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mercredi 10 juin 2015

Dialogue Kalev, Kimbuta et Muyej exercent des pressions sur les opposants






Dialogue Kalev, Kimbuta et Muyej exercent des pressions sur les opposants
























Secret de polichinelle : les consultations du Palais de la Nation conduite en personne par Joseph Kabila ont tourné court car les principales forces politiques n’y sont pas représentées. Du coup, l’image de Kabila a été sérieusement écornée, lui qui aime à être dépeint comme un « président rassembleur et consensuel ».
Pour trouver au Raïs une voie de sortie à l’impasse politique voie lequel il se trouve, le trio Kalev (patron de l’ANR), Kimbuta (le gouverneur de la ville de Kinshasa) et Muyej ((ancien ministre de l’Intérieur il y a peu) a été mis à contribution pour convaincre les récalcitrants.
 Ainsi, c’est une pression luciférienne que subissent les opposants de ce trio. Les principaux leaders de l’UNC, de l’UDPS et du MLC notamment, sont soumis à de fortes pressions. Leurs téléphones n’arrêtent pas de sonner. Chaque fois les mêmes personnalités pour plaider la même cause auprès des opposants : accepter le dialogue avec Kabila. Sauf que chat échaudé craint l’eau froide. Les dernières négociations politiques appelées Concerta-tions nationales d’il y a deux ans sont encore fraîches dans leur mémoire. Mais Kimbuta et consorts ne sont pas prêts à abdiquer malgré le refus des opposants comme Franck Diongo et Jean-Claude Vuemba. 
Ces trois personnalités proches de Kabila usent de tous les moyens pour convaincre les opposants réfractaires à l’initiative présidentielle de changer d’avis. Pour y arriver tous les moyens sont bons. Kalev, Kimbuta et Muyej usent de leurs liens d’amitié avec certains opposants pour les convaincre de changer de position. Selon nos informations, tous les opposants contactés sont restés fermes.
Il en faut plus pour décourager le Gouverneur de Kin¬shasa André Kimbuta qui selon nos sources a mis un zèle particulier à convaincre les opposants à rejoindre l’initiative de Kabila. Tout est bon pour que les opposants ne boycottent pas Kabila. Les bonzes de la Kabilie usent de tous leurs charmes : liens fraternels, amitiés et proximité qu’ils ont tissés avec l’une ou l’autre personnalité de l’opposition. Malgré cela les opposants ont tenu tête.
 Ces méthodes sont pour le moins immorales car en politique, il faut respecter la position des uns et des autres. L’activisme de ce trio est donc une perte de temps. Cette fermeté des opposants repose sur l’opinion populaire largement acquise au changement. Un mouvement qu’il faut accompagner au lieu de vouloir le contrôler. Au régime de comprendre que la seule carte entre ses mains pour se tirer d’affaires c’est de favoriser l’organisation des élections crédibles et constitutionnelles. Cela peut se faire sans les opposants courtisés qui par ailleurs ont déjà fait savoir ce qui les importait : le recadrage du processus électoral. Ils ne sont pas intéressés ni par un plan de partage du pouvoir ni par des négociations qui peuvent déboucher sur un glissement du mandat présidentiel dont la fin est plus que proche. Kalev, Kimbuta et Muyej, doivent cesser d’harceler les opposants qui ont dit non à Kabila car le peuple va bientôt trancher, lui le juge suprême que l’on prend parfois pour un imbécile. Méfiance…
MATTHIEU KEPA
http://7sur7.cd/new/dialogue-kalev-kimbuta-et-muyej-exercent-des-pressions-sur-les-opposants/

Minaku, Matata, Kyungu, Mova, Mwando, Lumbi … hier chez Kabila




Minaku, Matata, Kyungu, Mova, Mwando, Lumbi … hier chez Kabila














Après les confessions religieuses et quelques partis de l’Opposition parlementaire, le train des consultations de Joseph Kabila est maintenant dans le camp de la majorité présidentielle.
Sous la conduite de son Secrétaire Exécutif Aubin Minaku, une forte délégation de membres de la MP (Majorité présidentielle) a été reçue hier par le Chef de l’Etat dans le cadre des consultations qu’il mène depuis le début de la semaine dernière, en vue de l’organisation du Dialogue national.
Dans la suite d’Aubin Minaku, le chef de la délagation, il y avait entre autres le Premier ministre Augustin Matata Ponyo, Mwando Nsimba, Mokolo wa Pombo, Kyungu wa Kumwanza, Pierre Lumbi, Mova, Mende, Kamitatu, Endundo, Matenda, Muyej, Kabange Numbi, Konde, Kin-Kiey, Ramazani Shadari, Pius Muabilu, Ngabu Nsaman, etc.

A propos du Dialogue qui est au centre des consultations, il a indiqué que celui-ci a été d’abord sollicité par certains compatriotes de l’opposition. Et c’est en réaction à leur demande que le chef de l’Etat a décidé d’entendre tous les acteurs politiques et de la société civile, avant de lever une option.
« Nous de la majorité, nous sommes prêts à dialoguer, mais dans le respect des principes mis en place », a déclaré le Secrétaire exécutif de la Majorité présidentielle.
Pour ce qui est du calendrier électoral global de la Ceni, la MP déclare son soutien et dit militer pour son respect strict par tout le monde. Toutefois, la famille politique de Joseph Kabila indique son ouverture quant aux conclusions que le chef de l’Etat tirera des consultations qu’il est entrain de mener.
Comment respecter le calendrier électoral sans argent ? A cette questiuon, le Secrétaire exécutif dela MP a fait savoir que ce qui importe c’est d’abord la volonté et la détermination qu’on affiche. Le reste dépendra des institutions notamment le gouvernement.
A son tout, Thomas Luhaka reçu en qualité de président du Mouvement de Libération du Congo/Libéral a renseigné que l’entretien avec Joseph Kabila a tourné autour de deux sujets à savoir : le calendrier électoral et le Dialogue.
Concernant le calendrier électoral, il a souligné la nécessité d’intégrer ou prendre en compte les revendications pour l’élaboration d’uncalendrier consensuel.
Quant au dialogue, le MLC/L affirme son soutien total à cette rencontre entre Congolais en indiquant que le dialogie est le seul moyen pour régler des différends.
Thomas Luhaka était accompagné de Germain Kambinga, Omer Egwake, Roger Nsingi, Marie-Louise Ekpoli.

Dernier invité du jour, Justin Bitakwira conseille à la classe politique, toutes tendances confondues, de ne pas croire qu’on peut gérer seul le pays. Même si on a gagné les élections, il est toujours sage d’associer les autres. Il recommande une gestion collégiale des affaires nationales.
De même, il déconseille à ceux qui ont tendance à s’isoler de renoncer à cette pratique. Car, soutient-il, la solution aux problèmes ne viendra qu’en se parlant à travers un dialogue franc.
Par Dom
http://7sur7.cd/new/minaku-matata-kyungu-mova-mwando-lumbi-hier-chez-kabila/

jeudi 4 juin 2015

Fuite en avant et manœuvre de diversion:Gare à un dialogue de façade

































Il est déconseillé de louvoyer dans l’espoir de mettre tout le monde au bout du compte devant le fait accompli à l’étape fatidique de 2016
Dépasser le cap fatidique de 2016 plus ou moins à bon compte devient un cauchemar et une obsession dont le président Joseph Kabila et son establishment ne parviennent pas à se débarrasser. Dépasser le cap fatidique de 2016 équivaut à demeurer ferme à son poste au-delà de cette date.
Toutes les astuces sont imaginées et mises en œuvre pour atteindre cet objectif. Des lieutenants politiques se sont mis à élucubrer des ouvrages soit pour justifier la possibilité de révision de la Constitution , soit pour faire le plaidoyer de la Ive République sans montrer d’abord la balance de l’actif et du passif de la IIIe dont le pouvoir actuel est à la fois l’héritier dynastique et le continuateur.
Se rendant compte de la pourriture dans laquelle sombre la RDC, le Conseil de sécurité de l’ONU par le truchement du Secrétaire général de l’ONU, fait signer à Addis-Abeba, à plus d’une dizaine de chefs d’Etat africains dont Joseph Kabila, un accord-cadre décrivant le pourrissement de la situation en RDC et préconisant la tenue d’un dialogue entre le pouvoir et la classe politique pour résoudre la crise qui ronge le pays.
Un an plus tard, Kinshasa tente de contourner ce dialogue et de récupérer la situation à sa façon par l’organisation des concertations politiques sui generis.
Nombreuses résolutions prises au cours de ces concertations, sont restées «lettres mortes». La cohésion nationale est une chimère.
Le gouvernement formé avec beaucoup de retard après les concertations, a suscité encore des mécontents et des aigris parmi ceux ayant participé activement à ces concertations.
Le 14 février de cette année 2015, le président national de l’UDPS Etienne Tshisekedi, publie à partir de Bruxelles où il séjourne pour des raisons de santé, sa feuille de route, rappelant la nécessité du dialogue et exhortant la Communauté internationale, par l’entremise du Représentant spécial du Secrétaire général de l’ONU et patron de la Monusco, à convoquer ce dialogue sous ses propres auspices et bons offices.
Deux mois plus tard, le Président Joseph Kabila dépêche en fanfare son émissaire à Limete remettre au Secrétaire général de l’UDPS un pli scellé destiné au président national de l’UPDS.
Des messages similaires sont également envoyés sans fanfare au MLC de Jean-Pierre Bemba et à l’UNC de Vital Kamerhe. Ensuite, on annonce que le chef de l’Etat entreprend dès le samedi 23 mars, des consultations avec des confessions religieuses, des chefs traditionnels et des leaders politiques.
La feuille de route de l’UDPS
Des confrères et des intellos qui se refusent à l’analyse sérieuse des faits et à la réflexion objective se sont mis à faire l’apologie de la main tendue du président Joseph Kabila pour le dialogue! On a voulu créer inconsciemment ou consciemment une confusion innommable en attribuant au chef de l’Etat le mérite de l’initiative d’un dialogue dont la source est l’Accord-cadre d’Addis-Abeba, à l’initiative du Conseil de sécurité de l’ONU.
« Pourquoi ne s’est-on pas demandé ce qu’il est advenu de ses concertations politiques et de ses résolutions pour la cohésion nationale? Le 08 mai 2015 Etienne Tshisekedi réagit à partir de Bruxelles pour dissiper implicitement cette confusion, dans un communiqué officiel portant sa signature et le sceau de son parti.
Il a pris acte du message lui transmis par l’émissaire de Monsieur Joseph Kabila« Et le président de l’UDPS poursuit: «Nous constatons que l’opportunité et la pertinence de notre démarche amorcée par la publication le 14 février 2015 de notre feuille de route adressée à la Communauté internationale, par l’intermédiaire du Représentant spécial du Secrétaire général de l’ONU, sont bien comprises». Rappelons que cette feuille de route explicite la position de notre parti sur les voies de sortie de la crise de légitimité qui sévit en Démocratique du Congo depuis le hold-up électoral de 2011. »
Et Tshisekedi poursuit: « En conséquence, nous exhortons le Représentant du Secrétaire général et le Collège des Envoyés spéciaux en RDC et dans la Région des Grands Lacs à jouer pleinement leur rôle diplomatique de médiation en prenant, de toute urgence, les contacts nécessaires avec les parties congolaises afin de définir le cadre d’organisation du dialogue dans un court délai ».
Et il conclu: «Dans l’intérêt de la Nation nous tenons à éviter les pertes de temps inutiles ainsi que les manœuvres dilatoires visant à contourner les exigences constitutionnelles régissant les étapes électorales et à favoriser un éventuel glissement ».
Ce communiqué officiel de la présidence de l’UDPS st tellement clair que la prétendue main tendue du président Joseph Kabila est une pure et regrettable mystification propagée par certains confrères pro-pouvoir. Le mérite de l’initiative du dialogue ne revient pas du tout eu chef de l’Etat congolais. C’est l’œuvre du Conseil de sécurité de l’ONU.
Certains politiciens ont prétendu que Tshisekedi aurait trahi et qu’il serait disposé à composer avec Joseph Kabila. On ne voit rien de tout cela dans le communiqué. Au contraire, Etienne Tshisekedi souligne au final qu’il n’entend pas, pour tout l’or du monde, que soit favorisé un éventuel glissement.
On est au bout du rouleau
Il insiste sur le fait que «Dans l’intérêt de la Nation, il tient à éviter les pertes de temps inutiles ainsi que les manœuvres dilatoires visant à contourner les exigences constitutionnelles régissant les étapes électorales.
C’est deux semaines plus tard après la publication de ce communiqué officiel de l’UDPS, qu’on a annoncé que le chef de l’Etat entreprenait des consultations avec des confessions religieuses, des chefs traditionnels et des politiciens etc… Pour un dialogue! Cela s’appelle une confusion délibérée, une récupération politicienne de l’initiative du dialogue prévu dans 1’Accord-cadre d’Addis-Abeba.
La préoccupation obsédante du pouvoir qui multiplie à l’infini des manœuvres et des astuces, est de louvoyer dans l’espoir de pouvoir mettre tout le monde au bout du compte devant le fait accompli à l’étape fatidique de 2016! Tout bien considéré, il ne serait pas excessif de dire que le pouvoir est au bout du rouleau. Des gesticulations qu’on observe maintenant sont la fuite en avant, une manœuvre de diversion.
Ses stratèges en chambre ont épuisé tout leur stock de manœuvres et d’astuces machiavéliques jusqu’aux dernières cartouches pour tenter vainement de temporiser la fin d’un règne chancelant, au point de se répéter et de rééditer de mêmes recettes contre-productives.
A preuve les consultations à peine entreprises qui ne sont pas différentes des concertations politiques coûteuses et inutiles organisées il n’y a guère longtemps.
Consultations mort-nées
Et la loi des séries semble montrer que la chance se refuse à sourire au pouvoir dont le sort s’annonce scellé sans appel. C’est en vain qu’on cherche à faire tourner les Congolais en bourrique par des mises en scène comiques, fallacieuses, trompeuses, de ralliement à la cause nationale, de consolidation de la cohésion nationale, de cimentation de la concorde nationale.
L’envers du décor dans tout cela est le souci de se maintenir au pouvoir à vie contre vents et marées. Echec cuisant de révision de la Constitution; échec mortifiant des concertations politiques dont les résolutions laborieuses sont reléguées à jamais au placard; de 26 nouvelles provinces hypothétiques et intempestives; formation d’un cabinet de cohésion du trompe-l’œil; et enfin voilà de nouvelles consultations mises à l’ordre du jour, méprisées et rejetées par les partis politiques de l’opposition, et qui ont toutes les chances d’être mort-nées.
Que diantre des confessions religieuses, des chefs coutumiers, des Eglises de réveil ont-ils à voir dans cette équation de crise purement politique, et la politique n’est pas du tout leur tasse de thé ! Le pouvoir ne sait plus où donner de la tête. C’est la fin des haricots !
Par Jean N’Saka wa N’Saka/Journaliste Indépendant
http://7sur7.cd/new/fuite-en-avant-et-manoeuvre-de-diversiongare-a-un-dialogue-de-facade/

Accord d’Addis-Abeba : la RDC identifie ses engagements prioritaires



Accord d’Addis-Abeba : la RDC identifie ses engagements prioritaires



















En collaboration avec le Mécanisme national de suivi des accords conclus par la RDC, notamment l’accord d’Addis-Abeba(MNS), la Monusco, l’équipe-pays des Nations-Unies (UNCT) et les partenaires regroupés au sein du GCP, le ministère du Plan et Révolution de la modernité a lancé, hier mercredi 3 juin 2015 à la Cité de l’Union Africaine, une réunion de haut niveau en vue d’identifier des réformes et interventions prioritaires pour la mise en œuvre des engagements souscrits par notre pays au titre de l’Accord-cadre d’Addis-Abeba. Cérémonie rehaussée par la présence de nombreux diplomates, elle devrait, selon Evariste Boshab, Vice-premier ministre et ministre de l’Intérieur, représentant du Premier ministre, permettre une compréhension commune des interventions politiques et économiques du gouvernement congolais, disposé d’ailleurs à élaborer un plan pluriannuel en faveur de ce traité.
Pacte de redevabilité mutuelle entre la RDC et ses partenaires, dans l’entendement du Vice premier ministre, il convient maintenant de prioriser les engagements en vue de permettre au gouvernement de dégager un dynamisme national et régional. « Ces résultats enrichiront aussi le dialogue politique en cours voulu par le Chef de l’État… », a-t-il définitivement conclu, avant d’ouvrir les travaux politico-stratégiques et techniques de cette session.
Quant à Olivier Kamitatu, ministre du Plan et coordonnateur des groupes thématiques, il a réaffirmé que l’appui des partenaires à cette réunion démontre à suffisance que la RDC s’approprie des recommandations adoptées par tous les signataires. Ce traité, convient-il de rappeler, a été signé le 24 février 2013 à Addis-Abeba sur fond d’un Accord-cadre pour la paix, la sécurité et la coopération pour la RD Congo et la région des Grands Lacs, par 11 pays et 4 organisations internationales comme parties garantes. Un an plus tard, deux autres pays de la région, ont rejoint l’Accord-cadre.
Pour sa part, le coordonnateur du MNS, François Muamba Tshishimbi, a clarifié les objectifs spécifiques de ce séminaire qui sont, notamment, de relancer le partenariat grâce à un dialogue sur les politiques entre le gouvernement et ses partenaires ; d’assurer une compréhension commune de nouvelles orientations issues du séminaire gouvernemental du 12 février 2015 ; de faire le point sur la mise en œuvre des engagements issus de l’Accord-cadre et d’identifier les opportunités de partenariat autour des engagements nationaux ; d’offrir aux nouvelles autorités gouvernementales l’opportunité de mieux se familiariser avec les engagements issus de l’Accord d’Addis-Abeba y compris sa matrice des benchmarks et indicateurs ainsi qu’avec la matrice de fragilité du New Deal ; enfin, de valider la note conceptuelle de l’appui à la mise œuvre du New deal.
Pour lui, grâce à leur portée nationale car impliquant les ministères nationaux et provinciaux, la Société civile, et les partenaires, les recommandations qui en découleront vont accélérer le rythme de la mise en œuvre des engagements.
Au nom de la communauté internationale, le représentant de Saïd Djinnit, envoyé spécial du secrétaire général des Nations-Unies dans la région des Grands Lacs, a salué le fait que les travaux démarrés hier mercredi coïncident avec l’élaboration du budget 2016 du gouvernement congolais. « Nous appelons le gouvernement à pérenniser les engagements nationaux de la RDC et l’invite à doter le MNS des moyens matériels et financiers pour remplir à bien sa mission » a plaidé le délégué, faisant noter que les propositions idoines des participants sont vivement attendues.
Il convient de noter que ce séminaire va se clôturer ce jeudi après-midi sur fond d’un communiqué final.
Tshieke Bukasa
http://7sur7.cd/new/accord-daddis-abeba-la-rdc-identifie-ses-engagements-prioritaires/

Magicien ou Collabo??? l'Affaire Moise Mbiye et les Combattants à Paris suscite bcq de questions


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