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jeudi 26 décembre 2013

PARIS : Joseph Kabila de son vrai nom, Hippolyte Kanambé est accusé d´imposture

À LA UNE POLITIQUE— 11 décembre 2013



Paris: Un Congolais « Chucquto Mandungu Nsengibiembe » arrête la voiture officielle de Joseph Kabila à la place de l’Opéra pendant 1’45 secondes. Ancien militaire et trafiquant des minerais Chucquto Mandungu Nsengibiembe connaît Hippolyte Kanambé alias Joseph Kabila personnellement. En effet, lorsqu’il se rendait à Dar-es-Salam en Tanzanie pour vendre son or et ses diamants, c’est Hippolyte Kanambé qui le conduisait. Il était son chauffeur de taxi. 

C’est pour la première fois que les quotidiens français notamment le Monde et le Parisien parlent des Congolais en terme des « Combattants »! Les 79 congolais anti-kabila interpellés à cause de l’intifada contre la voiture officielle de Joseph Kabila le vendredi 6 décembre ont tous été libérés le jour même, contrairement à ce que les médias coupagistes instrumentalisés de Kinshasa ont annoncé : ils vont être extradés au Congo. D’autres ont continué à rêver debout poussant l’imagination trop loin: les « Combattants » ont bénéficié de la magnanimité de l’imposteur qui a demandé au président François Hollande de les relâcher. La France n’est pas une république bananière: pourchasser un imposteur, usurpateur, dictateur n’est encore un crime !

Le vendredi 6 décembre vers 10h le cortège de Joseph Kabila quitte l’hôtel InterContinental Paris Le Grand sise au 2 Rue Scribe, Opéra – Haussmann, 75009 pour son rdv avec Abdou Diouf à l’OIF. Un congolais le dénommé Chucquto Mandungu Nsengibiembe la trentaine bien sonné parvient à stopper le voiture officielle de Joseph Kabila.


Il demande au chauffeur de couper le moteur du véhicule. Le chauffeur s’exécute et demande qu’on baisse la glace fumée du côté de Joseph Kabila. Les policiers sont sur les dents ! L’homme n’est pas armé mais ne tient dans ses mains que le drapeau de la République Démocratique du Congo. Il dit aux officiers de sécurité qu’il est congolais et qu’il veut parler à Joseph Kabila Kanambé. Pendant une minute quarante cinq secondes, Chucquto Mandungu Nsengibiembe dit à Joseph Kabila Kanambé qu’il doit quitter le pouvoir puisqu’il n’est pas congolais et lui montre la cicatrice de la plaie qu’il garde encore à la main gauche. L’officier de sécurité, une femme, demande si elle peut s’approcher, le congolais dit qu’il n’est pas violent mais Joseph Kabila Kanambé n’est pas son président, il n’est qu’un imposteur et usurpateur. Il exhibe la cicatrice de sa main gauche. Les touristes et badauds présents applaudissent le Congolais qui se laisse embarquer par la police.


C’est en quittant l’OIF que la voiture de Jo ka a subi l’intifada et il y a eu 79 congolais interpellés. Ancien militaire et trafiquant des minerais Chucquto Mandungu Nsengibiembe connaît Hippolyte Kanambé alias Joseph Kabila personnellement. En effet, lorsqu’il se rendait à Dar-es-salem en Tanzanie pour vendre son or et ses diamants, c’est Hippolyte Kanambé qui le conduisait. Il était son chauffeur de taxi.


En 2000, à Kintambo Magasin à Kinshasa, alors que Chucquto Mandungu Nsengibiembe prend son verre au Nganda Bitshilux, il croise et reconnaît Hippolyte Kanambé qui a depuis changé de nom, il se nomme Joseph Kabila, il est chef d’Etat-major de FAC-Forces Armées Congolaises. Alias Joseph Kabila qui feint de ne pas le reconnaître est surpris de voir arriver un jeune qui lui annonce que « Chucquto » l’a salué. Joseph Kabila envoie ses gardes du corps qui vont chercher « Chucquto » l’ont entraîné dehors. Joseph Kabila a pris une bouteille de Primus l’a cassé sur la jante de sa jeep, avec les tessons lui a ouvert tout l’avant bras. Malgré ses cris de douleurs, les badauds n’ont pas pu intervenir.

Ce qui s’est passé le vendredi dernier matin non loin de la place de l’opéra, c’était les retrouvailles entre deux personnes qui se connaissent bien. Une vraie affaire d’hommes. Lorsque nous rencontrons « Chucquto » à Château-Rouge, il nous rassure qu’il a agi tout seul et il n’a pas été aidé dans sa démarche. Contrairement aux mensonges étatiques clamées par les Vuvuzélateurs à Kinshasa.

Lors du Sommet de l’Elysée, partout dans la ville de Paris, les combattants congolais, venus de différents pays d´Europe, ont pourchassé Joseph Kabila pour lui demander des comptes sur son imposture et usurpation ainsi que les 12 millions de morts congolais à l’Est de la RDC alors qu’il est 12 ans au pouvoir. Joseph Kabila est rentré à Kinshasa comme il était venu en catimini, n’ayant même pas eu le courage de rencontrer la communauté congolaise. D’autres chefs d’Etat élu démocratiquement comme Macky Sall du Sénégal a pu dialoguer avec des Sénégalais de France.

Freddy Mulongo

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