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SACREBOPOL

vendredi 3 février 2012

L'article qui dit que Kabila est de retour a Kinshasa apres isolement


L'article qui dit que Kabila est de retour a Kinshasa apres isolement dans les provinces. "hum!!!!". Que cela veut dire?

1. On n'isole qu'un fou car il est dangereux. Un président normal ne doit pas etre isolé, ses déplacements sont officiels et annoncés a la nation. Il circula avec une presse qui communique officiellement la nation.

2. Même en vacances, nous avions vu les photos de Obama en vacance a Honolulu, nous avions vu les images et vidéos de Sarkozi en vacances aux USA apres son élection. Pourquoi cacher les images de Kanambe apres sa victoire?

Il n'y a pas de fumée sans feu.

Kabila abandi koyemba nzambo Bavon ayembaka :

 "Famille oyo motema mabe, bondoki ekoma mosala,, muana moke lokola nga, bokundeli nga maseke ya meme liboso ya palais de la nation, kanda ya nini ba congolais, po na trichaki na ba elections, bo buakeli nga maladi ya liboma po na lataka ba montres mibale, ..."


http://www.facebook.com/photo.php?fbid=2594437823431&set=a.1642067694773.2078788.1329262720&type=3&theater

JETE A MAKALA SANS MOTIF VALABLE :

Image d'archiveImage d'archive
L'arrestation suivie de la détention de CHALUPA vient remettre sur la sellette la question de la nationalité congolaise qui a été l'un des prétextes du déclenchement de la guerre de l'AFDL en 1996. Un prétexte né du fameux rapport de la commission VANGU Mabweni qui avait fait croire aux populations congolaises d'origine rwandaise que leur nationalité leur avait été retirée par une lecture sélective de la loi sur la nationalité de 1981. 

Au-delà de cela, l'affaire CHALUPA revient sans le savoir sur une crise qui avait éclaté tout au début de cette législature finissante avec le rejet de la candidature du député national du MLC, en l'occurrence Alex KANDE Mupompa sur la liste des candidats gouverneurs pour la province du Kasaï Occidental, au motif qu'il détenait la nationalité belge. 

A l'issue d'une séance plénière fort houleuse dans l'hémicycle de la Commune de Lingwala, José MAKILA, député du MLC pour la circonscription de Gemena sortira de ses gongs pour déclarer du haut de la tribune de la salle des Congrès qu'il allait rendre publiques des listes de hautes personnalités politiques, militaires, judiciaires et autres détenant aussi des nationalités étrangères. 

Ces déclarations provoquèrent un véritable Tsunami dans le microcosme politique et certains noms d'hommes politiques exerçant des hautes fonctions dans les institutions de la République commencèrent à circuler sous le manteau à travers la capta le. Le bureau de l'assemblée nationale présidée à l'époque par Vital KAMERHE suspendit les travaux de la session ordinaire convoqua une réunion spéciale à laquelle prirent part les présidents des groupes parlementaires fraîchement installés en vue de débattre sur cette affaire fort délicate. La solution trouvée fut de nature politique car elle aboutit à une formule alambiquée d'un moratoire sur la nationalité congolaise pour permettre à tous ceux qui détenaient des nationalités étrangères de se mettre en règle avec la loi congolaise sur la nationalité qui est proclamée une et exclusive. Le calme revint au Palais du Peuple mais ce moratoire court encore alors qu'il devait être limité, à trois mois. 

Deux poids deux mesures 

Tous ceux qui détenaient d'autres nationalités étrangères n'ont jamais été appréhendés ni jetés à la prison de Makala comme c'est le cas aujourd'hui de l'infortuné CHALUPA qui a été arrêté comme un malfrat par des éléments de la Police d'intervention Spéciale devant son bureau de travail à Kingabwa. Preuve s'il en faut une que cette affaire sent un chantage éhonté à caractère politique sur un homme à cause de ses couleurs politiques tout au long de cette campagne électorale. On sait à ce sujet qu'un des hauts responsables du Parquet Général près la Cour d'Appel de la Gombe avait été dénoncé de détenir la nationalité belge. Il prit la fuite via Brazzaville et retourna au pays après avoir renoncé à cette nationalité et cela sans en apporter la preuve. Il a repris sa place parmi les hauts magistrats du Parquet Général de la République et vient de se présenter aux élections législatives du 28 novembre dernier sans être inquiété le moins du mode. Des cas de ce genre sont légion car il en existe jusque dans d'autres institutions de la République et beaucoup d'entre eux n'ont jamais renoncé à leurs nationalités étrangères. Il y a deux an, un député membre du MLC avait été condamne par la justice du Rwanda pour abus des biens sociaux. Cette affaire provoqua un débat houleux à l'assemblée nationale qui se termina en eau de boudin lorsque les autorités rwandaises répondirent par voie officielle que cette personnalité détenait la nationalité rwandaise. Cet homme continue à croupir dans les geôles du Rwanda où il purge sa peine de six ans de prison ferme. Ses biens meubles et immeubles ont été confisqués par la justice de ce pays voisin de l'Est sans que la RDC ne lève le moindre petit doigt.

C'est l'accusation qui apporte la preuve de l'infraction.  

Selon les avocats de l'infortuné CHALUPA, le Parquet Général de la République ne dispose d'aucune preuve de l'infraction de la détention frauduleuse de la nationalité à charge de l'incriminé. M. CHALUPA a déposé sa carte d'électeur et ses passeports diplomatique et ordinaire qui jusqu'à preuve du contraire constituent les seules preuves de la détention de la nationalité congolaise. Dans ces pièces, il est établi que l'infortuné est né en 1948 à Uvira dans le Sud-Kivu et conformément au principe du « jus solis » ou droit du sol, CHALUPA est congolais d'origine comme Joseph KABILA et Etienne TSHISEKEDI. Car la nationalité congolaise repose sur deux principes fondamentaux, à savoir le « jus solis » et le « jus sanguinis », ou le droit du sol et le droit du sang. C'est le cas particulièrement de NAZEM et STAVROS PAPAIANOU, deux hommes d'affaires célèbres nés au Katanga en RDC des parents étrangers et qui n'ont jamais été inquiétés. En clair, comme le dit le principe de droit commun, à savoir « auctor incumbit probatio » ou l'administration de la preuve incombe à l'accusateur, il revient au Parquet Général de la République d'apporter les preuves de ses accusations et non le contraire. Faute de quoi, l'organe de la loi doit remettre l'infortuné en liberté.

Toute honte bue et visiblement agissant sous la dictée d'une main noire tapie dans l'ombre, et sans en apporter la moindre preuve, le Parquet Général de la République s'acharne sur cet homme pour l'obliger à accepter qu'il est né à Bujumbura au Burundi, ont déclaré les avocats de CHALUPA. On n'est pas encore sorti de l'auberge des violations des lois de la République qui sont pourtant imposables et opposables à tous sans distinction.

 F.M

Grande marche à stockholm


16 février 2012 : grande marche des Congolais de la suède pour dénoncer l’injustice, la dictature et le hold up électoral dans le pays de kimbangu, de Lumumba, et de Kasa-Vubu.
Contactez :  +46 70 871 66 92

RD CONGO: Oscar KASHALA LUKUMUENDA,


jeudi 2 février 2012

MENTEZ, MENTEZ, IL EN RESTERA TOUJOURS QUELQUE CHOSE!

Joseph Kabila de retour à Kinshasa !




Le Raïs a été aperçu ce mercredi 25 janvier 2012 au volant de sa jeep, sur l’avenue de La Libération, ex 24 novembre.
Devant présider une cérémonie d’échanges de vœux avec le corps diplomatique accrédité en RDC, le Président Joseph Kabila est donc de retour à Kinshasa, la Capitale, après s’être ‘‘éclipsé’’, mettant ainsi fin aux folles rumeurs entretenues par la radio trottoir. Probablement, apprend-t-on des sources fiables, ces échanges de vœux vont intervenir avant la fin de ce mois de janvier en cours. Il faut dire que, certains Ambassadeurs, Chefs des missions diplomatiques et Représentants des organisations internationales n’attendent que cette cérémonie d’échanges de vœux se tienne pour pouvoir prendre leurs vacances ou se déplacer par rapport à leurs agendas. D’après certaines indiscrétions, il est prévu, au cours de ces solennités, que le doyen du corps diplomatique, M. Ferdinand Massala Malonga, l’Ambassadeur du Gabon prononce un discours, dans lequel il va présenter les vœux de ses pairs au Président Kabila.
Aussi, il convient de dire que le Président Kabila recevra, toujours au cours de ce mois, les vœux du corps constitué de la République et en profitera pour souhaiter à son tour ses vœux. Il faut dire qu’il n’y a pas que les échanges de vœux. Le Président Kabila recevra aussi Hervé Landsous, le Secrétaire Général Adjoint de l’ONU chargé des Opérations de maintien de la paix qui, est à Kinshasa, en visite officielle. Enfin, après un long moment d’absence dans la capitale kinoise, Joseph Kabila Kabange est de retour.
Désormais, sans repos, il doit s’occuper de beaucoup de tâches qui l’attendent sur sa table. Cependant, avec son retour, ça ne saurait tarder sans que la cérémonie d’échanges de vœux avec les Ambassadeurs et Chefs de Missions diplomatiques ne soit organisée. Selon certaines indiscrétions, les Ambassadeurs, du moins parmi ceux qui doivent se déplacer, n’attendent que ces solennités pour bouger. Toujours à propos, les dispositions seraient déjà prises pour que Ferdinand Massala Malonga, l’Ambassadeur du Gabon et Doyen du corps diplomatique lui présente les vœux au nom de ses collègues. Par la même occasion, il est prévu, selon notre source, que le corps constitué de la République lui présente ses vœux, avant que lui aussi ne le fasse. La réception d’Hervé Ladsous Le Secrétaire Général de l’ONU en charge des Opérations de maintien de la Paix, le Français Hervé Ladsous qui est à Kinshasa pour s’entretenir avec les membres du Gouvernement et les représentants de la classe politique congolaise, sera aussi reçu par le Président Kabila.

Fini les folles rumeurs. Le silence, mieux l’‘‘éclipse’’ du Raïs a laissé libre à la radio trottoir. Son apparition, au volant de sa jeep, ce mercredi sur l’avenue de la Libération, ex 24 novembre, a coupé court à toute sorte de spéculations.

Ndlr:

Depuis que Joseph Kabila a été aperçu au volant de son véhicule le 25 janvier dernier, il n'a plus été aperçu ailleurs alors qu'il avait un agenda chargé pour la fin du mois.
Comment un Chef d'État doit-il être "aperçu" au lieu d'être "vu" par son peuple? Devons-nous à présent nous poster dans différents coins de rues pour l'apercevoir alors qu'il a le devoir d'être vu non pas au volant de sa voiture mais dans son bureau, vacant à ses occupations.

Les ambassadeurs qu'il devrait rencontrer pour leur présenter les voeux pour l'année nouvelle attendent toujours cette cérémonie qui probablement aura lieu en mars ou avril, une première dans les anales. 

Hervé Ladsous, en visite en RDC depuis le 24 janvier qui attendait d'être reçu par le "Raïs avant la fin janvier, doit à présent s'impatienter et il ne serait pas surprenant qu'on nous dise qu'il serait déjà reparti sans avoir rencontré le "guide" congolais.

Le Corps Constitué Congolais pour qui l'État congolais n'a pas de respect doit être ainsi servi à cause de sa complicité et sa passivité.

Que cache finalement cette disparition institutionnalisée et voulue par le Pouvoir de Kinshasa?
Joseph Kabila, avec sa grande capacité d'écoute vient de mettre à jour une autre compétence: Il devient le Chef de l'État invisible: FANTOMAS!

Zemi ya mwasi babombaka yango te po na suka, ekobima kaka na miso ya batu.