo Chief Executive Officer Murielle Lorilloux a déclaré par téléphone l’entreprise serait d’analyser les informations au niveau du groupe avant de répondre. «Nous avons besoin d’étudier le contenu des documents de Panama et donnons cette toute notre attention,” Byron Kennedy, porte-parole de Vodacom, a déclaré dans une réponse par courrier électronique aux questions. ‘Glimpse Rare’ “La participation de Jaynet Kabila dans Vodacom offre un rare aperçu de ce que nous supposons est un réseau vaste et diversifié d’actifs appartenant à la famille du président,” Jason Stearns, chercheur principal au Centre basé à l’Université de New York sur la paix et la sécurité de la coopération internationale pense réservoir, a déclaré dans une réponse par e-mail aux questions. Stearns est l’auteur d’un livre sur le Congo intitulé “Dancing in the Glory of Monsters: L’effondrement du Congo et la Grande Guerre de l’Afrique.” «actes illégaux» Utilisation de sociétés fictives peut être, et est souvent, légale et légitime. Keratsu détient sa participation Vodacom Congo à travers son 19,6 pour cent participation indirecte dans congolaise Réseau sans fil Sprl, selon les documents de l’entreprise. CWN détient 49 pour cent de Vodacom Congo. La participation de Keratsu équivaut à un 4,8 pour cent participation indirecte dans Vodacom Congo pour Kabila. Vodacom Congo a été créé moins de six mois après l’incorporation de Keratsu à Niue en Juin de 2001. Groupe Vodacom basé en Afrique du Sud détient 51 pour cent de Vodacom Congo. Les nombres d’abonné de l’unité a augmenté de 14 pour cent à 11,9 millions dans l’année à Juin 2015. «Droit au travail» Keratsu co-directeur Feruzi Kalume Nyembwe par téléphone le lundi à propos de la participation de Kabila dans Keratsu, il a répondu: «Chaque personne a le droit de créer une entreprise et de travailler. Sinon, nous aurions à quitter les grandes multinationales d’avoir les entreprises Congo. Il ne serait eux et ce serait inacceptable. “Kalume Nyembwe a refusé de confirmer si Kabila était un actionnaire Keratsu. Jaynet Kabila a été élu au Parlement en 2011. Elle dirige également la fondation de son défunt père, Laurent. Les documents de constitution Keratsu ne pas utiliser le nom qu’elle utilise en public. Ils se réfèrent à elle comme J. Ursula Kyungu, un nom qu’elle utilise dans d’autres dossiers de l’entreprise. Dans sa culture Lubakat, les jumeaux premiers-nés sont parfois appelés Kyungu, tandis que la seconde nés jumeaux sont appelés Kabange, qui est le troisième nom de son frère. Sa date de naissance dans les documents correspondant à son frère.



 Africa243 avec Bloomberg 
N’oubliez pas de nous suivre sur Twitter:   


Rebecca Kabugho, la prisonnière


:14 jrs à l'Hôpital, retourne en prison son corps affaibli mais pas son esprit d lutte pr le changement


























Un tonnerre d'applaudissements pour qui rentre en prison finir sa peine. Elle sort le 16 Août 2016

Ces mafieux qui nous gouvernent

La pleurait encore M'zée Kabila, Jaynet Kabila ouvrait un compte offshore le 19 juin 2001 au nom Ursula Kyungu


















































On comprend que la est pris en otage par un conglomérat des mafieux, pillards, criminels qui veulent s'éterniser pour mieux vivre

Qui trop embrasse, ...




Qui trop embrasse, ...
Voici le stade international moderne, olympique et omnisports de Sokol (rebaptisé Kasa-Vubu) de Boma construit par le tout puissant lourd roitelet du Kongo Central. Il semble qu'il sera inauguré en fin 2015. Et nous sommes en 2016, regardez vous mêmes.
Bana Boma, ata beno mosi, beno tala. Stade ya beno, ya me kuma finda pe repère ya ba nioka.