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SACREBOPOL

jeudi 23 janvier 2014

RDC: Mwenze Kongolo dénonce la perquisition de sa ferme à Lubumbashi


RDC: Mwenze Kongolo dénonce la perquisition de sa ferme à Lubumbashi





L’ancien ministre congolais de la Sécurité et de la Justice, Jeannot Mwenze Kongolo dénonce la perquisition de sa ferme le mardi 21 janvier à Lubumbashi (Katanga) par des militaires. Au cours d’une conférence de presse tenue jeudi 23 janvier à Kinshasa, ce compagnon de Laurent-Désiré Kabila s’est plaint que cette opération a été exécutée sans mandat. «J’ai quand même été ministre de la Justice de ce pays, je connais la procédure. Vous ne pouvez pas aller la nuit et vous ne pouvez pas aller sans mandat», a dénoncé Mwenze Kongolo.

Il s’est également interrogé sur le fait cette cette perquisition a été menée par les Forces armées de la RDC en lieu et place de la police judiciaire.
«Est-ce que c’est une affaire de l’armée? Non. C’est la police judiciaire qui va délivrer le mandat de perquisition», a expliqué Mwenze Kongolo.

Le président national des Patriotes kabilistes a accusé «le régime» de vouloir, par cette opération, «mettre fin» à sa vie.
«Imaginez si j’étais là. C’était trois camions de militaires et une moto à 22 heures dans une ferme. Ils allaient m’exterminer», a affirmé Mwenze Kongolo.

En outre, il a dit craindre que des munitions aient été cachées dans sa ferme par ceux qui sont venus effectuer la perquisition pour l’accuser après de détenir illégalement des armes.
L’ancien ministre de la Justice a promis de déposer une plainte pour violation de domicile.

RDC : John Numbi dans le viseur de la justice militaire congolaise


Vaste blague.
Cette même justice militaire qui se disait incompétente dans le dossier de l'assassinat de Mr Chebeya contre le même John Numbi, s'intéresse à présent du cas du même Général, mais dans une autre affaire.
Vous ne nous tromperez pas.

La Rédaction.



RDC : John Numbi dans le viseur de la justice militaire congolaise

La justice militaire congolaise s'intéresse de près au cas John Numbi. Depuis plusieurs semaines, le nom de l'ancien chef de la police revient souvent dans les rapports sur les miliciens du Katanga, dans le sud de la RDC. Et Kinshasa s'est enfin décidé à enquêter…

Les langues se délient peu à peu à Kinshasa. Jusqu'ici, seuls le rapport - encore confidentiel - du groupe d'experts onusiens sur la RDC et un communiqué de presse de la société civile du Katanga avaient cité le nom de John Numbi, ancien chef de la police congolaise, comme "un des pourvoyeurs" des miliciens indépendantistes Kata Katanga. Aujourd'hui, c'est officiel : John Numbi est dans le viseur de la justice militaire congolaise. "Une perquisition a eu lieu hier [le 20 décembre] dans un chantier qui se trouve être sa propriété : on y a trouvé 18 individus encore non identifiés et une lance-roquette", affirme Lambert Mende, porte-parole du gouvernement congolais.

>> Lire aussi : qui se cache derrière les Kata Katanga ?

De là à établir une connexion entre les miliciens du Katanga et le général John Numbi ? L'heure est encore à la prudence. "L'enquête se poursuit", avance Lambert Mende. Depuis le 11 janvier, Kinshasa a dépêché sur place, à Lubumbashi, Richard Muyej, le ministre en charge de l'Intérieur et de la Sécurité. Objectif : tirer les choses au clair. "Je ne rentrerai que lorsque toute la lumière sera faite autour de cette affaire", confie Richard Muyej.

John Numbi, "pourvoyeur" des milices du Katanga ? 

Que cherche-t-on exactement ? Les réponses à une double interrogation : John Numbi a-t-il été en connivence avec les assaillants du 30 décembre ? Est-il le "pourvoyeur" des miliciens indépendantistes Kata Katanga ? Pour l'heure, Richard Muyej se refuse de donner une réponse définitive : "Au regard des informations à ma possession, je ne peux confirmer un lien quelconque entre John Numbi et les miliciens." Le ministre semble même remettre en cause les accusations des experts de l'ONU sur le "soutien" de John Numbi. "Ils n'ont pas fait leur travail comme il faut", tacle-t-il.

Visiblement, la (nouvelle) affaire Numbi divise. Pour certains soutiens de l'ancien chef de la police, qui se comptent également dans la sphère du pouvoir à Kinshasa et à Lubumbashi, les autorités veulent tout simplement "noyer" leur champion. "Face au regain des violences dans le pays, et particulièrement au Katanga, il faut que quelqu'un paye le prix et c'est John Numbi qui a été choisi pour porter le chapeau. Un peu comme dans l'affaire de l'assassinat de Floribert Chebeya", accuse un membre de l'entourage du général Numbi.

>> Lire aussi : Numbi, le "bad cop" de Kabila

"Mais pourquoi son nom revient-il à chaque fois qu'on aborde la question des miliciens katangais ?", interroge un élu local qui a requis l'anonymat "pour des raisons sécuritaires", précise-t-il. "Le climat dans le Katanga est lugubre : les gens ont peur", renchérit-il. Les miliciens sécessionnistes ont multiplié ces derniers jours des attaques dans les villages situés dans le "triangle de la mort", entre les territoires de Manono, Mitwaba et Pweto. "Plus de 30 000 personnes vivant dans cette région (…) se seraient déplacées vers d'autres localités et vers des camps de pêche", selon le Programme alimentaire mondial (PAM). Lubumbashi, la capitale provinciale, retient son souffle. "Tout peut arriver à tout moment", lâche le député.
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Par Trésor Kibangula


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mercredi 22 janvier 2014

Le LAC TANGANYIKA

Le LAC TANGANYIKA

Le lac Tanganyika est une écorégion d'eau douce définie par le Fonds mondial pour la nature (WWF) et The Nature Conservancy (TNC). Elle comprend le lac Tanganyika lui-même et son bassin drainant, entre le Burundi, la République démocratique du Congo, le Rwanda, la Tanzanie et la Zambie. L'écorégion abrite l'une des faunes lacustres les plus riches de la planète et concentre un nombre très élevé d'espèces endémiques.



Le lac Tanganyika, ou Tanganika est l'un des Grands Lacs d'Afrique, deuxième lac africain par la surface après le lac Victoria, le deuxième au monde par le volume et la profondeur après le lac Baïkal, et le plus long lac d'eau douce du monde (677 km). Il est le plus poissonneux du monde[1]. Ses eaux rejoignent le bassin du Congo puis l'océan Atlantique. On estime que sa formation remonte à environ 20 millions d'années (Miocène).

Son nom, Étanga 'ya ni'a en ebembe (ou kibembe), signifie « lieu de mélange ». Richard Francis Burton et John Hanning Speke furent les premiers Européens à l'apercevoir en 1858 et décidèrent de conserver son nom d'origine, contrairement à l'usage en vigueur à l'époque. Burton s'attribua seul la paternité de la découverte, ce qui brouilla les deux hommes à vie.

C'est sur les rives du lac, à Ujiji, qu'intervint le la rencontre historique entre David Livingstone et Henry Morton Stanley, à l'occasion de laquelle ce dernier adressa un "Docteur Livingstone, je présume ?".

Le lac Tanganyika couvre une superficie de 32 900 km2 [2] (approximativement la même superficie que la Belgique) et s'étire sur 677 km[2] le long de la frontière de la Tanzanie (à l’est) et de la République démocratique du Congo (à l'ouest) ; son extrémité nord sépare ces deux pays du Burundi, son extrémité sud les sépare de la Zambie. On retrouve à l'ouest (du côté congolais), les monts Mitumba.

Il est situé sur la branche occidentale de la vallée du Grand Rift. Sa température de surface est de 25 °C en moyenne pour un pH variant de 7,6 dans les baies marécageuses, à 9,5 en pleine eau. La profondeur ainsi que la localisation tropicale du lac empêchent le renouvellement total des masses d'eau et la plus grande partie des eaux profondes sont des eaux fossiles et anoxiques.

Le lac Tanganyika fait maintenant partie du bassin hydraulique du fleuve Congo. Il s'y déverse par son émissaire, la Lukuga. Jusqu'en 1878, cette rivière se jetait dans le lac, mais des mouvements tectoniques, et surtout la montée du niveau de l'eau, en ont inversé le sens vers la Lualaba et le fleuve Congo.

Le bassin drainant du lac Tanganyika couvre une superficie de 250 000 km2. Les principales rivières qui l'alimentent sont la Malagarazi, la Rusizi, la Ifume, la Lufubu et la Lunangwa qui y déversent 24 km3 d’eau par an ; les pluies, quant à elles, en apportent 41 km3 par année. La Malagarazi est plus ancienne que le lac lui-même et se trouvait auparavant dans le prolongement du Congo. La totalité du volume du lac est renouvelé en 485 années.
Michel Sardou évoque le lac dans son tube "Afrique Adieu" , chanson vantant les mérites de l'Afrique profonde. Sardou chantera d'ailleurs ce hit lors de son fameux olympia 1995.


Les eaux du lac Tanganyika se sont considérablement réchauffées ces 90 dernières années atteignant des températures jamais obtenues sur les 1500 années estimées d’existence.
Cette découverte, qui a été publiée dans une revue scientifique dimanche dernier, affirme que les poissons et la faune sont menacés.
Ce lac, qui sépare la Tanzanie de l’est de la République démocratique du Congo, est le deuxième lac du monde de par son volume d’eau et de sa profondeur, selon la revue.
La pollution domestique serait la cause de ce réchauffement. 10 millions de personnes dépendent du lac pour avoir de l’eau et de la nourriture à base de poisson.


Source : Reuters



Pour ceux/celles qui viennent des pays où le soleil est une denrée rare, observer le couché du soleil devant le Lac Tanganyika est un pur Bonheur
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mardi 21 janvier 2014

Lubumbashi : Levée des mesures de bouclage autour de la Ferme de J. Numbi



Lubumbashi : Levée des mesures de bouclage autour de la Ferme de J. Numbi
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=8614
 Selon des sources à Lubumbashi, chef-lieu de la province du Katanga, des militaires de la 6ème Région militaire ont mis fin au bouclage du périmètre situé autour de la Ferme de l’ex-chef de la police nationale congolaise John Numbi Banza Tambo. Dès les premières heures de la journée du lundi 20 janvier, des militaires avaient encerclé cette ferme - située à une quarantaine de kilomètres de Lubumbashi - mais aussi toutes les résidences appartenant à Numbi. Après avoir perquisitionné l’une de celles-ci où des armes auraient été trouvées, un ordre est tombé vers la fin de l’après-midi : "Arrêter toutes les opérations de perquisition". Qui a donné cette instruction? Mystère. Dans un récent rapport de la Mission onusienne au Congo, Numbi a été cité comme étant le pourvoyeur en "logistique" des miliciens maï maï Ba Kata Katanga. Aussi, les militaires avaient-ils reçu mission de fouiller ces lieux supposés receler des caches d’armes. Le commandant de la 6ème Région a fini par réaliser qu’il avait affaire avec un "intouchable".

Electricien de formation, John Numbi a fait ses premiers pas en politique dans les rangs de la "Juferi" (Jeunesse du parti Union des fédéralistes républicains indépendants que dirigeait le duo Nguz karl i Bond - Kyungu wa Kumwanza) au cours de la première moitié des années 90.
Après la prise du pouvoir par l’AFDL (Alliance des forces démocratiques pour la libération du Congo) un certain 17 mai 1997, "John", le civil, se rallie à Laurent-Désiré Kabila, issu comme lui de la communauté luba du Nord Katanga. Le nouveau président le "bombarda" au grade de "commandant".

Lorsque LD Kabila rompt les relations avec ses ex-parrains ougandais et rwandais fin juillet 1998, John Numbi est à ses côtés. Il en est de même lorsque le M’zee décide de mettre sur pied une force d’autodéfense populaire pour "contrer" l’avancée vers Lubumbashi des rebelles pro-rwandais du RCD, appuyés par des soldats de l’armée rwandaise. Numbi a eu à côtoyer à cette occasion un certain Kyungu Mutanga, alias "Gédéon" avant qu’il ne devienne le tristement célèbre chef milicien maï maï. Sans omettre Daniel Mulunda Ngoy Nyanga. Le même.

Après la disparition de LD Kabila dans des conditions non-élucidées à ce jour, Numbi se met au service de son successeur, "Joseph Kabila". Promu chef d’état-major de la force aérienne, Numbi met sur pied un bataillon paramilitaire dénommé "Simba" qu’il intègre dans la police nationale. En 2007 et 2008, des membres de cette unité se sont livrés à une répression sanglante des adeptes du mouvement politico-religieux "Bundu dia Kongo". Le défenseur des droits humains Floribert Chebeya qui enquêtait sur ces massacres est assassiné le 1er juin 2010 à l’issu d’un rendez qu’il avait avec Numbi au Quartier général de la police. Son corps sans vie sera retrouvé le lendemain. Son chauffeur Fidèle Bazana n’a jamais été retrouvé. Qui a ordonné ce double assassinat? La question reste sans réponse. Et ce, bien que quelques policiers ont été "jugés" et condamnés. Suspect numéro un, bien que suspendu de ses fonctions dès le 4 juin 2010, Numbi continue à bénéficier d’une impunité certaine. 
En septembre 2011, le chef milicien "Gédéon" s"évade en plein jour de la prison dite de haute sécurité de Kasapa à Lubumbashi. A l’époque, John Numbi était suspecté d’être derrière ce "coup". Une chose paraît sûre, les fugitifs ont bénéficié des complicités tant au niveau provincial que national. A preuve, aucune information judiciaire n’a été ouverte pour déceler les dysfonctionnements et déterminer les responsabilités. Depuis lors, Kyungu Mutanga a repris "du travail".

Le 23 mars 2013, à la surprise générale, plus de 300 miliciens Ba Kata Katanga font irruption dans le centre-ville de Lubumbashi. Les forces dites de sécurité ont apparemment été prises au dépourvu. Interrogés par certains activistes des associations de défense des droits humains, certains miliciens ont affirmé la main sur le coeur que John Numbi Banza Tambo leur apportait un soutien en armes et munitions. Jean-Claude Masangu Mulongo, alors gouverneur de la Banque centrale du Congo, serait le "financier". Aucune enquête n’a été ouverte sur ces allégations pour le moins gravissimes. 
Dans un récent rapport adressé au président du Conseil de sécurité des nations Unies, des experts onusiens ont confirmé ces assertions en soulignant que les Ba Kata Katanga seraient désormais sous le commandement de "Gédéon", une vieille connaissance à John Numbi.
Pressé sans doute par la "communauté internationale", "Joseph Kabila" aurait ordonné des perquisitions dans la Ferme mais aussi dans toutes les résidences appartenant à l’ex-chef de la police nationale. Lancées aux premières heures de la journée du lundi 20 janvier, les fouilles ont été interrompues suite à un ordre venant de la "haute hiérarchie".

En novembre dernier, "Joseph Kabila" avait renvoyé, "pour complément d’informations", un rapport mettant en cause le général Gabriel Amisi Kumba, ex-RCD. Cet officier a été accusé par des enquêteurs onusiens d’avoir vendu des armes de guerre aux bandes armées qui font plus la pluie que le beau temps à l’Est. Suspendu de ses fonctions, Amisi est resté libre de ses mouvements. 
Après les perquisitions manquées de ce lundi 20 janvier chez Numbi, un analyste de lâcher ces mots : "Joseph Kabila est fort avec les faibles et faible avec les forts". Les ordres du "raïs" ont-ils été mal interprétés par le commandant de la 6ème région militaire? Et si le "déploiement de biceps" observé autour des propriétés de "John" n’était qu’une mise en scène destinée à la "consommation extérieure"? Vive l’impunité zéro!"




F L A S H ! Le Capitaine BANZA assassiné dans les géôles de l’ANR




F L A S H !

Le Capitaine BANZA assassiné dans les géôles de l’ANR,
John Numbi arreté ! 

Des sources sures au sein de l’ANR viennent confirmer la mort du Capitaine Banza, aide de camp du Colonel MAMADOU NDALA tué le 2 janvier 2014. Informé du rendez-vous du Capitaine BANZA avec les deux journalistes de RFI et de France 24 (mis sous écoute téléphonique) pour leur livrer les secrets de l’assassinat du Colonel MAMADOU, « Joseph KABILA » a immédiatement instruit l’AG/ANR KALEV de procéder à sa neutralisation. L’ordre d’exécution fut transmis illico à Monsieur KAKUJI, 05/200 (Directeur de l’ANR  chargé des opérations) et ancien REDOC de la ville de Kinshasa, qui dirigea l’opération avec 4 agents armés. Après son arrestation musclée devant les journalistes français et des témoins tétanisés par les coups de feu, le capitaine BANZA fut sérieusement tabassé. Arrivé dans les geôles de l’ANR, il succomba sous les tortures.

Sur instructions de « Joseph KABILA », ses sbires doivent prendre toutes les dispositions pour faire disparaître son corps cette nuit du lundi 20 à mardi 21 janvier.

L’APARECO demande aux ambassadeurs accrédités à Kinshasa, aux autorités de la MONUSCO et aux ONG de défense des droits humains d’exiger de « Kabila » et son gouvernement fantoche, en cas d’éventuel démenti de leur part,  d’exhiber des preuves que le Capitaine BANZA est vivant. Car d’après nos sources des mises en scène du genre de celle de Floribert CHEBEYA ou  d’Armand TUNGULU sont  à l’étude.  Autant dire que « Kabila » et ses collabos viennent à nouveau de se tirer une balle dans le pied !

C’est dans ce climat particulièrement tendu où le gouvernement d’occupation ne sait plus à quel Saint se vouer ni comment détourner l’attention de l’opinion et desserrer l’étau  de l’affaire « Mamadou Ndala » , que la rédaction de l’œil du patriote vient d’être informée de l’arrestation du Général John Numbi,  ce lundi 20 janvier à 20h. Il a été conduit dans les locaux de la CNS (Conseil national de sécurité) pour interrogatoire. L’œil du patriote ne manquera pas d’informer ses fidèles lecteurs sur ce nouveau rebondissement dans le bras de fer qui oppose désormais l’imposteur rwandais  Hyppolite Kanambe alias « Joseph Kabila » à ses anciens alliés du Katanga. A suivre…

Paris, le 20 Janvier 2014

Candide OKEKE

L’ŒIL DU PATRIOTE

° http://www.apareco-rdc.com/index.php/a-la-une/actualites/1560-f-l-a-s-h-john-numbi-arrete-le-capitaine-banza-est-mort-sous-la-torture-dans-les-geoles-de-l-anr.html