Le président Joseph Kabila Kabange a affirmé mardi à Kinshasa être « certain de gagner » l’élection présidentielle du 28 novembre 2011. « Je suis préparé à aller aux élections (…). Si on échoue aux élections, on va faire tout à fait autre chose », a-t-il assuré au cours d’une conférence de presse à laquelle Le Potentiel n’a pas été invité.
Le président de la République, Joseph Kabila Kabange, a déclaré le 18 octobre 2011 à Kinshasa être « préparé à aller aux élections » du 28 NOVEMBRE et « certain de gagner les élections (qui) seront effectivement libres, crédibles et transparentes ».
Au cours de la conférence de presse (télédiffusée en différé par la RTNC) qu’il a animée durant 2H40’ au Palais de la nation et à laquelle Le Potentiel n’a pas été invité, il n’a pas esquivé la question relative à un « échec » éventuel. « Moi, je fais confiance à notre peuple. Ensemble, on va gagner. Si on échoue aux élections, on va faire tout à fait autre chose. Peut-être journaliste », a-t-il répondu dans un sourire.
« Je suis candidat en 2011 », a-t-il répliqué à un autre journaliste voulant savoir si Joseph Kabila sera candidat en 2016. « La Constitution ne permet que deux mandats présidentiels », a-t-il rappelé.
Le chef de l’Etat a exhorté le peuple congolais à être « vigilant, très vigilant, comme la population du Bas-Congo, comme la population de l’Equateur, comme la population de Masina (à Kinshasa) en 1998. Pour qu’on aille aux élections, pour qu’on puisse continuer la reconstruction de notre pays, continuer la modernisation de notre pays ».
Il a exprimé la conviction que « le peuple va résister » à toutes les manœuvres visant à perturber les prochaines échéances électorales. « Est-ce qu’on a peur d’aller aux élections ? Je le pense. Beaucoup de partis politiques ont peur d’aller aux élections, même au sein de la Majorité (présidentielle). Est-ce qu’il faut les suivre ? Le Congo avance, ceux qui pensent qu’ils ne peuvent pas avancer avec nous, ils n’ont qu’à rester. Nous, on avance », a encore déclaré le chef de l’Etat.
QUESTIONS D’ACTUALITE
Les nombreuses questions de la presse ont permis au président Joseph Kabila de passer en revue les différentes questions d’actualité, notamment le bilan « positif » de son quinquennat (2006-2011) axé sur la reconstruction et la modernisation de la République démocratique du Congo, la lutte contre les antivaleurs à travers l’opération « tolérance zéro », les relations avec la République du Congo perturbées par des attaques opérées par des « éléments armés en provenance de Brazzaville » (Bas-Congo, résidence du chef de l’Etat le 27 février 2011 à Kinshasa, Lukolela dans la province l’Equateur).
A cette occasion, il a également parlé de l’atteinte du point d’achèvement ayant permis l’effacement de la dette extérieure de la RDC à hauteur de quelque 10 milliards Usd et des problèmes de divers ordres (sécuritaire, économique, social) auxquels est confronté quotidiennement le peuple congolais.
Par ailleurs, les cas de Laurent Nkunda (ancien chef du CNDP en détention au Rwanda) et du général FARDC Bosco Ntanganda (sous mandat d’arrêt international de la CPI) ont été abordés.
Le président de la République, Joseph Kabila Kabange, a déclaré le 18 octobre 2011 à Kinshasa être « préparé à aller aux élections » du 28 NOVEMBRE et « certain de gagner les élections (qui) seront effectivement libres, crédibles et transparentes ».
Au cours de la conférence de presse (télédiffusée en différé par la RTNC) qu’il a animée durant 2H40’ au Palais de la nation et à laquelle Le Potentiel n’a pas été invité, il n’a pas esquivé la question relative à un « échec » éventuel. « Moi, je fais confiance à notre peuple. Ensemble, on va gagner. Si on échoue aux élections, on va faire tout à fait autre chose. Peut-être journaliste », a-t-il répondu dans un sourire.
« Je suis candidat en 2011 », a-t-il répliqué à un autre journaliste voulant savoir si Joseph Kabila sera candidat en 2016. « La Constitution ne permet que deux mandats présidentiels », a-t-il rappelé.
Le chef de l’Etat a exhorté le peuple congolais à être « vigilant, très vigilant, comme la population du Bas-Congo, comme la population de l’Equateur, comme la population de Masina (à Kinshasa) en 1998. Pour qu’on aille aux élections, pour qu’on puisse continuer la reconstruction de notre pays, continuer la modernisation de notre pays ».
Il a exprimé la conviction que « le peuple va résister » à toutes les manœuvres visant à perturber les prochaines échéances électorales. « Est-ce qu’on a peur d’aller aux élections ? Je le pense. Beaucoup de partis politiques ont peur d’aller aux élections, même au sein de la Majorité (présidentielle). Est-ce qu’il faut les suivre ? Le Congo avance, ceux qui pensent qu’ils ne peuvent pas avancer avec nous, ils n’ont qu’à rester. Nous, on avance », a encore déclaré le chef de l’Etat.
QUESTIONS D’ACTUALITE
Les nombreuses questions de la presse ont permis au président Joseph Kabila de passer en revue les différentes questions d’actualité, notamment le bilan « positif » de son quinquennat (2006-2011) axé sur la reconstruction et la modernisation de la République démocratique du Congo, la lutte contre les antivaleurs à travers l’opération « tolérance zéro », les relations avec la République du Congo perturbées par des attaques opérées par des « éléments armés en provenance de Brazzaville » (Bas-Congo, résidence du chef de l’Etat le 27 février 2011 à Kinshasa, Lukolela dans la province l’Equateur).
A cette occasion, il a également parlé de l’atteinte du point d’achèvement ayant permis l’effacement de la dette extérieure de la RDC à hauteur de quelque 10 milliards Usd et des problèmes de divers ordres (sécuritaire, économique, social) auxquels est confronté quotidiennement le peuple congolais.
Par ailleurs, les cas de Laurent Nkunda (ancien chef du CNDP en détention au Rwanda) et du général FARDC Bosco Ntanganda (sous mandat d’arrêt international de la CPI) ont été abordés.
Malheureusement, nous restons sur notre faim car les questions d'actualité et les affaires Laurent Nkunda et Bosco Ntanganda ne sont pas publiées. Nous aurions bien voulu entendre le Chef de l'État sur ces sujets.
Sacrebopol
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