Mobutu, Bédié, Ben Ali... Ces chefs d'État africains qui ont fui leurs palais
Mobutu Sese Seko (g), Henri Konan Bédié (c), et Zine el-Abidine Ben Ali (d). © Montage Jeune Afrique |
Délogés par des coups d'État, des rébellions ou des révolutions, de nombreux chefs d'État africains ont définitivement quitté leurs palais dans des conditions parfois rocambolesques. De Mobutu à Amadou Toumani Touré en passant par Ben Ali, voici quelques-uns des dirigeants "fuyards" les plus célèbres du continent.
Mobutu Sese Seko quittant Kinshasa à bord d'un imposant cortège de berlines, Henri Konan Bédié fonçant sur la lagune d'Abidjan à bord d'un zodiac, ou, plus récemment, Amadou Toumani Touré dévalant la colline de Koulouba à Bamako... Ces dernières années, plusieurs chefs d'État africains ont été contraints de quitter le pouvoir en catastrophe, poussés vers la sortie par des putschistes, des rebelles, ou encore leur propre peuple. Jeune Afrique vous propose de revenir sur l'histoire mouvementée de certains d'entre eux, sans aucune prétention d'exhaustivité.
- Amadou Toumani Touré, Mali
- François Bozizé, Centrafrique
- Mobutu Sese Seko, RDC
- Mouammar Kadhafi, Libye
- Zine el-Abidine Ben Ali, Tunisie
- Henri Konan Bédié, Côte d'Ivoire
- Pascal Lissouba, Congo
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