Les
congolais accepteront-ils encore un autre gouvernement de transition
?..CONGOMIKILI
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mercredi 9 octobre 2013
Ndeko Elyezer : Concertations eko mema élection na 2022 (RDCONGOINFOS)
Ndeko Elyezer :
Concertations eko mema élection na 2022 (RDCONGOINFOS)
Bientôt une rencontre entre Joseph Kabila et Etienne Tshisekedi?
Le chef de la maison civile de Joseph Kabila rencontre Etienne
Tshisekedi
http://radiookapi.net/actualite/2013/10/09/rdc-le-chef-de-la-maison-civile-de-joseph-kabila-rencontre-etienne-tshisekedi/
Le chef de la maison civile du chef de l’Etat
congolais, Théodore Mugalu, a rendu visite à l’opposant Etienne Tshisekedi le
mardi 8 octobre à Kinshasa. Rien n’a filtré de leur entretien qui s’est déroulé
pendant une demi-heure à huis clos.
Interrogé par Radio Okapi, Augustin
Kabuya, porte-parole adjoint de l’Union pour la démocratie et le progrès Social
(UDPS), parti d’Etienne Tshisekedi, dit également ignorer le contenu des
discussions entre les deux personnalités.
« Je vous le confirme la
rencontre a bel et bien eu lieu entre Etienne Tshisekedi et l’envoyé de M.
Joseph Kabila. Je n’étais pas associé à l’entretien mais je sais que la
rencontre a eu lieu à huis clos », affirme-t-il.
UN ÉMISSAIRE DE KABILA CHEZ
TSHISEKEDI

http://lepotentielonline.com/site2/index.php?option=com_content&view=article&id=3267:un-emissaire-de-kabila-chez-tshisekedi&catid=85:a-la-une&Itemid=472&lang=en

L’après
concertations nationales se déclinerait-il déjà autrement ? Entre Kabila et
Tshisekedi, des passerelles se mettent en place. Même s’il serait hâtif de
parler de dégel, le passage confirmé de l’ambassadeur Mugalu la 10 ème rue est un
signe qui ne trompe pas. Le chef de la Maison civile du président Kabila est
resté pendant de longues heures avec le sphinx de Limete.
A la sortie de
cette audience, il n’y a eu aucune déclaration faite à la presse. Les proches du
lider maximo sont peu bavards à ce sujet. Ils confirment l’information sans
donner d’autres détails sen imitant à confirmer que les deux hommes « ont eu un
échange ».
Les
portes de la résidence du président Tshisekedi qui s’ouvre à un émissaire du
président Joseph Kabila, le chef de la Maison civile du chef de l’Etat est
plutôt porteur d’espoir en cette période de la recherche de la cohésion
nationale, après la levée des barrières autour de la résidence du président de
l’UDPS. Il va de soi que les deux hommes ont abordé la question de la cohésion
nationale après les assises des Concertations nationales dont les appréciations
diffèrent notamment selon que l’on est proche de Limete ou de Kingakati.
Le
président Kabila qui négocie l’ensemble des échéances qui se présente à la
République, à savoir l’inévitable guerre pour libérer totalement le territoire
national de l’emprise rwandaise, les élections à venir, … sont autant de sujets
pour lesquels les deux personnalités ont intérêt à aborder en vue de faire
bénéficier au pays des bienfaits d’un tacite consensus minimal. Ces passerelles
devraient se multiplier entre principaux acteurs et leaders. Elles permettent
des avancées au-delà des grand-mess comme les concertations nationales et
autres.
L’initiative est saluée par tous les Congolais soucieux d’aboutir à
une réelle cohésion entre toutes les opinions et dynamiques du pays. D’autres
par contre estiment que ces contacts seraient plutôt réguliers. Le professeur
Philippe Biyoya en ce qui le concerne estime que « La concertation avait pour
finalité la cohésion nationale. Nous sommes des frères voire des adversaires,
dans la recherche de la paix sociale, la prise en charge des frustrations des
uns des autres est nécessaire si l’on veut aller dans le sens de l’apaisement.
Nous avons l’obligation de gérer nos différences ».
La traversée annoncée de
Denis Sassou Nguesso pour participer au Congrès que le chef de l’Etat pourrait
convoquer ce jeudi, sauf changement de dernière minute, ne serait pas étrangère
à cette visite insolite de Mugalu.
L’ambassadeur Mugalu, chef de la Maison
civile du chef de l’Etat, doit avoir balisé la voie à quelque chose que
l’opinion connaitra bientôt. Des annonces spectaculaires ne sont pas à écarter à
ce stade.
http://lepotentielonline.com/site2/index.php?option=com_content&view=article&id=3267:un-emissaire-de-kabila-chez-tshisekedi&catid=85:a-la-une&Itemid=472&lang=en
Le dialogue national a échoué
Le dialogue national a échoué
INTERNATIONAL L’espace politique de Kabila ne s’en trouve pas élargi, juge le Pr Jean Omasombo.
Congo-Kinshasa Entretien Marie-France Cros
Avec une semaine
de retard, les concertations nationales voulues par Joseph Kabila, pour
"rétablir davantage la cohésion nationale" (voir "La Libre" du 4 septembre), se
sont terminées samedi. Lors de la cérémonie de clôture, le chef de l’Etat a
annoncé qu’il convoquait pour jeudi un Congrès des deux assemblées du Parlement
pour débattre de projets de loi fondés sur les recommandations des participants
au dialogue national, qui n’ont pas été rendues publiques. "Je vais soumettre ce
rapport et réunir les deux Chambres pour montrer au pays ce qui a été accompli,
afin que nous avancions sur ces mesures importantes", a-t-il dit, sans donner
plus de détails.
Rappelons que les dirigeants d’opposition, qui contestent la
validité de l’élection présidentielle de 2011, ont refusé de prendre part à ces
concertations. Nous avons demandé au politologue Jean Omasombo (Musée d’Afrique
centrale de Tervuren et université de Kinshasa) d’analyser les résultats de cet
exercice.
A quoi ont servi ces concertations ? Pas à
grand-chose, au vu des résultats, si ce n’est d’insister sur l’application de la
décentralisation, sur la création d’un gouvernement d’union nationale, sur le
rapatriement de la dépouille de Mobutu… La montagne a accouché d’une souris ?
Oui, parce que l’exercice était mal engagé. Dès avant l’ouverture de ce forum,
il y a eu une large opposition à ce qu’il aboutisse à modifier la Constitution,
parce qu’en juin dernier, le secrétaire général du parti présidentiel, Evariste
Boshab, avait publié un livre plaidant dans ce sens. Cela avait été compris
comme une préparation à l’autorisation, pour le chef de l’Etat, de briguer un
troisième mandat. Joseph Kabila a été, du coup, obligé de mettre ce point de
côté. Mais il a refusé de promettre, comme le demandait l’opposition pour
participer aux concertations - qu’elle a finalement largement boycottées - qu’il
n’y aurait pas de modification dans ce sens. C’est vrai, mais il n’a pas non
plus plaidé en sa faveur, alors qu’il n’aurait pas pu argumenter sur le thème :
la Constitution actuelle a été dictée dans un contexte de sortie de guerre qui
n’est plus de mise aujourd’hui.
Le coprésident des concertations, Léon
Kengo, a, lui, créé la surprise en annonçant que le forum se terminerait par la
formation d’un gouvernement d’union nationale… Il voulait montrer à Kabila qu’il
pouvait attirer dans l’orbite de la majorité présidentielle une partie au moins
de l’opposition. Il l’avait déjà fait en 1993-1994, et était parvenu, ainsi, à
prolonger le pouvoir de Mobutu. Mais seul le parti de Bemba a accepté. Cette
preuve de charisme se serait ajoutée à son autorité - élément qui manque dans le
camp Kabila - et au fait qu’il est écouté par la communauté internationale. Mais
sa proposition a provoqué la panique dans le camp présidentiel et au Katanga
(NdlR : province d’origine du Président), qui craignent que Kengo, plus rusé et
près de quarante ans plus vieux que Kabila, arrive à lui ravir le pouvoir et à
déplacer son centre vers l’Ouest.
Donc, au total, Joseph Kabila se
retrouve, après les concertations, au même point qu’avant. Il doit trouver
comment concrétiser la décentralisation prévue par la Constitution, alors qu’au
Katanga, le président de l’Assemblée provinciale, Gabriel Kyungu, a déjà refusé
celle-ci si l’accroissement prévu des ressources provinciales (NdlR : 40 % des
rentrées retenues à la source) ne l’accompagne pas. Il doit aussi changer son
gouvernement de technocrates - mais qui choisir comme Premier ministre ?
Reconduire Matata ? Prendre Kengo ? Ce serait se mettre en danger. Et l’ancien
gouverneur de la Banque centrale, Jean-Claude Masangu, aujourd’hui "chômeur",
réclame le poste au nom des Lubakat (Luba du Katanga) et du Katanga. Choisir le
Kasaïen Boshab, parce qu’il dirige le PPRD, parti du Président et officiellement
le plus important ? Le choix n’est pas évident…
Bref, la patate
chaude est à nouveau dans les mains du chef de l’Etat. Joseph Kabila est donc
dans une impasse ? Les concertations ne l’ont pas aidé - et pas à cause de
l’opposition. Il voulait élargir son espace politique, ce qu’il n’a pas obtenu.
Aujourd’hui, il n’a plus d’excuses. Il ne peut plus se retrancher derrière sa
jeunesse, sa virginité politique et l’espoir d’une démarcation par rapport à la
gestion de ses prédécesseurs. Depuis son élection en 2006, il peine à se trouver
un style, une apparence, un langage. Il ne possède pas la verve oratoire pugnace
et persuasive d’un Lumumba, ni le charisme et l’autorité d’un Mobutu ni la
richesse supposée d’un Tshombé. Ce n’est donc que par son action politique qu’il
devrait être reconnu. Maintenant, il doit se décider."
mardi 8 octobre 2013
Déclaration politique des partis, groupes parlementaires et députes nationaux ayant dit non aux concertations nationales
Déclaration politique des partis, groupes parlementaires et députes nationaux ayant dit non aux concertations nationales

Nous, dirigeants des partis politiques, Groupe parlementaire
et Députés nationaux ayant refusé de participer aux concertations
nationales,
•Attachés au respect de la Constitution, aux lois de la
République et aux valeurs républicaines,
•Attachés – à la défense de la
Démocratie, des Droits humains et des intérêts vitaux de nos
compatriotes,
•Préoccupés par l’interminable guerre à l’Est du pays,
l’insécurité sur toute l’étendue du territoire national, l’absence de légitimité
de certaines institutions de la République et par les souffrances des
Congolaises et Congolais;
Après avoir suivi la clôture des concertations
nationales précédée par la lecture du Rapport synthèse reprenant les
recommandations issues de ces assises, déclarons ce qui suit :
1.Les
concertations nationales n’ont marqué aucune avancée réelle en rapport avec les
défis politiques, économiques, sociaux et les attentes de l’ensemble de la
population Congolaise.
2.Les Concertations nationales auront été l’occasion
donnée au Président KABILA d’identifier et de constituer sa nouvelle majorité
présidentielle préoccupée désormais par la mise en place d’un nouveau
Gouvernement en vue de satisfaire les appétits gloutons des impétrants qui ont
satisfait avec brio à l’examen d’admission à la nouvelle majorité présidentielle
par la voie des dites assises. De ce fait, aucune analyse approfondie sur les
causes profondes de la guerre à l’Est du pays incluant les complicités internes
n’a été faite. De même, les Concertations n’ont pas permis de mettre en
cohérence l’appui de la communauté internationale, les discussions de Kampala et
une approche interne crédible pour une sortie définitive de crise sécuritaire à
l’Est du pays.
3.La question de la légitimité du pouvoir a été superbement
escamotée par la nouvelle majorité présidentielle qui a manqué le courage
politique et l’occasion de rencontrer le Président Etienne TSHISEKEDI à cet
effet et exiger des élections crédibles et rapides des députés provinciaux en
vue d’arrêter la prise en otage du Sénat, des Assemblées provinciales et
Gouvernements provinciaux par des autorités illégitimes n’agissant depuis 2012
qu’en leurs propres noms sans devoir de recevabilité.
4.Quant au processus
électoral, les recommandations des concertations nationales ont laissé libre
court à des prolongations des délais par l’absence d’un agenda précis, d’un
chronogramme clair et des objectifs forts qui devraient traduire la volonté de
mettre fin à l’incertitude politique et à la crise de légitimité désormais
renforcée.
5.Au plan social, les Concertateurs sont restés muets et
incapables de proposer des réponses réelles aux préoccupations des Congolais
dans le domaine de l’emploi, de la santé publique, de l’enseignement, du niveau
minimum des salaires, du pouvoir d’achat ainsi que de la pauvreté qui touche 71%
de la population. De ce qui procède, les Partis politiques, Groupes
parlementaires et Députés nationaux membres de l’opposition signataires de la
présence déclaration.
1.Rejetons la demande faite par les concertateurs à la
CENI de décaler les élections des députés provinciaux dans le seul but de
prolonger les mandats des Gouverneures des provinces, des sénateurs, et de faire
bénéficier au Président Kabila un nouveau mandat.
2.Exigeons que soit
résolue, par le biais des élections provinciales, sénatoriales et des
Gouverneurs à organiser en urgence, la crise de légitimité du
pouvoir.
3.Constatons par ailleurs l’absence de cohésion nationale, étant
donné que le non règlement politique du contentieux électoral entre le Président
Tshisekedi et la nouvelle majorité présidentielle issue des concertations
nationales.
4.Exigeons du président Kabila et sa nouvelle majorité de mettre
définitivement un terme aux souffrances des Congolais victimes d’une guerre dont
les complices internes tardent à être démasqués.
5.Prenons à témoin le peuple
Congolais et mettons en garde la nouvelle majorité contre toute tentative de
coup d’Etat institutionnelle en vue de remettre en question les acquis
Démocratique chèrement obtenus par le peuple Congolais et parfois aux pris du
sacrifice suprême.
6.Demandons au peuple Congolais de se mobiliser comme un
seul homme en vue de barrer la route à toute forme d’imposture.
Fiat à Kinshasa, le 5- 10-2013
AFFAIRE SPOLIATION TERRAIN EX-PLZ: Diongo a battu Kimbuta avec méthode
AFFAIRE SPOLIATION TERRAIN EX-PLZ: Diongo a battu Kimbuta avec méthode


Le
député Franck Diongo Shaba, a battu le gouverneur de la ville de Kinshasa, André
Kimbuta Yango avec méthode et conviction dans l’affaire de spoliation du terrain
ex-PLZ de Lingwala. Le député a mis du temps, pour réunir tous les éléments et
documentation –preuves- qu’il faut pour démontrer à Kimbuta, que le terrain
ex-PLZ, qu’il avait vendu à un sujet chinois pour des intérêts purement privés,
est un domaine public de l’Etat ;
par conséquence, il ne peut ni être vendu ni être aliéné ni être
imprescriptible encore moins insaisissable. Car, il sert d’utilités publiques,
faisant parti du patrimoine public de l’Etat.
C’est ce que Diongo a
démontré également au ministre des Affaires foncières, Robert Mbuinga, qu’il a
cru, lorsque ce dernier lui a accordé une audience la semaine dernière dans son
cabinet. Avec le soutien et accompagnement total des natifs et habitants de la
commune de Lingwala –une dynamique- très déterminante à barrer l’action
spoliatrice du Gouv de Kinshasa, Diongo a fini par l’emporter en obtenant de
la part du ministre Mbuinga, la restitution du terrain à la population de l’ex
Saint-Jean. Le samedi 05 octobre, le ministre Robert Mbuinga, accompagné de
son collègue des Travaux Publics, Urbanisme, Habitat et Aménagement du
Territoire, Fridolin Kasheshi ; de Kimbembe Mazunga, conseiller principal du
chef de l’Etat chargé des infrastructures ; du number one de cinq chantiers,
Moïse Ekanga et du ministre provincial du Plan, ont effectué une descente au
terrain pour ordonner la démolition des constructions y érigées anarchiquement.
Une victoire méritée de Franck Diongo face au gouverneur Kimbuta –submergé par
des sales dossiers- que le président de la République, Joseph Kabila éloigne de
plus en plus de son cercle politique.
Diongo le redoutable rival de
Kimbuta à la prochaine course au gouvernorat
Cette première victoire de
Diongo au frontal face à Kimbuta a été portée et saluée avec allégresse par la
population, qui n’a pas arrêté ce jour-là d’ovationner le député le mieux élu
de la circonscription électorale de Lukunga. La voie de la raison a fini par
prendre le dessus sur celle de la mafia, scandaient quelques habitants venues
assister à la démolition des quelques constructions déjà érigées. Lors de
l’audience que Mbuinga a accordée à Diongo, il avait déjà annoncé que sur cette
affaire, il n’appliquera, la loi rien que la loi. Ce que Mbuinga a fait. En
effet, le gouverneur de la ville de Kinshasa n’a pas le pouvoir même pas la
compétence de vendre ou de distribuer des terres, contrairement aux gouverneurs
des autres provinces.
Ce que Kimbuta a fait n’est que de l’anarchie (Art.
183 code foncier). Par ailleurs, Robert Mbuinga s’adressant à la population, a
rappelé : «je suis venu au nom de l’Etat congolais avec toute ma délégation
officielle, vous restituer votre terrain, qui est un domaine public et ne peut
être ni vendu ni loti». Et de poursuivre : «je fais appliquer la loi, tel que je
l’avais promis lors de l’audience avec l’honorable Franck Diongo». Alors que
Mbuinga s’adressait à la population très attentive aux déclarations du ministre
des affaires foncières, un groupe informel de trois députés MLC notamment Roger
Nsingi –président de l’Assemblée provinciale de Kinshasa et ses deux collègues
William Canon et Jolino Makelele, étaient-là à chercher comment couvrir les
actes anti-patries d’André Kimbuta Yango. Ces trois élus MLC ont subi la colère
de la population, qui les a conspués. Ceux qui veulent prouver que Kimbuta a le
pouvoir soit de distribution ou d’affectation des terres ont tort. Ils ont tort
parce qu’en cette matière, c’est le ministre national seul qui a compétence.
D’ailleurs, même si le ministre national des affaires foncières a ce pouvoir,
il ne peut pas agir tant que le délai de six mois des procédures accordé en
matière de désaffection n’est pas épuisé. «Il fallait cette implication de
l’honorable Franck Diongo, pour que notre terrain nous soit restitué», a déclaré
un homme d’une quarantaine d’années. Les actions de Diongo en faveur de la
population de Kinshasa aujourd’hui placent le député à la dimension du véritable
challenger de Kimbuta à la prochaine course au gouvernorat de la capitale.
Diongo a les chances de l’emporter, si pas battre un homme qui traîne derrière
lui et dans ses tiroirs trop de casseroles et de sales dossiers.
SAMUEL MBUTA
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