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SACREBOPOL

samedi 5 novembre 2011

Elections, tricherie et intolérance politique:


Kinshasa : Martin Fayulu arrêté pour avoir… collé des affiches


Martin Fayulu Madidi. Photo CIC
 
Député provincial, président du parti ECIDé (Engagement pour la citoyenneté et le développement) et membre de la «Dynamique Tshisekedi Président» (DTP), une coalition des partis qui soutient la candidature d’Etienne Tshisekedi wa Mulumba à la Présidence de la République, Martin Fayulu Madidi a été arrêté dans la matinée de ce samedi 5 novembre.

«L’arrestation a eu lieu aux environs de 10 heures au Marché de l’UPN», a déclaré Tharcisse Loseke Nembalemba, co-fondateur de l’ECIDé et membre de la «DTP». Selon lui, des policiers ont interpellé Martin Fayulu ainsi que quelques membres de son équipe de campagne alors qu’ils collaient des affiches électorales. Ils ont été emmenés à l’Inspection provinciale de la police - située sur l’avenue du 24 novembre, à côté de l’Institut supérieur de commerce - où trône le très mal prénommé général Jean de Dieu Oleko.

Joint au téléphone à Kinshasa à 16 heures, Loseke a confié à l’auteur de ces lignes que tous les leaders de l’opposition pro-Tshisekedi (Fatima) se trouvaient sur le lieu pour exiger la «libération» de leur camarade. «S’il n’est pas remis en liberté, nous allons nous constituer prisonniers», a-t-il ajouté.

Depuis le 28 octobre dernier, la campagne électorale pour les élections présidentielle et législatives a débuté. On déplore déjà plusieurs morts et des blessés. Plusieurs militants de l’UDPS et des partis alliés ont été arrêtés. Ils sont toujours détenus dans des lieux secrets en violation des délais de la garde à vue. Au lieu de jouer son rôle de garant de l’ordre public par l’encadrement des manifestations sur la voie publique, la police, elle, se comporte en milice au service du président sortant «Joseph Kabila».

Les graves incidents enregistrés ont lieu en dépit de l’existence d’un prétendu «Code de bonne conduite» présenté par la Mission onusienne au Congo et la Commission électorale nationale indépendante comme le gage des consultations politiques «apaisées». «Sur la télévision nationale, les spectateurs ne voient que les faits et gestes de Joseph Kabila et de son épouse Olive, commente un confrère kinois joint au téléphone. Il n’y a pas l’ombre d’un opposant. La création du Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication relève de la mystification...»

A Bruxelles, les auditeurs de la branche congolaise de la radio associative «Panik» on suivi, samedi, Rigobert Kuta Mwana Kuta depuis Kinshasa. Candidat député national dans le district du Mont Amba, Kuta est à la tête d’une formation politique appartenant à l’opposition pro-Tshisekedi. L’homme n’a pas trouvé des mots assez durs pour décrire les difficultés que rencontrent les représentants des forces de l’opposition en cette période de campagne électorale. Selon lui, les opposants "ne sont pas autorisés" à coller leurs affiches. Ils ne peuvent pas non plus aller battre campagne dans l’arrière-pays. Faute d’avions. «Les avions ont été réquisitionnés par le parti présidentiel, a-t-il précisé. Il en est de même du kérosène». Kuta de conclure : «L’opposition n’est pas libre de ses mouvements».

Revenons à Marti Fayulu. Ce n’est pas la première que ce bouillant député provincial kinois ait des ennuis avec la police. Une police qui n’a cure des immunités parlementaires. Lors d’une manifestation organisée le 20 octobre dernier l’UDPS et des partis alliés, Fayulu a été passé à tabac par des "flics" de la capitale. L’incident a eu lieu aux environs de la Grande poste, au centre de la ville. Des doigts accusateurs étaient pointés à l’époque en direction du gouverneur de la ville de Kinshasa, André Kimbuta Yango qui est par ailleurs président de l’Interfédérale du parti présidentielle, le PPRD (Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie). Fayulu n’a jamais raté l’occasion de critiquer l’action de l’actuel gouverneur de la capitale : "Le bilan me paraît lamentable".

Il est désormais clair que "Joseph Kabila" et ses affidés, jouissant de la duplicité de la "communauté internationale", ont pris l’option de narguer l’opinion nationale en exerçant le pouvoir "en violation des dispositions" constitutionnelles. Que disent les opposants?

A 18 heures, la même heure qu’à Kinshasa, le téléphone retentit à la rédaction de Congo Indépendant. Qui est en ligne? Tharcisse Loseke. "Juste pour vous informer que Martin a été relâché à 17 heures". En quelques mots, Fayulu évoque sa mésaventure : "Il m’est reproché d’avoir été à l’Université pédagogique nationale pour inciter les étudiants à organiser des troubles dans la capitale. J’aurai harangué les étudiants et distribué de l’argent. Et pourtant, je n’ai été qu’au Marché de l’UPN où tous les opérateurs collaient leurs affiches". Suspecte-t-il "quelqu’un" d’être derrière cette succession de problèmes? "Je suis victime d’un montage politique, souligne-t-il. L’objetif consiste manifestement à m’éliminer, si pas physiquement, au moins politiquement".

Selon Tharcisse Loseke, la Mission onusienne au Congo (Monusco) serait intervenue auprès des autorités congolaises en faveur de la libération de Fayulu. Les forces de l’opposition ont publié une déclaration.

Texte revu à 18 heures 05.11.2011

B.A.W 
© Congoindépendant 2003-2011

vendredi 4 novembre 2011

LES "POMBA" DU PPRD TERRORISENT LA VILLE.

DES GENS ARMÉS TIRENT SUR DES MILITANTS DE L'OPPOSITION AU ROND-POINT NGABA

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Jean-Claude Tshinemu, victime des balles du PPRD.

Mercredi dernier au Rond-point Ngaba, des inciviques armés ont créé émoi et consternation auprès de la population du quartier.
Des éléments armés se sont attaqué à une foule de militants de l'UDPS non-armée pour la seule raison que celle-ci distribuait des affiches d'Étienne Tshisekedi, ce que le parti adverse n'accepte pas.
C'est depuis plusieurs jours que les militants de l'Opposition se rassemble près du Rond-point et discute des stratégies à prendre pour battre démocratiquement le PPRD qui ne l'entend pas de cette oreille et installe la terreur pour empêcher les adversaires de travailler sereinement.
Mardi dernier, des inconnus se sont présentés à la discussion des membres de l'Opposition et menacé ceux-ci de représailles s'ils continuaient de soutenir Étienne Tshisekedi.

Mercredi après-midi, ils sont revenus et sont allés directement voir Jean-Claude en lui demandant de leur remettre tout ce qu'il avait. (Les affiches de l'UDPS notamment). Il les leur remettra mais ceux-ci exigèrent également de l'argent. Pris de panique, quelques membres qui étaient avec lui se sont sauvés par la fuite. Ils confisquent alors une somme de 3.600$, lui tirent à la jambe et transpercent ses testicules avant de s'évader dans la nature.
Une dame âgée d'environ 50 ans qui attendait son bus non loin de là a également été touchée et se trouve aux cliniques universitaires tout comme JC Tshinemu.


Il est touché aux parties génitales.

Il est grand temps que la Communauté Internationale se décide de porter des accusations à la CPI contre le gouvernement irresponsable de la RDC qui combat ses propres concitoyens. 

Candidat n°11 à la présidentielle 2011 - Tshisekedi bloqué, Nyanguile accuse l’Udps !



Personne n’aurait interdit aux avions du candidat n°11 d’atterrir sur le sol congolais. Tshisekedi, l’Udps ou, à la limite, une compagnie étrangère, fut-elle, sud-africaine ou autre, n’en a jamais formulé la demande auprès de l’Autorité de l’Aviation Civile dont les portes sont, pourtant, grandement ouvertes, à l’immeuble ex-Sofide, à la Gombe.

Le Directeur Général de l’Autorité de l’Aviation Civile Congolaise, M. Richard Nyanguile est, en effet, formel : ‘‘l’Udps n’a jamais introduit une demande de survol ou d’importation d’avions auprès de ses services’’. Il l’a dit hier, devant les professionnels des médias, dans la salle de réunion de ce service public.
L’AAC, a-t-il rappelé, est une institution de l’Etat et n’a pas de considérations politiques, pour discriminer un dossier. A l’en croire, l’importation d’un avion en RD-Congo suit une procédure cohérente et que les textes y relatives sont disponibles et sont offerts gratuitement à ceux qui en font la demande. Par ailleurs, accusé par l’Udps de faire obstruction à la campagne électorale des opposants, le Gouvernement, par la voix de son porte-parole ne s’est pas fait prier pour réagir. Intervenant au journal télévisé de 20 heures sur la Rtnc au sujet de cette supposée interdiction de survol des avions du candidat n°11, Lambert Mende parle plutôt des accusations graves de l’Udps qui ne se fondent sur rien. A l’en croire, l’Udps n’a introduit aucun document, ni par télégramme, ni par e-mail. Il s’agit, pense-t-il, d’une échappatoire tendant à rationaliser les difficultés logistiques, parce que, poursuit-il, ‘‘ils ne se sont pas préparés à cette campagne’’. Sinon, le Ministre de la Communication et des Médias met quiconque au défi d’exhiber un document, avec accusé de réception, sollicitant le survol d’avions par l’Udps ou une quelconque compagnie sud africaine opérant dans ce secteur aérien. «Je rappelle, persiste et réitère qu’il n’y a pas une demande ni de survol ou d’importation des avions présentée par l’UDPS». C’est en ces termes que le Directeur Général de l’Autorité de l’Aviation Civile RD-Congolaise, M. Richard Nyanguile a fixé l’opinion, par médias interposés, au sujet des rumeurs qui font état de ‘‘l’interdiction formelle’’ des avions de campagne du Candidat Etienne Tshisekedi, Président national de l’Udps, de survoler l’espace aérien congolais. Il l’a dit hier, jeudi 3 novembre 2011, au cours d’une conférence de mise point tenue dans la salle de réunion de cette institution de régulation de l’espace aérien congolais. Selon Richard Nyanguile, l’Autorité de l’Aviation Civile est une institution de l’Etat et n’a pas des considérations politiques pour discriminer un dossier. Elle a donc le devoir de rendre service à qui en a besoin, qu’il soit personne physique ou morale.
A l’en croire, l’importation d’un avion en RD-Congo suit une procédure conséquente et, à ce sujet, les textes y relatifs sont disponibles et offerts gratuitement à ceux qui en font la demande. Les préalables… Enumérant les conditions d’une demande, soit de l’importation, de survol ou d’atterrissage d’un avion sur le sol congolais, le Directeur Général de l’Autorité de l’Aviation Civile a fait savoir que, le requérant doit reprendre toutes les références possibles définissant notamment, le type d’avion, l’immatriculation, le nombre d’équipage, le motif ou la raison pour laquelle la demande est faite, la personne à contacter ou le point focal. Et, c’est seulement après que tous ces éléments soient fournis et examinés que le document est approuvé par l’AAC, a soutenu Nyanguile, avant de préciser que : «nous n’avons pas de priorités, toutes les demandes subissent le même traitement et qu’il n’y a jamais eu refus d’un dossier sans motivation». Quid du requérant ? Répondant à une question de la presse au sujet de la version qui soutient que cette demande de survol a été introduite par une société Sud-africaine dénommée «Aéronautique solution», laquelle a toujours opéré dans l’espace aérien congolais, plus précisément dans le Katanga et qui, à chaque fois qu’elle sollicite l’autorisation de survol, l’a reçoit dans les 48 heures qui suivent, le DG de l’AAC a répondu en ces termes : «Comment allions-nous bloquer une telle demande d’autant plus que l’UDPS n’est pas apparente ? Je ne suis pas magicien». Ce, avant d’ignorer la nature de toute demande quelconque réceptionnée par ses services au nom de cette compagnie sud-africaine. Si tel n’est pas le cas, qu’on me fournisse des preuves, a-t-il martelé. En outre, poursuit-il, aucune action du requérant qui aurait introduit le dossier, allant dans le sens de suivi, au motif qu’il aurait beaucoup traîné, n’a été enregistrée jusque-là. «Je suis dans le flou», dit-il avant d’indiquer que si jamais une demande n’est pas conforme, nous répondons toujours, et si cette compagnie peut nous montrer le refus attesté et notifié par l’autorité de l’aviation civile, cela couperait court à toute sorte de spéculations. Revenant sur cette compagnie sud-africaine, Richard Nyanguile a rappelé que son survol sur l’espace aérien de la République Démocratique du Congo est soumis à une autorisation et ceci pour chaque entrée et chaque sortie.
Donc, il n’y a pas des acquis et personne ne peut utiliser l’espace aérien de la RDC s’il n’y a pas un accord car, il relève de la souveraineté d’un Etat, a-t-il souligné. Que dit le Gouvernement ? Intervenant au journal télévisé de 20 heures sur la Rtnc au sujet de cette supposée interdiction de survol des avions du candidat n°11, le porte-parole du Gouvernement, M. Lambert Mende parle plutôt des accusations graves de l’Udps qui ne se fondent sur rien. A l’en croire, l’Udps n’a introduit aucun document, ni par télégramme, ni par e-mail. Il s’agit, pense-t-il, d’une échappatoire destinée à rationaliser les difficultés logistiques, parce que, poursuit-il, ‘‘ils ne se sont pas préparés à cette campagne’’. Sinon, Mende soutient qu’il peut aussi s’agir d’une stratégie de mobilisation si jamais on se rend à l’évidence qu’il n’y a pas de mobilisation là où on criait à une victoire d’avance. Stratégie, renchérit-il, vielle comme le monde. Toutefois, le Ministre de la Communication et des Médias met quiconque au défi d’exhiber un document sollicitant le survol, ou encore un accusé de réception. L’Udps accuse le pouvoir ! Sur les antennes de la rfi, le SG de l’Udps accuse le pouvoir de faire obstruction à la campagne électorale des opposants. Shabani accuse, sans en apporter les preuves, Joseph Kabila de chercher à ‘‘décourager les autres candidats’’.

jeudi 3 novembre 2011

La place Victoire très agitée hier matin :


Entre prendre un engagement et le strict respect de celui-ci, il y a très souvent des écarts. C'est vraiment et malheureusement le cas de le dire avec le fameux code de bonne conduite de la CENI soumis aux candidats aux élections voulues apaisées du 28 novembre prochain. Ceux qui croient que la signature de ce code est le gage des élections apaisées en RDC, risquent de se tromper énormément.

Ceci, au vu de la multiplication des actes d'intolérance constatés à moins d'une semaine du lancement de la campagne électorale, actes de nature à compromettre le bon déroulement des élections.

Ce qui s'est passé hier matin sur la place Victoire dans la commune de Kalamu est une parfaite illustration de la difficulté qu'éprouve déjà le code de bonne conduite' à s'imposer à ses signataires.

En effet, il était 9 heures quand les policiers ont débarqué sur cette célèbre place du quartier Matonge pour disperser, à coup de gaz lacrymogène, la population présente et particulièrement les combattants de l'UDPS d'Etienne Tshisekedi. Ils étaient là en train d'assister à la pose de l'affiche de campagne de leur candidat Etienne Tshisekedi wa Mulumba sur l'échafaudage publicitaire installé au Rond point Victoire, précisément au croisement des avenues Victoire et Kasa-Vubu.

Malheureusement pour ces combattants, l'affiche du candidat Tshisekedi n'a pas été installée parce que les policiers dépêchés sur place ont empêché les agents de la société publicitaire de procéder à l'installation. Ils auraient reçu l'ordre d'un commandant qui lui, a été alerté par l'agent de la police de roulage qui était de service au Rond Point Victoire ce mercredi matin.

A leur arrivée, les policiers se sont servis des gaz lacrymogènes pour disperser violemment les combattants de l'UDPS et la population qui a condamné l'acte posé par les policiers. Ces échauffourées ont coûté cher aux revendeurs des téléphones portables installés sur la place des Artistes. Beaucoup d'entre eux perdu leurs marchandises emportés pendant ces troubles par des shégués et des policiers, d'après des témoignages recueillis.

Présent hier sur la place Victoire, Jean-Pierre Chalupa, candidat député national qui a aussi vu son affiche refusée à cet endroit par les policiers, nous a signalé que lui et le candidat Tshesekedi avaient déjà payé pour occuper l'échafaudage de quatre façades.

Selon lui, le délai accordé aux affiches des cinq chantiers qui occupent les deux façades de cet échafaudage avait déjà expiré depuis le 31 août dernier.

De leur côté, les personnes présentes hier sur la place Victoire qui ont été témoins oculaires de cet incident, n'ont pas caché leur indignation face à l'acte posé par la police nationale congolaise. Beaucoup d'entre elles ont une fois encore dénoncé l'instrumentalisation de cette police pourtant appelée à être apolitique.

Même chose du côté des observateurs de la scène politique congolaise qui craignent déjà une escalade des tensions électorales juste au début de la campagne. Beaucoup parmi ces observateurs ont l'impression que le président de la CENI Daniel Ngoy Mulunda prêche dans le désert.

En effet, pas plus tard que ce mardi 1er novembre lors du forum avec les partis politiques au Palais du peuple il a invité les uns et les autres à des élections apaisées et à la tolérance. Ngoy Mulunda s'est adressé également à l'inspecteur général de la Police nationale congolaise, le général Charles Bisengimana qui était présent dans ces assises, mais aussi dans beaucoup d'autres organisées par la CENI à qui il a toujours rappelé le rôle constitutionnel de la police.

Malheureusement la réalité sur terrain est toute autre.

Freddy Longangu

Tshisekedi interdit d'atterrir à Kisangani


Selon l'UDPS à Kinshasa, les autorités de l'aviation civile de République démocratique du Congo (RDC) empêcheraient à l'avion d'Etienne Tshisekedi d'atterrir à Kisangani. Le leader de l'UDPS devait entamer ce mercredi une importante tournée électorale dans l'Est du pays. Sur place, la tension monte.
Pour l'instant aucune explication officielle n'a été donné sur les raisons du refus de l'autorisation d'atterrir du Jet privé d'Etienne Tshisekedi sur l'aéroport de Kisangani.

 Ce nouveau contre-temps n'est pas le premier dans l'organisation de la tournée électorale de Tshisekedi dans l'Est du Congo. Il y a quelques jours, le secrétaire général de l'UDPS, Jacquemain Shabani accusait déjà les autorités congolaises "d'organiser la pénurie de carburant et de kérosène" à Kisangani, pour empêcher Tshisekedi de "battre campagne". L'UDPS dénonce également les multiples agressions dont ont été victimes certains militants du parti, depuis le lancement de la campagne officielle, le 28 octobre dernier.

 "L'affaire" de Kisangani démontre une nouvelle fois le climat de tension qui règne entre majorité pro-Kabila et opposition, à seulement 1 mois du scrutin. Pour l'instant, le patron de l'UDPS est toujours en Afrique du Sud dans l'attente d'informations.

 Christophe RIGAUD