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SACREBOPOL

lundi 16 septembre 2013

72 % des kinois non intéressés aux concertations nationales !

Tout a fait normal. kck le peuple Congolais a a [......] des ces conneries nationales made in Kabilie. Le peuple n' attend que la fin de ce régime qui nous a descendu ci bas comme jamais avant dans l'histoire du pays.Ces voyous au pouvoir doivent savoir quitter le pouvoir avant que le pouvoir ne les quitte. 




Oh vous parlez de 72% des kinois, à l'intérieur, c'est plus de 90%. Le peuple congolais est préoccupé par autre chose :"LA SURVIE". (EB et Mutoto) 


Ceci est un échantillon de ce que les congolais pensent des concertations nationales et montre par le fait même que le peuple désavoue le régime et que normalement, ce régime devrait en tirer les conséquences et quitter le pouvoir. (Levi, à Kinshasa)










Sondage ‘‘Les Points’’ : 72 % des kinois non intéressés aux concertations nationales !



La contestation des élections du 28 novembre 2011 et ses conséquences sur l’unité du pays, a ouvert la voie  à l’organisation des concertations nationales pour parvenir à la cohésion nationale. Leur convocation exprime à la fois la volonté du Chef de l’Etat de respecter ses engagements vis-à-vis de ses pairs africains et la détermination des congolais à résorber leurs problèmes dans l’intérêt supérieur de la Nation.

Dès l’annonce de la composition du présidium, des voix se sont élevées pour déplorer le choix opéré par le président de la République.  Dès lors, le leadership de deux personnalités à la tête des deux bureaux du Parlement a été remis en cause, ressuscitant, à demi-mot, le vieux débat sur les collaborateurs dont a besoin le Chef de l’Etat pour mener à bien sa vision pour la RDC. D’aucuns auraient même préféré un présidium tenu par des personnalités africaines neutres. C’est dans cette confusion qu’est lancée l’idée de la mise en place d’un gouvernement d’union nationale à la fin des concertations à laquelle les Kinois réservent, pour la première fois, un non massif.

Quel intérêt les Kinois accordent-ils aux concertations nationales et que pensent-ils du gouvernement de large union nationale après le lancement officiel des travaux ?

 La deuxième vague du baromètre Les Points-Concertations nationales donne des indications moins favorables pour le volet communication des assises de Kinshasa. 72% des Kinois interrogés ne suivent pas le déroulement des travaux. Sur les 22% qui s’y intéressent, 9% seulement sont attachés en permanence contre 13% qui suivent de manière occasionnelle. Ils estiment que la diffusion des séances passe inaperçue dans les médias grand public et, par conséquent, l’on est encore loin du grand engouement connu devant les médias pendant la Conférence nationale souveraine et les travaux de la Francophonie. Chacun vaque à ses occupations comme d’habitude.

En outre, 31% des personnes intéressées par les assises du Palais du peuple jugent que le présidium est consensuel. Par contre, 54% relèvent la partialité et l’opacité qui caractérisent le présidium. Ainsi, note-t-il, que plusieurs motions ont été adoptées sans débat préalable.

Dans la même catégorie, 67% des sondés pensent que les délégués aux concertations n’y sont que pour leur propre intérêt, allusion faite aux perdiem et autres arrangements politiques. Du reste, ces perdiem sont considérés trop exorbitants pour un pays qui fait face à la guerre et en pleine reconstruction financière.

Par ailleurs, un mois après le premier prélèvement de l’opinion sur le gouvernement de large union nationale,  les Kinois demeurent opposés à l’initiative. Une nouvelle enquête sur le sujet montre un accroissement de 12% de la tendance négative. Le NON passe de 62% à 74%. 45% de cette catégorie souhaitent un simple réaménagement technique de l’équipe Matata, tandis que 55% adhèrent à l’idée d’un profond changement pourvu que le chef du gouvernement soit maintenu en vue de poursuivre l’élan économique et l’émergence des autres secteurs.   

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