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SACREBOPOL

jeudi 25 octobre 2012

RDC: Pauvres députés!


Déjà payés plus de 7 000 dollars par mois, les élus congolais réclament un doublement de leur salaire. Le gouvernement fait la sourde oreille.
En RDC, les députés n'ont pas eu plus de chance que leurs collègues kényans. Le 10 octobre, à Nairobi, le président Mwai Kibaki a refusé tout net d'octroyer aux parlementaires un bonus exceptionnel de 105 000 dollars (81 000 euros) chacun. Les élus (parmi les mieux payés en Afrique) ont eu beau protester, ils devront « se contenter » de leurs 10 000 dollars mensuels. Pas d'augmentation non plus pour les « honorables » congolais, qui espéraient au moins un doublement de leur salaire. Début octobre, ils ont même envisagé d'interpeller le Premier ministre, Augustin Matata Ponyo, en pleine séance à l'Assemblée, avant que des tractations en haut lieu ne fassent taire les récriminations.

Fin de non-recevoir
Que voulaient les députés congolais ? Le précédent gouvernement avait, pour des raisons budgétaires, décidé de réduire le train de vie jugé élevé des institutions du pays. Les élus, dont les émoluments s'élevaient à près de 6 000 dollars mensuels, se sont retrouvés avec 4 250 dollars. Après le changement de gouvernement d'avril, ils ont sollicité auprès du nouveau Premier ministre une revalorisation qui les placerait au même niveau que les sénateurs, dont les revenus mensuels atteignent, selon eux, les 13 000 dollars. Matata Ponyo leur a opposé une fin de non-recevoir.
Mais sont-ils vraiment mal payés ? Aux 4 250 dollars mensuels s'ajoutent 3 000 dollars destinés à couvrir leurs frais de transport, de communications, et la rémunération du secrétaire parlementaire. Les présidents et vice-présidents des commissions parlementaires perçoivent en plus 2 000 dollars. Les membres de la commission économique et financière bénéficient également de frais d'hébergement pour la période durant laquelle ils examinent le budget de l'État.

Classe éco
Les élus estiment pourtant qu'ils sont mal payés parce que, lorsqu'ils regagnent leur fief, ils sont obligés de redistribuer à leurs électeurs ce qu'ils ont gagné. « La crise est profonde dans l'arrière-pays, se lamente un député de la majorité. Il n'y a pas d'emplois et les gens pensent que nous sommes les représentants du gouvernement et nous demandent de satisfaire tous leurs besoins. Nous ne pouvons pas nous dérober. » Les députés sont convaincus que les sénateurs sont les mieux lotis et rappellent qu'en mission ils voyagent en classe économique, alors que les sénateurs sont en classe affaires. « Léon Kengo wa Dondo [le président du Sénat, NDLR], grâce à son budget de fonctionnement, a mis en place une organisation qui permet aux sénateurs de bénéficier de bonus et d'augmenter leurs revenus. Ce n'est pas le cas à l'Assemblée nationale », relève un député de l'opposition. Il est vrai qu'il n'y a qu'une centaine de sénateurs, contre cinq cents députés. Toutefois, le gouvernement reste ferme. « Si les émoluments des députés étaient revus à la hausse, le budget de fonctionnement de l'Assemblée serait supérieur à celui du ministère de la Défense », indique un observateur.

À titre de comparaison, un membre du Congrès américain est payé 14 500 dollars ; un député du Congo-Brazzaville touche 3 950 dollars, contre 2 000 dollars pour son confrère de Bujumbura. Ce qui n'empêche pas un élu du Bas-Congo (Ouest) d'affirmer que « 70 % des députés ne sont pas rentrés dans leurs fiefs lors des vacances parlementaires par peur de n'avoir rien à distribuer ».


Lire l'article sur Jeuneafrique.com : RDC : pauvres députés ! | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique

Les Rwandais vont jusqu'à se ridiculiser en dansant devant caméra pour SÉDUIRE la population !


VU ET LU DANS LE FORUM DE CONGODIASPORA. CECI N'ENGAGE QUE LE FORUM DONT QUESTION. (NDLR)

  Sad Sad Sad Sad Sad Sad

Mawa

Les danseurs devant ces généraux de pacotilles devaient être fusillés car tenant en mains la casquette du 100% Rais (tricheur) à moins que ce foutu inculte soit de connivence avec l'ennemi .
KOKAMWA Shocked Shocked Shocked



Je ne comprends pas pourquoi vous dites que ces gens doivent être fusillés, mais concernant le 100% Rais, j'ai encerclé un monsieur qui semble avoir un polo de 100% Rais, jusqu’à preuve du contraire.

Mais bon, nous on ne peut que remarquer ce contraste entre ces gens de 100% Rais qui sont très à l'aise et la vérité des urnes. kie kie kie, bon après tout, pourquoi ne doivent-ils pas être à l'aise, ne sont-ils pas tous des alliés?




J'ai dit qu'ils doivent être fusillés parce qu'ils portent des représentations de leur soit disant ennemi Kabila 100% Raïs qu'ils veulent à tout prix renverser, c'est comme si vous alliez saluer ce même Kabila avec des munyere ,des tee-shirt à l'effigie de Tshisekedi, j'ai été un peu excessif en disant qu'ils doivent être fusillés mais c'est frappant de voir les applaudisseurs de ces M23 arborer des images de leur ennemi numéro UN.


ET NKUNDA EN SON TEMPS DANSAIT AUSSI, MAIS APRÈS  ???


http://congodiaspora.forumdediscussions.com/t5649p1080-une-nouvelle-guerre-aigue-a-l-est

Afrique du Sud :







Le président sud-africain J. Zuma (à dr.), en compagnie de son
 homologue congolais, J. Kabila.© DRC Government/AFP

La visite de Joseph Kabila en Afrique du Sud a débouché sur un communiqué commun dans lequel Jacob Zuma s’engage, au côté de son homologue congolais, à œuvrer pour lutter contre "l’instabilité" dans l’est de la RDC. Dans le même temps, la province du Nord-Kivu a annoncé la fermeture nocturne de la frontière avec le Rwanda.
Jacob Zuma, le président sud-africain, et Joseph Kabila, son homologue congolais en visite à Pretoria, le 23 octobre, ont condamné « de la manière la plus ferme les forces impliquées dans la déstabilisation » de la République démocratique du Congo (RDC). Les deux chefs d’État ont profité de leur rencontre « pour étudier à fond l'instabilité persistante dans l'est de la RDC », indique un publié commun.

Kabila a même reçu l'assurance que Pretoria allait aider son pays dans la lutte contre l'Armée révolutionnaire du Congo (ARC), ex-M23 (Mouvement du 23 mars). « Les deux présidents s'engagent avec leurs gouvernements respectifs à contribuer aux efforts régionaux visant à aider le gouvernement de RDC à relever ce défi », indique le communiqué, qui clôturait un séminaire de travail où les deux chefs d'État étaient entourés d'une délégation importante de ministres et de hauts fonctionnaires. Puis la déclaration commune a été lue à la presse en anglais par la ministre sud-africaine des Affaires étrangères, Maite Nkoana Mashabane, et en français par son homologue congolais, Raymond Tshibanda.

Crimes de guerre
Les troubles actuels sont générés par la mutinerie, débutée en mai, d’anciens rebelles du Congrès national pour la défense du peuple (CNDP), intégrés à l'armée congolaise en 2009. Regroupés au sein de la rébellion armée du M23, rebaptisée ARC, les mutins estiment que Kinshasa n’a pas respecté les accords du 23 mars 2009, notamment parce que les ex-membres du CNDP se sont vu refuser l’accès à certains grades dans l’armée congolaise. Dans les territoires qu’elle contrôle, l'ARC a mis en place une véritable administration parallèle. Les civils sont les premières victimes du conflit, alors qu’Human Rights Watch (HRW) accuse les rebelles d’avoir commis plusieurs crimes de guerre.

Parallèlement, un rapport d'experts de l’ONU a mis en cause l'Ouganda et le Rwanda. Selon le document, les deux voisins de la RDC soutiendraient l'ARC. Mais les deux pays ont toujours nié catégoriquement toute implication dans le conflit.

Au cours de la visite de M. Kabila, un accord de coopération dans le secteur des hydrocarbures a également été scellé entre l'Afrique du Sud et la RDC. Les groupes Petrosa (The Petroleum Oil and Gas Corporation of South Africa) et Cohydro (la Congolaise des hydrocarbures) ont apposé leur signature sur le document. « Cet accord établira une coopération importante dans le domaine de la pré-exploration, de l'exploration, du développement et de la production d'hydrocarbures pour le bénéfice des deux pays », s’est félicité le communiqué conjoint.
(Avec AFP)


Fermeture nocturne de la frontière congolaise avec le Rwanda
Le gouverneur de la province instable du Nord-Kivu (est de la RDC), Julien Paluku, a ordonné, le 22 octobre, la fermeture de la frontière entre la RDC et le Rwanda chaque soir entre 18 heures et 6 heures. La décision s’applique à deux postes-frontières, qui relient la ville congolaise de Goma à celle, rwandaise, de Gisenyi. Le gouverneur n’a, pour l’heure, avancé aucun motif pour justifier cette fermeture.
La mesure concerne également à la ville frontalière de Bukavu, capitale du Sud-Kivu. Jusqu’alors close de 22 heures à 6 heures, la frontière l'est désormais à partir 18 heures.


Lire l'article sur Jeuneafrique.com : RDC - Afrique du Sud : Zuma déterminé à aider Kinshasa dans sa lutte contre l'ex-M23 | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique

mercredi 24 octobre 2012

La Belgique rappelle la RDC au respect des droits de l'homme

 



Le premier ministre belge bientôt en visite officielle au Congo pour palper du doigt la réalité dans ce domaine et dans bien d'autres

Vingt quatre heures après avoir été reçu par le ministre belge des Affaires étrangères Didier Reynders, Matata Ponyo a conféré hier mardi avec son homologue belge Elio Di Rupo, à Bruxelles.

Le premier ministre de la RDC a entretenu son homologue belge au sujet des préoccupations de l'heure de son gouvernement avant d'inviter ce dernier à séjourner pendant quelques jours dans son pays.

En réponse à son homologue congolais, le premier ministre belge s'est dit plutôt très préoccupé par la situation des droits de l'homme en RDC avant de déclarer qu'il acceptait volontiers l'invitation à venir dans ce pays lorsque son emploi de temps le permettra.

La situation des droits de l'homme !

S'agissant précisément d'une visite à effectuer en RDC, il y a lieu de rappeler que dans un communiqué publié par ses services le 4 septembre dernier, le premier ministre belge avait indiqué qu'à la lumière des relations historiques et profondes entre la Belgique et le Congo, il est préférable qu'un déplacement dans ce pays - lorsqu'il pourra être organisé - puisse s'étaler sur plusieurs jours afin de rencontrer les représentants des diverses sensibilités et la société civile et, le cas échéant, de pouvoir se déplacer dans différents endroits du pays.

Au moment où Matata Ponyo venait de rencontrer Elio Di Rupo, les membres de l'entourage immédiat de ce dernier et avec eux l'opinion publique belge se disaient très préoccupés par la situation des droits de l'homme en RDC en rappelant avec insistance l'assassinat, en juin 2010, du célèbre défenseur des droits de l'homme Floribert Chebeya Bahizire par des policiers congolais ainsi que la disparition de son chauffeur, Fidèle Bazana Edadi.

" C'est aussi une amélioration générale qui est attendue dans le domaine des droits de l'homme, d'abord par le peuple congolais ", a beaucoup insisté le premier ministre Di Rupo.

D'après le premier ministre belge, les efforts entrepris au niveau du parlement congolais, notamment en ce qui concerne la création d'une commission nationale de défense des droits de l'homme, doivent être poursuivis.
Evoquant par ailleurs la situation de guerre prévalant actuellement dans l'Est de la RDC, Di Rupo a qualifié celle-ci d'insupportable.

"Il faut y mettre un terme et alléger les terribles souffrances des populations concernées", a conclu le Premier ministre belge.

Sous la servitude économique du Rwanda

Tout en promettant que la Belgique aidera à maintenir cette question épineuse à l'agenda international où, trop souvent hélas, une crise en chasse l'autre, le premier ministre belge a rappelé que les amis du peuple congolais attendent également du gouvernement de Kinshasa un effort " déterminé " pour promouvoir l'Etat de droit sur l'ensemble de son territoire et une réforme efficace du secteur de la sécurité à laquelle la Belgique participe déjà.

Comme pour conclure ses propos sur différents sujets abordés en rapport avec la situation en RDC, le premier Ministre belge a indiqué qu'il y a nécessité de garantir la participation effective de l'opposition dans la pratique d'une vraie démocratie dans ce pays.

Ainsi qu'on peut le constater, Elio Di Rupo est aux antipodes de son ministre des Affaires étrangères qui a parlé à Matata Ponyo des choses qui ne pouvaient que lui plaire et sur un ton bon enfant !

En effet, en s'entretenant avec le premier ministre congolais, Didier Reynders a abondamment parfumé son interlocuteur de l'eau de Cologne sortie de sa fabrique en parlant notamment des progrès réalisés par son gouvernement dans le domaine économique qui restent très discutables pour les Congolais.

L'homme qui a réalisé de formidables performances économiques dans son pays (sic !) ne s'est pas empêché d'écouter les éloges de son interlocuteur au lieu de l'arrêter en lui demandant de l'aider à donner une base nationale à l'économie de son pays dont plusieurs régions sont sous la servitude économique du Rwanda et de l'Ouganda, les deux agresseurs avérés de la RDC !

Kambale Mutogherwa

Kinshasa, 24/10/2012 (La Tempête des Tropiques/MCN, via mediacongo.net)


http://www.mediacongo.net/show.asp?doc=24413#

Interview de Paul Milambwe du 10 juillet 2012


Interview de Paul Milambwe du 10 juillet 2012









VOC- Lambert Mende: Déclaration de la famille Biologique du Major Paul Mwilambwe (Affaire Chebeya)


A vous de juger