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SACREBOPOL

mardi 20 septembre 2011

UNE FATWA CONTRE KABILA


Alors que des invitations à une nouvelle concertation politique à Addis-Abeba ont été lancées aux partis politiques RD-congolais, le trio est cité au centre d'un schéma qui n'exclut pas un attentat physique contre le chef de l'Etat en vue d'aboutir à un nouveau partage. 

C'est une info DigitalCongo.net. Mis en ligne le lundi 19 septembre 2011; l'article a les allures d'une alerte. «Point chaud : un complot d'une fatwa contre Kabila en marche», a titré le journal en ligne proche du pouvoir. 
C'est un véritable pavé. Le scoop coïncide avec la nouvelle des invitations à une concertation à Addis-Abeba, la capitale d'Ethiopie, lancées aux principaux animateurs des partis politiques inscrits dans la course aux élections prévues le 28 novembre prochain. Le schéma avait déjà été suggéré et soutenu en mai 2011 par l'ONG International Crisis Group -ICG-, évoquant le risque d'organiser les élections dans l'urgence et recommandant au Pouvoir et à la Majorité le report pur et simple des scrutins. 
Cinq mois plus tard, on reparle du report, on distribue des cartons aux partis politiques. DigitalCongo.net trouve une explication à ce schéma: «... L'opposition, ayant accumulé déboires sur déboires, cherche aujourd'hui, après avoir échoué dans sa tentative d'obtenir le report des échéances électorales, et de parvenir à un consensus autour d'une candidature unique et, commune à l'élection, présidentielle, à jouer le tout pour le tout, jusqu 'à envisager d'attenter à l'intégrité physique du chef de l'Etat». 
Le mot est presque lâché: attentat. Personne visée : Joseph Kabila, le Président de la République candidat à sa propre succession. L'auteur décrit même le scénario: «Certains sources renseignent que des contacts seraient déjà pris dans ce sens avec des pays voisins généralement mêlés à ce genre de complot. Cette démarche consisterait à provoquer le chaos par la disparition de l'actuel chef de l'Etat, lequel susciterait le recours à la disposition constitutionnelle relative à la vacance à la Présidence de la République. 
Pour les tenants de cette option, la voie des urnes ne serait plus rassurante». L'auteur voit dans les émeutes des 1er et 6 septembre derniers les signaux de la mise en place d'un Plan destiné à faire échec au processus électoral, le Plan B. Ses principaux instigateurs et bénéficiaires : un transfuge du MLC connu pour éternel quémandeur du poste de Premier ministre et deux dissidents de la Majorité qui viseraient le perchoir de l'Assemblée nationale et le portefeuille des Affaires étrangères. Il ne faut pas un dessin pour identifier ces comploteurs. A la simple analyse du texte, les noms de Kamitatu, Kamerhe et Mbusa transparaissent. Et DigitalCongo.net de faire une relation entre la fatwa et le ralliement à l'opposition de Kamerhe et Mbusa, tous deux candidats présidents de la République. 
Alors qu'il se limitait jusque-là à savonner l'entourage du Président de la République, l'ancien président PPRD de l'Assemblée nationale a décidé de franchir le Rubicond en réservant une attaque, virulente à Kabila dont il a vertement critiqué le bilan. Reste que le speaker du Sénat, Léon Kengo wa Dondo, celui-là qui pourrait directement bénéficier des effets du coup, n'est pas cité. La position de Kabila face à la suggestion d'ICG est connue: pas question de reporter les élections. Pas non plus question de ramener la RD-Congo huit ans en arrière. 
Ci-après, l'intégralité de l'article de DigitalCongo.net.

 Natine K 
Des sources font état des contacts pris dans certains milieux de l’opposition en débandade devant l’échec entrevu de sa tentative d’obtenir le report des échéances électorales, et de parvenir à un consensus autour d’une candidature unique et commune à l’élection présidentielle, en vue de faire basculer le pays dans la violence, jusqu’à envisager, dans un fatidique schéma du chaos, d’attenter à l’intégrité physique du Chef de l’Etat
L’actualité politique en RDC est encore dominée par la sortie spectaculaire et réussie de la Majorité Présidentielle. Toutes les conversations tournent encore autour du discours du Président de la République sur son bilan. Pour les uns, c’est un coup de maître par le Chef de l’Etat qui a réussi non seulement à fixer l’opinion sur les acquis indéniables de son action à la tête du pays, au cours des cinq dernières années, mais encore à apporter la réplique appropriée aux attaques de ceux qui, selon ses propres dires, voient la nuit en plein jour. Pour d’autres, n’ayant rien ou pas grand-chose à lui reprocher, ils ont préféré se rabattre sur les détails protocolaires.

En tout cas, pour tout observateur averti de la vie nationale, le décor planté pour les élections est irréversible.
Il reste cependant que l’opposition, ayant accumulé déboires sur déboires, cherche aujourd’hui, après avoir échoué dans sa tentative d’obtenir le report des échéances électorales, et de parvenir à un consensus autour d’une candidature unique et commune à l’élection présidentielle, à jouer le tout pour le tout, jusqu’à envisager d’attenter à l’intégrité physique du Chef de l’Etat.

Certaines sources renseignent que des contacts seraient déjà pris dans ce sens avec des pays  voisins généralement mêlés à ce genre de complot. Cette démarche consisterait à provoquer le chaos par la disparition de l’actuel chef de l’Etat, chaos qui susciterait le recours à la disposition constitutionnelle relative à la vacance à la Présidence de la République. Pour les tenants de cette option, la voie des urnes ne serait plus rassurante.

A ce jour, tout serait déjà mis en place pour faire échec au processus électoral en cours, comme le  montrent, du reste, les différents troubles suscités ici et là, notamment ceux des 5 et 6 septembre 2011 à Kinshasa.

Avec la situation ainsi créée, le schéma consisterait à réunir les conditions d’un partage de pouvoir entre les comploteurs. La Primature serait ainsi confiée à un transfuge du MLC connu pour éternel quémandeur du poste.  Les charges de Président de l’Assemblée nationale de « la transition » et  de Ministre des Affaires étrangères seraient confiées à deux personnalités politiques ressortissantes de l’ancien foyer électoral du Chef de l’Etat. Ce qui justifierait les dernières défections en date au sein de la majorité au pouvoir et le repositionnement des comploteurs dans l’opposition.

Les Congolais ne sont pas dupes. Ils se souviendront des nombreux sacrifices qu’ils ont consentis sous l’impulsion de Joseph Kabila pour l’aboutissement heureux du processus de la démocratisation de la RDC et de la fin de la crise de légitimité. Il est utile de rappeler que le Chef de l’Etat et le peuple congolais se sont investis pour des élections crédibles, transparentes et apaisées, et qu’ils n’entendent pas souscrire à un autre schéma qui remettrait le pays à la case départ.

MMC

1 commentaire:

  1. Voici quelques commentaires des lecteurs de 7sur7.cd

    Mwana congo 20-09-2011 12:57
    digital congo

    Esperons que vs allez accorder un droit de réponse aux gens que vs venez de citer
    trop c'est trop
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    0 #2 pas vrai 20-09-2011 12:24
    eh bien chers congolais, quand nous lisons cet article, on ne trouve des preuves tangibles pour parler d´un attentat ou que les gens cités sont á la base de cet attentat...de ma part, je vois que cet article n´est pas fondé, Digital a manqué quoi dire et il veut salire nos amis qui ont quitté le groupe de la Mafia MP. tout ce qui est écrit ici c´est du mensonge...cet article manque d´arguments pour convaincre les lecteurs. au moins un illetré ou debil mental peut accepter ce que Digital avait écrit et ce qui est écrit dans cet article. chers MP-Digital Congo, si vous manquez quoi écrire pour plaire á Kabila, veuillez vous taire...plus, vous écrivez du mensonge, plus vous éloignez des lecteurs et vous manquerez de crédibilité.
    -vous mentez comme votre Kabila a menti avec son bilan positif et des chiffres chimériques.vous êtes les mêmes...
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    0 #1 hugoblaise 20-09-2011 12:08
    Ce sont de resortissants du PPRD c.à.d ils dérangent la majorité presidentielle non la vrai opposition groupe fatima dit B52. Tala bango na bango bakomi kosuana eye mabé. Ingeta.
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