On ne combat jamais un mercenaire en allant avec lui aux élections comme des Congolais l’ont fait en 2006 et en 2011 et comme certains attendent le réitérer en 2016. On utilise les mêmes armes que le mercenaire et ce même au risque de sa vie.
"Joseph Kabila" est un mercenaire. Il est en service commandé en République Démocratique du Congo. Accomplir et réussir sa mission, comme il le fait déjà avec efficacité et surtout à la satisfaction de ses maîtres qui l’ont recruté et placé à la tête du Congo pour ce besoin, est plus qu’un engagement pour lui. Il est une obligation à la fois morale et professionnelle, de laquelle dépend sa propre survie physique. Le lui reprocher ou encore s’en plaindre, parce qu’un mercenaire fait tuer des Congolais, relève à mon sens de l’ignorance grave et même de la paralysie de l’intelligence. En effet, je n’ai jamais compris pourquoi les Congolais reprochent à "Joseph Kabila" le fait d’infiltrer l’armée congolaise, hier avec le CNDP, le MLC, la RCD et aujourd’hui avec le M23.
Tuer des Congolais, faire violer des femmes congolaises, laisser impunément en liberté et dans la nature ses collègues de service, notamment les Bosco Tangana et autres encore constituent des tâches qui lui sont assignées en sa qualité de mercenaire rémunéré et en situation de guerre.
Les Congolais, je dirais beaucoup, n’ont pas encore saisi que « this is war». On ne combat jamais un mercenaire en allant avec lui aux élections comme des Congolais l’ont fait en 2006 et en 2011 et comme certains attendent le réitérer en 2016. On utilise les mêmes armes que le mercenaire et ce même au risque de sa vie. On ne lui reproche rien. Et pourquoi pleurer lorsque sa survie dépend de la mort qu’il distribue aux Congolais. Si «Joseph Kabila» ne tue pas, il ne saurait ni vivre ni rester au pouvoir. Tuer est le devoir de tout mercenaire. Et un mercenaire, on l’empêche si on s’avoue incapable de l’affronter. On risque sa vie comme Aimé Césaire qui disait : « que de mon sang oui, que de mon sang, je fonde ce peuple ».
C’est quoi cet esprit d’anéantissement quand on nous parle tout le temps de Kampala. Qui ignore que Museveni est un mercenaire, que Paul Kagamé l’est également. Bon dieu, pourquoi vouloir que des mercenaires aient pitié des Congolais quand ces derniers ne peuvent se défendre autrement. Je n’écris pas pour être compris pour que des gens adhèrent mais ma plume je le considère également comme une arme. Je l’interdis d’être innocente. Je ne veux pas non plus écrire comme tout le monde en cachant derrière uns avoir quand je vois que mon peuple est tué et instrumentalisé.
J’en ai assez de toute cette vie de compromis et de compromission. Assez toute de cette hypocrisie, cet intellectualisme de rabais Il faut combattre et se battre contre Kabila avec tout ce que nous pouvons trouver et qui soit en mesure de porter des coups. On a assez de ce type de combat qui se solde soit par le silence complice, soit par la corruption morale, soit par l’exil interne et extérieur, soit par l’apathie et la paresse de l’intelligence. Et quand on sait le pourquoi on vit, plus rien ne vous arrête…..
Mufoncol Tshiyoyo
Président du Rassemblement pour l’Alternative Politique en RDC. R.A.P-en sigle
Mouvement Politico-militaire,
mufoncol_tshiyoyo@yahoo.com ,
004745007236
Tuer des Congolais, faire violer des femmes congolaises, laisser impunément en liberté et dans la nature ses collègues de service, notamment les Bosco Tangana et autres encore constituent des tâches qui lui sont assignées en sa qualité de mercenaire rémunéré et en situation de guerre.
Les Congolais, je dirais beaucoup, n’ont pas encore saisi que « this is war». On ne combat jamais un mercenaire en allant avec lui aux élections comme des Congolais l’ont fait en 2006 et en 2011 et comme certains attendent le réitérer en 2016. On utilise les mêmes armes que le mercenaire et ce même au risque de sa vie. On ne lui reproche rien. Et pourquoi pleurer lorsque sa survie dépend de la mort qu’il distribue aux Congolais. Si «Joseph Kabila» ne tue pas, il ne saurait ni vivre ni rester au pouvoir. Tuer est le devoir de tout mercenaire. Et un mercenaire, on l’empêche si on s’avoue incapable de l’affronter. On risque sa vie comme Aimé Césaire qui disait : « que de mon sang oui, que de mon sang, je fonde ce peuple ».
C’est quoi cet esprit d’anéantissement quand on nous parle tout le temps de Kampala. Qui ignore que Museveni est un mercenaire, que Paul Kagamé l’est également. Bon dieu, pourquoi vouloir que des mercenaires aient pitié des Congolais quand ces derniers ne peuvent se défendre autrement. Je n’écris pas pour être compris pour que des gens adhèrent mais ma plume je le considère également comme une arme. Je l’interdis d’être innocente. Je ne veux pas non plus écrire comme tout le monde en cachant derrière uns avoir quand je vois que mon peuple est tué et instrumentalisé.
J’en ai assez de toute cette vie de compromis et de compromission. Assez toute de cette hypocrisie, cet intellectualisme de rabais Il faut combattre et se battre contre Kabila avec tout ce que nous pouvons trouver et qui soit en mesure de porter des coups. On a assez de ce type de combat qui se solde soit par le silence complice, soit par la corruption morale, soit par l’exil interne et extérieur, soit par l’apathie et la paresse de l’intelligence. Et quand on sait le pourquoi on vit, plus rien ne vous arrête…..
Mufoncol Tshiyoyo
Président du Rassemblement pour l’Alternative Politique en RDC. R.A.P-en sigle
Mouvement Politico-militaire,
mufoncol_tshiyoyo@yahoo.com ,
004745007236
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